Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

25 févr. 2013

Anthony et Chris au pique-nique

Par une fin de journée ensoleillée, Anthony et Chris, deux copains, s’organisent un pique-nique. Ils étalent une grande couverture, mettent les assiettes en carton, les gobelets en plastique, ouvrent deux canettes de bière, sortent d’une glacière, une boîte en plastique contenant des tranches de rôti de porc froid ainsi qu’un paquet de chips et commencent à déjeuner. Entre le fromage et le dessert, Anthony commence à avoir chaud et caresse le genou de Chris. Ils commencent à s'embrasser sur la bouche et se palper le jean. Anthony implore Chris de le pénétrer. Chris accepte. Anthony et Chris se mettent debout et Anthony baisse le boxer de Chris et se met au travail pour offrir une fellation à Chris. Après une ou deux minutes, Anthony baisse son jean et son boxer moulant montrant un joli cul imberbe. Anthony lance un regard à Chris pour qu'il l'encule direct.
Anthony lâche sa proie de la bouche, se tourne et se plie en deux offrant sa rondelle. Chris approche sa bite de la rondelle et pousse doucement et régulièrement jusqu'au bout. Il reste un très court instant au fond, et puis, il commence une série de va-et-vient dévastateurs. Anthony adore ce que Chris lui fait et il lui fait savoir bruyamment. Après avoir essayé plusieurs positions, Chris ne se retenant plus, il se lâche dans les entrailles d'Anthony, se retire doucement pour qu'Anthony garde ce délicieux liquide en lui. C'est alors que Chris lui demande, à ce qu'il lui rende la pareille.
Chris se penche en avant. N’ayant pas de lubrifiant, Anthony se penche pour lubrifier de sa salive l'anus de Chris. Anthony se poste derrière Chris, le dard en avant. Il pousse très lentement sur la rondelle encore novice. Chris serre un instant les dents, laissant peu à peu la douleur passer.
Au bout de plusieurs allers-retours, Anthony se lâche aussi pour inonder les entrailles de Chris. Tout comme Chris plus tôt, Anthony se retire doucement pour que Chris garde ce liquide un moment. Puis, Anthony et Chris s'embrassent langoureusement sur la bouche.
Ils s'aperçoivent qu'ils n'ont pas fini de pique-niquer. Il avalent leur dessert vite fait et reprennent le chemin de leurs domiciles respectifs.

18 févr. 2013

3 latinos


Je suis en voyage aux États-Unis pour un séjour linguistique à New York. J'ai envie de découvrir les rues de la « Big Apple ». Il est tard, le soir. Je me promène dans le quartier latino. Je marche dans une ruelle où les lampadaires sont tous cassés. Je ne suis pas rassuré du tout.

À mi chemin dans cette ruelle, je suis attaqué par trois mecs latinos avec leurs bandeaux rouges et leurs jeans serrés. Je me dis que je vais passer un mauvais quart d'heure et que je vais en ressortir salement amoché. Ils m'endorment avec du chloroforme.

Une bonne dizaine de minutes plus tard, Je me réveille dans une petite réserve d'une usine désaffectée sur le ventre ligoté à un sling en cuir qui pend. Seul un néon tremblotant éclaire la pièce. Le cul à l'air et abondamment lubrifié. Les trois kidnappeurs sont là aussi portants des harnais de torse en cuir clouté en se croisant les bras. Deux sont de chaque coté et le troisième en face de moi à un mètre.

J'entends une lourde porte s'ouvrir. Je ne peux pas voir qui arrive puisque je tourne le dos à cette porte. Je comprends que c'est un autre latino qui arrive derrière moi. Mes kidnappeurs l'appellent Tiger à cause d'un hypothétique tatouage sur ce mec. Il commence à me doigter le cul pendant deux minutes. Il dézippe son jean's, pose ses mains sur mon bassin. Je sens quelque chose de légèrement pointu tout dur touchant mon œillet. Je crains qu'il va me la mettre très vite. Eh ben non !! Il m'enfonce son gland tout doucement. Il reste comme ça pour que mon anus prenne forme autour de ce sexe déjà d'une bonne dimension, ma foi. Il prend alors mes hanches et pousse son bassin soigneusement et régulièrement jusqu'à ce que son pubis rencontre mes fesses. Il recule doucement, puis, ne m'attendant pas, il s'enfonce d'un seul coup violemment. Je crie de douleur. Il se retire et se renfonce de plus belle. Il me besogne comme ça pendant une bonne vingtaine de minutes. Au bout de ces vingt minutes, je sens qu'il n'en peut plus. Il explose en moi et me remplit mon cul de son sperme abondant et chaud. Il se retire sans dire un mot et sort de la pièce d'un pas pressant.

Trente secondes plus tard, la porte s'ouvre à nouveau. Je sens une autre paire de mains saisir mes hanches. Et un autre bout de chair me titiller l'anus. Celui-ci s'appelle Ricky. Je me rends compte que ce morceau de chair et de muscle est un peu plus gros que le précédent. D'un seul coup, il s'enselle dans mon cul tout dégoulinant de sperme de Tiger. Il me besogne aussi durement que Tiger à un tel point que je crie de nouveau de douleur. Au bout d'une autre vingtaine de minutes, il éclabousse tout mon intérieur. Il se retire aussi violemment qu'il est rentré et tourne les talons vers la sortie. À peine une minute plus tard, la porte s'ouvre. Une nouvelle paire de mains me tient fermement le bassin. Je sens quelque chose de très gros toucher mon trou gluant de sperme. Je sens le gland rentrer avec une force herculéenne. Je gueule encore un coup. Ce troisième homme pousse son sexe jusqu'à ce qu'il rentre tout entier dans mon cul. J'entends aussi mes kidnappeurs l'appelle Castro. Ce n'est qu'encore au bout d'une bonne vingtaine de minutes d'un assaut bestial que ce Castro se vide les couilles dans mon fondement déjà endolori des deux autres latinos.

Je reste ainsi comme ça pendant un bout de temps. Je sens un des deux kidnappeurs me lécher le cul et à laper le jus blanc et visqueux qui en sort. Je me rends compte que je ne pourrais pas m'asseoir sur une chaise pendant plusieurs jours.

Je suis libéré, rhabillé, et ramené dans cette ruelle où tout avait commencé. Je suis retrouvé par la police new-yorkaise. Sur le chemin du retour, ces agents me sermonnent de ne jamais s'aventurer dans les ruelles noires de New York.

11 févr. 2013

Bastien

Je m’ennuie grave depuis quelques mois après mon retour de l’île mystérieuse. Le garçon que j’ai connu là-bas continue à hanter mes jours et mes nuits. La distance qui nous sépare était immense. Il faut pourtant me résoudre à rencontrer quelqu’un de plus proche de chez moi. Je prends une grande carte de la France. Je prends aussi une fléchette. J’accroche la carte au mur. Je recule de quelques mètres. Je ferme les yeux et lance la fléchette. Elle va se planter en Rhône-Alpes.

J’attends donc une occasion de me rendre là-bas à moindre frais. Jusqu’au jour où cette même radio fait gagner un séjour de quelques jours dans un grand hôtel dans cette région.

Je gagne donc, par hasard, ce séjour dans ce coin de France que je ne connais pas.

Deux semaines environ, je reçois un billet de train. Arrivé en milieu d’après-midi, un groom m’attend dans le hall d’arrivée de la gare avec un écriteau portant mon nom. Il prend alors ma valise. Et me conduit vers cet hôtel dans une immense limousine blanche aux vitres fumées. Durant le trajet, je demande au groom où je peux trouver un centre nautique à proximité de l’hôtel. Arrivés dans le hall de l’hôtel, le groom et moi nous dirigeons vers le concierge pour remplir la petite fiche d’admission. Il me donne une carte magnétique me donnant accès à ma chambre. Je ne sais alors comment va être ma chambre. Le groom monte ma valise. Je déplie ma valise, m’assois quelques instants dans le fauteuil confortable près du mur en face du grand lit. Je fais le tour de la chambre.

Un peu plus tard, je sors de l’hôtel et me dirige vers le Centre Nautique de la Ville en suivant les indications du groom. J’entre donc dans cette piscine, m’acquitte du droit d’entrée. Je me déshabille, mets le slip de bain réglementaire. Le caleçon de bain étant proscrit. Je rentre alors dans le bassin de 25 m et commence à effectuer quelques longueurs. Au bout d’une bonne demie heure, Je me décide à sortir du bassin. Je passe sous la douche pour m’enlever l’odeur de chlore que j’ai sur moi. Dans ces douches collectives, se trouve un charmant, jeune et bel homme d’une vingtaine d’années. Il est, lui aussi, à coté de moi en train de se laver. Ce garçon mesure environ 1 mètre 85. Il a des cheveux châtains clairs et des yeux si bleus. Je suis ébloui par la beauté de ce jeune mec. Au bout d’un petit instant, il me demande de lui rendre service. Il m’explique, malgré qu’il soit sportif, il n’arrive pas à se savonner certains endroits de son dos. Je suis également surpris de cette demande si particulière émanant de ce si beau mec. Je remarque, en le savonnant, qu’il a une peau si douce. Je ne fais juste ce qu’il demande puisque nous sommes dans un lieu public. Je ne veux en aucun cas faire les gros titres des journaux dans la rubrique «faits divers».

Nous finissons donc cette douche, nous séchons, et nous habillons dans chacune des cabines. Par le plus pur des hasards, il est dans la cabine mitoyenne de la mienne. Nous sortons ensemble de cet établissement. Je lui dit que je suis dans le coin pour quelques jours et que je suis descendu au Grand Hôtel. Je lui propose de venir au bar de l’hôtel pour boire un verre. Nous discutons. Il s’appelle Bastien. Il me également raconte qu’il est étudiant à la fac, m'avoue également qu’il a fait exprès de ne pas pouvoir se laver le dos à la piscine, qu’intérieurement il a beaucoup aimé. C’était un prétexte pour rencontrer des hommes comme moi.

L’heure du dîner vient. Je demande à Bastien s’il est d’accord pour être mon guide pour la soirée. Je veux aller au cinéma le soir même. Il accepte. Je lui donne rendez-vous à Bastien plus tard un peu avant l’heure de la première séance.

Comme je ne sais pas où se situe le cinéma, je lui demande de me servir de guide. Je me dirige donc vers le restaurant, m’asseyant à une table, commande une tartiflette, un fromage et un dessert.

À l’heure dite, Bastien se présente à l’entrée de l’hôtel. Il m’emmène vers le cinéma. Regardant l’affiche, je me décide pour une comédie fantastique. Je paye donc une place à Bastien. Lui et moi, trouvons deux places où nous serons tranquilles. Une fois les lumières éteintes, Bastien me fait comprendre d’un regard qu’il veut quelque chose. Je commence par lui caresser les cuisses. Il me laisse continuer. Au bout d’un moment, Bastien dézippe son jean et laisse apparaître quelque chose d’une taille assez impressionnante sous son boxer en élasthanne blanc. Je ne veux pas aller plus loin sous peine d’être repéré par d’autres personnes qui sont dans la salle.

Nous nous arrêtons à ce stade de l’exploration. Nous regardons le film. Pendant la durée du film, je touche à travers son boxer blanc son sexe qui réclame le grand air. Je me demande mentalement si le gentil Bastien habite chez ses parents ou s’il a un studio en ville. Au bout de presque deux heures, les lumières se sont rallumées. Bastien a tout juste le temps de remonter son jean. Nous sortons de la salle de ciné. Enfin dehors, il me raccompagne jusqu’à mon hôtel. En chemin, il m’avoue qu’il aimerait que nous continuons ce que nous avons commencé au ciné. Il me propose de revenir le lendemain soir, après son entraînement de foot en fin d’après-midi. Il doit s’en aller car le lendemain, il a cours et il doit se lever de bonne heure pour aller à la fac. Il me dit qu’il a un studio loué par ses parents pour ses études. Il me également dit qu’il vient aussitôt son entraînement fini. Je lui réponds que cela ne me gêne pas.

Chacun repart de son côté vers son lit respectif. Je me fais déjà un film de ce qu’il va se passer le lendemain soir.

La nuit se déroule sans problèmes.

Le lendemain soir, en fin d’après-midi, le concierge m’appelle au téléphone et m’annonce qu’un jeune homme s’appelant Bastien désire me voir. Je réponds qu’il peut monter. Le concierge lui indique le numéro de ma chambre. Cinq bonnes minutes après, Bastien frappe à ma porte. Je vais donc ouvrir. Il commence à sentir la sueur. Je sors l’écriteau « NE PAS DÉRANGER » sur la clenche de la porte et ferme la porte à clé derrière lui, je lui propose de commencer à se dévêtir dans la chambre. Il s’exécute. Il enlève ses baskets, ses chaussettes, son sweat, son pantalon de sweat, son T-shirt. Il pose un instant pour que j’admire son corps à demi-nu travaillé avec de nombreuses heures de musculation. Il tortille du bassin. Je me déshabille aussi entièrement. Je me serre contre lui. Je l’embrasse. Je l’emmène donc à la salle de bains. J’ouvre le robinet d’eau chaude de la douche. Nous commençons à nous laver en nous bécotant. Je lui frotte ses épaules, son dos musclé, ses fesses imberbes, avec du savon parfumé. Il se retourne et me présente un sexe d’une belle taille, qui doit faire autour de vingt centimètres, qui commence à durcir sous l’effet combiné de l’excitation et de la chaleur de la douche. Il me supplie de s’occuper de son sexe. Au fond de moi, je n’attends qu’il me le demande. Nous finissons de nous laver, de nous sécher.

Nous dirigeons vers ce grand lit. Il s’allonge sur le dos, les jambes ouvertes. J’approche ma bouche de ce si beau sexe qui m’appelle. J’ouvre doucement ma bouche. Je sors ma langue et je commence à effleurer son gland. Bastien est saisi du plaisir que je lui procure. Je goûte son sexe centimètre par centimètre dans ma bouche jusqu’à ce que mes lèvres rencontrent son buisson pubien. Bastien gémit de plus belle. Je descends et remonte plusieurs fois le long de ce sexe que Bastien m’offre. Au bout d’un moment, je sens que Bastien commence à se contracter. Je retire ma bouche afin d’admirer le beau feu d’artifices.

Il m’annonce qu’il commence à avoir faim. J’appelle le restaurant de l’hôtel pour réserver un autre couvert à ma table. J’annonce que c’est un invité. Il n’est pas tout à fait l’heure du dîner. Nous causons de nos vies respectives.

À l’heure du repas, Bastien et moi, descendons au restaurant et allons nous placer à la table que j’ai réservée. Nous commandons notre dîner. Nous prenons un steak avec des haricots verts. Au dessert, nous prenons une crème glacée vanille nappée d’un coulis caramel.

Le repas fini, Bastien rentre chez lui. Il me demande s’il peut revenir un autre jour. Bastien m’éblouit tellement par sa beauté physique. Je suis presque forcé d’accepter. Il me propose de revenir deux jours après.

Le lendemain, je visite la ville avec le plan qui est édité par l’Office du Tourisme de la ville à disposition dans le hall de l’hôtel. Durant cette journée, je me demande pourquoi Bastien désire me revoir. J’ai quand même une toute petite idée de ce qu’il désire.

Le jour dit, en fin d’après-midi, Bastien monte directement à ma chambre. Il frappe à ma porte. Je lui ouvre la porte en peignoir que je laisse ouvert exprès. Je vois que, dans son jean, son sexe tout dur ne demande qu’à sortir au grand air. Je l’aide à se libérer. J’embrasse Bastien sur la bouche. Je m’agenouille pour sucer ce sexe qui est là à me supplier. Bastien me fait comprendre qu’il désire glisser son double décimètre entre mes fesses duveteuses. Je n’ose pas lui dire clairement, je devine ce qu’il désire faire. J’enlève donc doucement mon peignoir pour préparer Bastien. Je me mets à quatre pattes sur le sol de la chambre. Il sort de sa poche un préservatif lubrifié. Il crache dans sa main et me lubrifie l’anus, il y glisse deux doigts pour me préparer le sphincter à l’assaut. Il présente son sexe à l’entrée de mon anus. Je sens son gland toucher ma rosette. Sans effort, il s’enfonce dans mon cul. Il doit avoir l’habitude de sodomiser, le bougre. Il s’y prend comme un dieu. Je prends un réel plaisir à l’accueillir tout au fond de moi-même. Il va et vient dans mon cul qui chauffe sous l’action de Bastien. Au bout d’une quinzaine de minutes, je sens que Bastien n’en peut plus et qu’il va libérer sa semence. Il se retire, quitte rapidement son préservatif et explose abondamment sur mes reins. À l’aide de son sexe, il étale, sur mes fesses, sa semence.

Quelques instants après, j'embrasse de nouveau Bastien sur la bouche.

Le lendemain, je dois repartir chez moi. Je rassemble mes affaires pour remplir ma valise.

4 févr. 2013

Louka et Samir

Louka vit seul avec son père dans un pavillon tout proche de la banlieue. Marek est loin de penser que Louka était différent. Louka aime les garçons. Marek se doute un petit peu parce que Louka ne ramène jamais de filles à la maison.

Louka a vingt-cinq ans. Il est grand, cheveux courts bruns, et sportif.

Un soir, Louka est rentré plus tôt que son père. Louka s’installe devant son ordinateur personnel dans sa chambre à l’étage. Louka est en train de regarder un film porno gay avec des garçons arabes bien chauds et bien excités. Louka a le slip et le jean sur les chevilles. Il se masturbe allègrement. Il a le casque sur les oreilles. La maison peut s’écrouler autour de lui, il est très affairé devant son écran.

Marek rentre de ses huit heures harassantes de travail. Marek appelle Louka du bas de l’escalier. Il est l’heure du dîner. Louka ne répond pas. Marek réitère son appel un peu plus tard mais Louka ne répond toujours pas. Un peu fatigué d’appeler Louka, Marek monte l’escalier et se dirige vers la chambre de Louka.

Marek ouvre la porte de la chambre et il découvre Louka dans une situation très embarrassante. Louka sursaute quand il voit Marek entrer. Marek comprend maintenant pourquoi Louka ne répond pas aux appels pour le dîner.

dessin grs louka

Marek s'approche de l’écran et voyait des arabes bien foutus et bien excités en train de s'occuper d'un petit blanc au cul gourmand. Marek attrape Louka par le bras, le fait pencher en avant et se met à lui donner plein de fessées, si fortes que les fesses de Louka en deviennent rouges et endolories.

Marek fait relever Louka et l’incite à s’aérer la tête dehors et de revenir quand il a les idées claires. Louka se rhabille, prend son blouson et franchit la porte d’entrée. Il va vers la cité HLM voisine. Il reste debout appuyé contre un mur puisqu’il ne peut pas s’asseoir sur un banc ou une chaise. Louka sait que des maghrébins y vivent. Il attend un long moment jusqu’à ce qu’un jeune rebeu au look racaille sorte d’une cage d’immeuble pour prendre l’air. Ce rebeu voit Louka traîner dans la cité pour la première fois. Ce jeune mec voit que Louka est mal. Il se tortille du derrière et ça intrigue ce rebeu. Le rebeu a vingt-deux ans, un mètre quatre-vingt, brun aux cheveux courts, vêtu d’un survêt’ aux trois bandes latérales sur un boxer moulant dont la ceinture élastique dépasse largement du survêt’, porte sa casquette à l’envers. Ce mec s’approche de Louka et lui demande ce qu’il fait par là.

Louka se sent très rapidement en confiance et raconte ce que son père lui a fait. Le rebeu le questionne Louka pourquoi son père lui a fait subir un tel châtiment à son age. Louka déballe toute l’histoire. Il demande au rebeu s’il peut l’aider à calmer cette gênante douleur à son cul. Le rebeu connait un remède pour calmer ces douleurs si spécifiques. Il regarde Louka avec compatissance dans les yeux et lui propose de le suivre dans un endroit plus tranquille. Louka ne peut pas refuser cette alléchante offre.

Louka suit ce rebeu de pas trop près mais suffisamment pour voir à quel endroit il va. L’homosexualité du rebeu est connue seulement de quelques uns de ses semblables. Léo voit disparaître le rebeu dans une porte vers un couloir de caves. Le rebeu s'assure que Louka le suit dans ce couloir.

Arrivé devant une porte de cave, le rebeu fouille dans ses poches pour en sortir une clé d'un lourd cadenas métallique. La porte est pleine contrairement aux autres qui sont ajourées. Louka arrive du rebeu qui commence à être échauffé. On peut voir une bosse dans le pantalon de survêtement. Il ne porte pas de sous-vêtement. Le rebeu passe la porte, allume la lumière et entre avec Louka. Dans cette pièce, se trouve un banquette clic-clac un peu usée, un vieux siège de BMW usé mais encore confortable, et une petite table sur laquelle sont posées quelques canettes en alu de couleur rouge et blanche d'une boisson pétillante d'une marque bien connue. Le rebeu enlève ses vêtements et va s'asseoir sur le clic-clac. Il dit à Louka de se mettre à l’aise. Louka enlève aussitôt son blouson, son jean, son slip, et sa chemise. Louka est maintenant tout nu devant ce rebeu. Le rebeu ne peut que confirmer la rougeur des fesses de Louka. Louka demande alors quel est ce remède miracle pour calmer ces rougeurs. Louka renchérit en disant qu’il est prêt à faire n’importe quoi que le rebeu lui dit de faire. Le maghrébin lui répond alors qu’il faut procéder à une préparation spécifique. Il faut qu’il lui suce son sexe pour le rendre aussi dur que de l’ébène. Louka s’exécute. Au fond de lui, il n’attend qu’un rebeu bien chaud lui propose la botte. Louka s’approche encore plus près. Le souffle chaud de Louka sur le gland du rebeu excite encore plus. Il prend la nuque de Louka et l’encourage à le prendre plus profond dans sa gorge. Le rebeu demande à Louka s’il aime sucer la bite circoncise qu’il a dans la bouche. Louka marmonne puisqu’il a la bouche pleine. Louka s’applique si bien que la bite du rebeu est reluisante de salive. Le rebeu caresse les fesses encore endolories de Louka, puis doucement, il lui dépose un doigt humidifié d’une bonne dose de sa salive et l’étale doucement sur le trou de Louka. Il introduit un, puis deux doigts dans l’intimité imberbe de Louka. Louka soupire de plaisir. Il aime ce que ce rebeu lui fait. Il faut dire que ce rebeu est un pro de la préparation anale en vue d’une besogne en règle.

Au bout de plusieurs minutes, Louka, toujours à l’ouvrage sur le pieu du rebeu, lève les yeux et fait comprendre qu’il se sent enfin prêt. Louka se met à genoux, sur l’assise du siège BMW, en écartant les jambes. Le rebeu se leve de la banquette et rejoint Louka. Il pointe son dard et s’enfonce très facilement sans faire du mal à Louka. Le rebeu commence à aller et venir dans ce trou. Il se sent bien dedans. Il accélère progressivement la cadence et l’intensité du pilonnage. Après plusieurs délicieuses et longues minutes, le rebeu ne pouvant plus se retenir, se retire rapidement et explose toute sa crème chaude et sur les fesses rougies de Louka. Une fois le geyser fini, le rebeu étale cette crème sur toute la surface rougie à l’aide de sa longue et grosse bite. Louka est soulagé de cette cuisante douleur que lui a infligée Marek. Louka embrasse longuement et tendrement le rebeu. Louka demande alors au rebeu son prénom. Le rebeu lui répond qu’il s’appelait Samir. Samir, donc, ajoute qu’il a beaucoup adoré enfoncer son pieu dans son petit cul imberbe et qu’il pourra revenir quand il le souhaite.

Louka et Samir se rhabillent ensemble et sortent de cette cave. Louka rentre chez lui.

Louka monte dans sa chambre, se branle en pensant à son nouvel ami dans la cité et s’endorme paisiblement.