Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

15 avr. 2013

Bastien et Dorian

Cela fait au moins six mois que j’étais revenu de mon petit séjour dans un grand hôtel en Rhône-Alpes où j’ai fait connaissance de Bastien.

Ce Bastien m’a hanté mon esprit pendant encore quelques semaines après mon retour.

Un beau jour, je me suis résigne à retourner le voir par mes propres moyens. Je lui ai téléphoné pour lui annoncer mon projet de le revoir chez lui. Il fût enchanté aussi de me revoir. Il m’a dit qu’il m’attendrait dans le hall de la gare ferroviaire. C’était le point de rendez-vous. Je devrais lui communiquer l’heure de mon arrivée deux jours avant.

Je suis donc arrivé à la gare. Il est tard. Il m’attend dans le hall d’arrivée. Il dégouline de partout puisqu’il pleut fort dehors. Je le vois tremblotant dans le milieu de ce hall. Il n’y a presque personne dans ce hall excepté une personne de l’entretien de la gare poussant un grand balai pour ramasser papiers et mégots. Il me fait mal au cœur de le voir comme ça. Alors, je pose ma valise au sol, l’ouvre, et en sort une serviette de toilette. Je l’éponge sommairement la tête. Je ne veux pas qu’il attrape un rhume carabiné. Ce rhume pourrait gâcher ce nouveau séjour auprès de Bastien.

Bastien m’annonce qu’il a depuis peu un appartement pas très loin de la gare. Il m’y emmène. Arrivés devant la porte, il prend ses clés et donne un tour à la serrure. Il me dit qu’il a préparé, juste avant son départ pour la gare, une surprise pour moi. Je ne dois rentrer, les yeux fermés, qu’à son signal. Au bout de deux-trois bonnes minutes, j’entends qu’il m’appelle. J’entre et je fais quelques pas les yeux fermés. Je stoppe. Je referme la porte derrière moi. J’entends une allumette craquer, puis, le signal pour ouvrir les yeux. J’ouvre les yeux. Et je le vois tout nu à coté d’une table en verre. Il a préparé la table pour un dîner aux chandelles. Ce spectacle est magique à mes yeux. Depuis la dernière fois, il n’a pas beaucoup changé. Il a continué de fréquenter la piscine et la musculation. J’ai juste remarqué qu’il s’est rasé le pubis et les testicules rien que pour moi. Il a davantage de bronzage partout sur son corps. Il me suggère de me mettre à l’aise. J’accepte cette invitation et me déshabille entièrement.

Nous nous sommes assis à la table. Nous discutons tout au long du repas de ce que nous devenons depuis ces six mois que nous nous sommes vus. Nous faisons peu exprès de faire traîner le dîner pour pouvoir nous regarder de la tête aux pieds vu que sa table est transparente.

Au moment du dessert, il repart à la cuisine. Il me lance depuis la cuisine qu’il est en train de le préparer. Sans faire de bruits suspects, il fait fondre du chocolat. Il en verse dans un grand bol. Avec un pinceau, il s’en tartine abondamment les tétons et les abdos. Puis, il trempe entièrement son sexe mou dans ce bol. Il vient rapidement à coté de moi. J’ai aussitôt compris ce qu’il attend de moi. Je me mets vite au travail. Il ne veut pas que le chocolat atterrisse sur le parquet ciré de son appartement. Je m’applique avec gourmandise à nettoyer Bastien. Au fur et à mesure que je le nettoie, il se met à durcir comme de l’acier trempé. Je continue à le sucer même s’il n’y a plus de chocolat sur son sexe. J’essaie même de l’avaler entièrement jusqu’à ce que son gland touche le fond de ma gorge. Cela lui procure beaucoup de plaisir. Pendant que je lui suce son sexe, il se penche pour aller explorer de ses doigts mon anus débroussaillé de très près. Je commence doucement mais sûrement à me détendre. Je sens un doigt puis deux pénétrer mon intimité. Ce qu’il me fait, me procure aussi du plaisir. Au bout d’un moment, je lui fais comprendre d’un regard complice que je suis prêt pour recevoir son pieu. Je stoppe de le sucer.

Il étale une vieille serviette de toilette sur le canapé et s’assoit en écartant les cuisses. Je me lève et je me frotte contre son sexe qui pointe le ciel puis, je m’assois progressivement sur son sexe, lui tournant le dos. Ma salive fait office de lubrifiant. Il me saisit les hanches de ses deux mains pour faciliter la descente. Notre plaisir est partagé. Pour commencer, c'est moi qui contrôle la pénétration. Ensuite, c'est à lui de prendre le contrôle. Il fait me mettre à quatre pattes sur le tapis, se met à genoux et me pénètre avec une vigueur bestiale. Au bout de cinq minutes, il se retire, se relève une petite seconde, s’accroupit de nouveau derrière moi pour me pénétrer de plus belle pour cinq autres longues minutes. Au bout de ces cinq minutes, je sens qu’il est en train d’approcher très près l’extase suprême. Je sens subitement quelque chose de chaud et crémeux gicler dans mon intérieur. Il est en train de m’inonder l’anus de son très abondant jus d’amour. Il s’affale sur mon dos pendant qu’il me remplit les boyaux. Quand il a fini, il me susurre au creux de l’oreille qu’il attend ce délicieux moment depuis son premier coup de téléphone il y a un mois.

Il se retire doucement. Il approche son sexe de ma bouche, me force à le ressucer. Je serre les fesses pour ne pas en perdre une seule goutte. Je ne veux pas non plus rendre le sol glissant.

Nous descendons de notre petit nuage et nous débarrassons notre table.

Tout en ramassant notre vaisselle sale sur la table, Bastien me raconte qu’il a un très bon ami gay, qui habite dans la ville voisine, et qui fréquente la même piscine que lui. Bastien me dit aussi qu’il me le présenterait le lendemain matin en allant à la piscine.

Au moment du coucher, Bastien déplore que son canapé n'est pas convertible. Il a aussitôt convenu que ce n'est pas confortable. Il me propose alors de partager son grand lit en tout bien tout honneur. Je suis bien obligé d’accepter son offre alléchante. Mais avant de se mettre au lit, nous nous dirigeons nus vers la salle de bains pour nous brosser les dents et parfaire le nettoyage du chocolat que Bastien a sur lui. Il ne veut pas non plus tâcher les draps.

Il m’avoue aussi qu’il a pour habitude de dormir nu. Couchés, nous entamons une conversation dans laquelle il me dit que, le soir, en rentrant chez lui après le dernier cours de la fac, il se met entièrement nu sitôt passé la porte. Il le fait systématiquement dès lors qu’il est sûr de ne pas être dérangé. La nudité ne lui pose aucun problème. Il se met nu jusqu’au moment de partir pour les cours le lendemain matin.

Vers les une heure du matin, il m’informe qu’il faudra dormir pour pouvoir être en forme pour aller à la piscine de bonne heure le lendemain matin. Il éteint la lumière et se met sur le coté en chien de fusil.

Inconsciemment, je me colle à lui pour sentir ses pecs et ses abdos dans mon dos. Nous terminons cette première nuit dans cette confortable position.

Le lendemain matin, Bastien se lève discrètement, sans bruit, s’habille en survêtement, allume la cafetière et va jusqu’à la boulangerie toute proche pour acheter du pain tout chaud et des croissants au beurre.

Je dors encore à son retour. Il nous prépare un petit déjeuner au lit avec les tartines de beurre et de confiture. L’odeur de café et des croissants me chatouille les narines. Ça me réveille agréablement. Il quitte son survêt’ et rejoint, nu, au lit. Je m’adosse à la tête de lit. Il fait de même. Nous déjeunons sans trop traîner puis que Bastien veut que je l’accompagne à la Piscine.

Sitôt le petit déjeuner achevé, nous nous habillons en mettant d’abord notre slip de bain, puis nos habits. Bastien a un jean qui moule très bien son anatomie. Il ne sait jamais que j’ai gardé son élixir d’amour en moi durant toute la nuit.

Nous prenons nos sacs avec nos affaires de toilette et nous dirigeons vers l’arrêt de bus tout proche. La piscine est à trois-quatre stations de là.

Le bus nous dépose devant la Piscine. Nous y entrons, nous nous acquittons du droit d’entrée, et nous nous dirigeons vers les vestiaires.

Nous entrons dans l’eau et faisons quelques longueurs. Bastien crawle et moi, je brasse. Pendant ses longueurs, j’ai encore ce très délicieux souvenir en moi. Je ne veut pas qu’il se dilue à l'eau chlorée du bassin.

Au bout de trois ou quatre longueurs de bassin, Bastien s’arrête et regarde autour de lui pour chercher son très bon ami, habitant d’une ville proche, qu’il voulait me présenter. Visiblement, il l’attend impatiemment. Je lui demande la raison de son léger énervement. Il me répond que son pote qu’il attend n’est toujours pas arrivé. Nous attendons encore un peu en refaisant d’autres longueurs. En s’arrêtant une nouvelle fois au bord du bassin, nous apercevons un jeune mec d’à peine vingt ans, brun, athlétique, imberbe, 1m75 environ, de beaux pectoraux musclés, et aussi de beaux abdos bien dessinés par de longues séances de musculation presque intensives. Quelques petits poils forment une ligne pas très épaisse allant du nombril et qui disparait sous un slip bien fourni.

Ce garçon a compris que nous l’avons repéré dès qu’il est entré dans l’eau. Il nous lance un clin d’œil. Bastien ne l’a jamais vu auparavant dans cette piscine. Nous nous interrogeons si nous sommes d’accord pour passer un bon moment avec ce mec à l’appartement. Bastien acquiesce bien volontiers. Alors, nous nous arrangeons pour sortir avant ce mec si sexy. Nous nous douchons et habillons en vitesse. Nous attendons dehors la sortie de ce jeune Apollon. Quelques instants plus tard, il sort. Bastien et moi lui faisons signe de nous rejoindre sur le banc où nous l’attendons. Nous nous sommes présenté succinctement. Il s’appelle Dorian. Je lui dis aussitôt que c’est un très joli prénom. Il sourit. Après les présentations, Bastien lui a demandé s’il accepte de passer un peu de bon temps, tous les trois, à son appartement. Il a compris et accepte sans problèmes. Il est presque excité même. Sur ce, nous reprenons le bus pour regagner nos pénates.

Arrivés devant la porte, Bastien glisse sa clé dans la serrure. Il me fait comprendre par un clin d’œil qu’il va faire comme la veille au soir. Il entre et nous laisse sur le palier. Je dis à notre invité que Bastien nous prépare une surprise. Et que, dans un cours instant, il nous donne le signal pour entrer. Le signal est donné, nous entrons. Je referme la porte derrière nous. Je donne un tour de clé.

Bastien ordonne de se déshabiller entièrement. Je fais de même. De voir Dorian tout nu nous fait beaucoup d’effet. Bastien et moi durcissons. Bastien s’approche de Dorian et commence à lui caresser la poitrine et lui titiller les tétons. Je me plaque derrière Dorian et lui caresse les abdos, ma bite frôle ses fesses naturellement glabres. Bastien approche son visage et commence à lui lécher longuement les tétons de Dorian. Moi, de mon coté, commence à masturber les vingt centimètres de chair épaisse et toute lisse. Son gland monte à son zénith. Bastien et moi, nous nous accroupissons devant lui pour lubrifier de salive son engin de plaisir.

Au bout d’un moment, je prie Bastien de passer derrière moi pour bien me préparer mon anus absent de tout poil. Bastien se met aussitôt au travail pendant que je m’applique à sucer Dorian sans précipiter le point de non-retour. Puis, je fais comprendre à Bastien de changer de rôle avec Dorian. Dorian s’accroupit pendant que je suce langoureusement Bastien. Je force presque Dorian à mieux faire en appuyant ma main libre à plaquer sa tête contre mon œillet. Une bonne dizaine de minutes plus tard, tout excité, je fais signe à Dorian de s’allonger sur le dos par terre. Face à Dorian, je m’empale doucement et entièrement sur son pieu dégoulinant de salive. Je reste ainsi une à deux minutes pour appréhender la grosseur et la longueur du sexe de Dorian. Je fais ensuite quelques montées et quelques descentes. Ensuite, je fais quelques larges cercles avec mon bassin. Secrètement, je prépare mon sphincter anal à une gymnastique d’un autre monde. À ce moment précis, Bastien est compris ce qu’il va devoir faire. Il revient devant moi pour une ultime fellation. Je cligne et il se retire de ma bouche pour aller se poster derrière moi pour tenir compagnie à Dorian.

Bastien se met en position et pose le bout de son gland sur mon anus déjà encombré du beau braquemart de Dorian. Il pousse tout doucement son joystick jusqu’à ce que son gland disparaisse. Il s’arrête un instant. Le plaisir remplace progressivement la douleur. Bastien reprend sa pénétration avec douceur. Il vise ma raie avec de la salive pour faciliter un peu plus la glisse de son sexe bien dur. Il me pénètre jusqu’à ce que ses couilles rejoignent celles de Dorian. Ils s’immobilisent au fond de mon cul. Puis, ils reprennent des mouvements de va-et-vient. Bastien s’immobilise une fois de plus. Dorian continue de me ramoner avec davantage de vigueur. Bastien reprend la poussée de sa bite pendant une bonne dizaine de minutes encore. Ce délai passé, je vois Dorian qui commence à sentir venir son jus. Il est pris de convulsions musculaires. J’en déduit qu’il est bel et bien en train de jouir et m’inonder abondamment le conduit anal. Bastien le suit de près. Comme il se trouve derrière moi, je ne le vois pas grimacer, annonçant le point de non-retour. Je sens alors une deuxième salve toute aussi abondante de crème bien chaude dans mon cul. Une bonne minute après, Bastien se retire doucement puis c'est au tour de Dorian de se retirer pour ne pas en perdre une seule goutte.

Je redescends progressivement de mon nuage. J’embrasse alternativement Bastien et Dorian en remerciement de moment si mémorable. Je reste allongé sur le ventre pendant un moment pour apprécier tout ce « liquide » stagner en moi. Mais aussi pour que mon sphincter reprenne une taille normale après cette gymnastique et un repos bien mérité. Je réussis à me mettre un ou deux doigts dans mon anus pour m’en enduire afin de me délecter de ce délicieux nectar des dieux.

Bastien et Dorian se positionnent en 69 pour nettoyer la bite de l’autre.

Une fois nettoyés, Dorian se releve, se rhabille et sort de l’appartement après qu’ils s'échangent leurs coordonnées postales et téléphoniques.

Bastien ferme la porte. Dorian s’éloigne de plus en plus...

8 avr. 2013

La machine à laver

Je vivais depuis presqu’un an dans un appartement dépourvu d’appareils électroménagers. Jusqu’à maintenant, j’allais laver mon linge sale au lavomatic du coin. La ventilation de ce lavomatic laissait à désirer car ça sentait trop la lessive et le linge mouillé.

Un beau jour, mon patron a l’idée, dans un jour de bonté, d’augmenter substantiellement mon salaire. Je décide alors d’aller chez BUT™ pour acheter un lave-linge.

Arrivé au magasin, je me dirige vers le rayon des lave-linge. Il y a beaucoup de marques et de modèles différents. Comment vais-je faire pour choisir une machine à laver qui me convient ? Je me lance alors à la recherche d’un vendeur. Un vendeur, me voyant un peu perdu, s’approche vers moi. C’est un beau garçon d’une petite trentaine d’années, des cheveux courts et châtains, aux yeux clairs, d’allure athlétique. Mon cœur bat la chamade au fur et à mesure qu’il s’avance vers moi. Il me demande s’il peut m’aider. Je lui réponds par l’affirmative. Je vois son badge épinglé sur la poche de sa chemise blanche. Il s’appelle William. En dessous de son prénom, il est marqué sa fonction. Il est le gérant de ce magasin.

Je lui explique que je cherche un lave-linge pas trop cher, de qualité et économique. Après quelques minutes de questionnement, mon choix s’arrête sur un modèle avec un hublot en façade. Je le suis jusqu’à un poste informatique pour savoir s’il y en a encore en stock. Il tape la référence sur le clavier. Pendant qu’il tape ces chiffres, je vois qu’il ne porte pas d’alliance à son doigt. Intérieurement, je m’interroge pourquoi un si bel homme comme lui n’a pas d’alliance. Il m’annonce, un peu dépité, que le modèle n’est pas en stock actuellement. Une commande pour réapprovisionnement du stock est en attente et que je dois attendre quelques jours encore.

Pour parer ce petit désagrément pour le retard de livraison, William me propose de me livrer lui-même la machine chez moi gratuitement. Mon sang ne fait qu’un tour. Je ne veux pas croire qu’il me fasse une telle proposition. Je suis forcé d’accepter. Il me questionne sur l’heure il pourra me livrer. Je lui demande si le soir vers 18 h ou 19h lui convient. Il me dit alors que ça ne le dérange pas, bien au contraire, puisqu’en écrivant mon adresse sur le bon de livraison, il me dit que j’habite sur le chemin entre son domicile et le magasin. Il s’arrête chez moi le soir en rentrant chez lui après le service pour me livrer.

Je décide alors de régler une première partie, qui représente les 3/5ème de la facture. Le restant, je lui réglerai à la livraison.

Plusieurs jours passent. Le jour dit, dans l’après-midi, je reçois sur mon portable, un appel d’une personne du magasin me disant que la machine est arrivée et qu’elle m’allait être livrée dans la soirée par le patron en personne conformément à la consigne sur le bon de livraison. Je prends note et remercie cette personne de m’avoir prévenue.

Le soir de la livraison, je rentre chez moi après ma journée au bureau. Alors que je prends une bonne douche chaude et réparatrice, j’entends frapper à la porte. Je ne prends même pas le temps de me rincer correctement, j’enfile à la hâte sans refermer mon peignoir et va ouvrir la porte. C’est William qui me livre. Il a pu rentrer dans l’immeuble puisque je lui a donné mon digicode sur un bout de papier lors de la commande. Je le fais entrer et referme derrière lui. Il pousse le diable chargé jusqu’à l’arrière-cuisine où se trouvent l’arrivée et l’évacuation d’eau et la prise électrique. Je vois que son regard peser sur moi. Je referme mon peignoir. Il m’arrête dans mon élan. Je comprends alors qu’il est gay.
Il est en train de me regarder tout le temps depuis son arrivée dans l’appartement. Il me demande si j’occupe seul cet appartement ou si j’ai quelqu’un dans ma vie. Je lui réponds que je suis seul. Il me demande ensuite s’il peut se laver un peu une fois la machine installée. Je lui réponds affirmativement. Bien entendu, dans ma tête, c’est indescriptible.

Une fois la machine installée et branchée, il me demande si j’ai besoin d’explications pour l’utilisation de cette machine. J’ai toujours mon peignoir ouvert. William a du mal à se concentrer sur la mise en route la machine. Il y parvient tant bien que mal. Comme promis plus tôt, il me demande la salle de bains pour se laver. Il me précise qu’il a besoin de prendre une douche. Sa journée était épuisante. Sa chemise commence à sentir. À peine passé la porte de la salle de bains, il déboutonne sans se presser sa chemise de travail laissant apparaître un joli torse musclé et imberbe. Se déshabiller devant moi ne le dérange absolument pas. Il continue son effeuillage en enlevant son jean. William ne porte rien en dessous. Dés qu’il dézippe sa fermeture éclair, j’ai, là, devant moi, une très belle bite qui commence à durcir. Il a un pubis très entretenu taillé comme un ticket de métro. De belles couilles lisses et rasées pendent sous cette belle bite.

Il ouvre la porte en verre et rentre dans le bac à douche et commence à ouvrir les robinets d’eau pour la mettre à température. Il ne doit pas attendre longtemps puisque j’y étais juste avant qu’il arrive. Il se mouille entièrement, se saisit de la bouteille de shampooing, en versant une dose dans sa main, et commence à se frotter ses cheveux courts. Ensuite, il prend le flacon de gel douche et s’en étale partout sur son torse, sur ses abdos bien dessinés, ses bras, ses jambes, ses fesses et son sexe. Je le regarde avec délectation se doucher. Je le vois se tortiller les épaules pour se nettoyer le haut du dos. Il n’arrive pas à le faire. Je me décide à l’aider. Sans lui dire, j’enlève mon peignoir et rentre dans la douche. Il reste encore un peu de place pour se bouger. Je prends le flacon de gel douche et le presse au-dessus de épaules de William. Le gel douche coule sur sa peau douce et mate. Je me suis mets à lui laver les endroits qu’il ne peut atteindre. Je continue plus bas. Un instant, je me surprends à lui laver ses fesses bien rondes et fermes. Je vais même jusqu’à glisser un ou deux doigts dans la fente fessière. Je retire mes mains de son cul pommelé. Il me lance tout excité de reprendre sous prétexte d’adorer ça. Sous l’effet de mes caresses, il se met à bander. Je dis alors à William qu’il ne peut pas rentrer comme ça chez lui avec cette bosse dans le jean. Je lui dis qu’il n’y a qu’une seule solution pour « gommer » ce délicat problème. Il rit. Nous finissons de nous rincer. William ferme les robinets et nous sortons de la douche. Après s’être séchés mutuellement, je m’accroupis devant lui. Je me saisis du « bâton de gendarme » qui s’offre à moi. J’y approche mes lèvres. Je passe ma langue sur mes lèvres et j’ouvre à peine la bouche. William pose le bout de son gland et transperce très doucement le trou formé de mes lèvres humidifiées de salive. Il es saisi d’un sursaut de bien-être dès que son gland soit entièrement rentré dans mon orifice buccal. Je lui chatouille son gland de ma langue experte. Soudain, je sens ses mains se poser de chaque coté de ma nuque. Il pousse sans à-coups sa bite lisse dans ma bouche.

Au bout d’un moment, William retire ma bouche de sa bite. Il m’embrasse sur la bouche. Il y glisse sa langue. Sa langue y fait un tour, deux tours. Puis, il me susurre à l’oreille de lui lécher son anus. J’obéis à son ordre. Je m’allonge sur le tapis de la salle de bains. William reste debout au dessus de moi. Il place un pied de chaque coté de ma tête. Je lève les yeux et vois sa fente fessière glabre. Il approche cette vue en s’accroupissant tout doucement vers mon visage. Plus il s’accroupit, plus son œillet rose s’ouvre. William s’épile aussi l’anus. Son anus couvre ma bouche. Ça fait même ventouse. Je sors ma langue et commence à humidifier le bord de sa rosette. De mes mains, je lui caresse le galbe de ses fesses toutes lisses. Puis lentement, j’introduis ma langue dans ce trou qui s’offre à moi. Il a un goût délicieux et chaud. William apprécie beaucoup ce traitement spécial.

Pendant que je suis à l’œuvre, je me demande à quoi pouvait servir cette petite faveur que m’a demandée William. Veut-il que ce soit moi qui le baise ? Je n’en sais fichtrement rien. Pendant ce rituel, il bande toujours aussi dur comme un roc.

Au bout d’un instant, dès qu’il sent prêt, il me hurle presque de me relever, de me pencher en avant. Et, d’un coup, il me pénètre le cul aussi facilement comme dans du beurre. J’ai du mal une seconde ou deux. Il se retire, enfourne une nouvelle fois son pieu jusqu’au plus profond de ma tuyauterie, et y reste de façon que mes sphincters anaux épousent bien le membre durci de mon livreur. Il commence à aller et venir. Il accélère progressivement la cadence et l’intensité de son pilonnage. Je m’aperçois que je n’ai pas été baisé de la sorte depuis des lustres. William continue à me baiser le cul virilement.

Soudainement, j’entends William pousser un autre ton de gémissements que ceux de mon pilonnage. J’en déduis qu’il est dans un « état proche de l’Ohio ». Je sens que tout son corps a tous les spasmes de la jouissance. Dans la seconde qui suit, il s’affale sur moi. Je sens quelque chose de chaud et abondant se répandre en jets saccadés dans mon intérieur. Il m’a bel et bien inondé mes entrailles de son élixir d’amour. Une fois que William a fini, il se retire doucement et se renverse sur le dos à coté de moi. Il est en nage. Il reprend une dernière douche très rapide pour faire disparaître l’odeur de stupre.

Il se sèche, se rhabille. Il me dit que si j’envisage de faire d’autres achats au magasin, que je dois l’appeler personnellement. Il sera très enchanté de me livrer à nouveau un appareil électroménager.

Cette proposition qu’il vient de me faire me satisfait tout à fait. J’accepte cette proposition. Je lui dis que je vais le revoir pour acquérir un autre appareil.

Il reprend son diable, repasse la porte dans l’autre sens et disparaît dans le couloir.

1 avr. 2013

Le centre de redressement

Il se prénomme Jeremy. Il a accumulé plein de bêtises. Il est envoyé dans un centre de redressement établi dans une vieille caserne militaire désaffectée. Ce Centre est dirigé par un directeur au caractère bien trempé. Ce directeur porte, secrètement sous son costume, un harnais de torse en cuir, un cockring lourd en métal chromé et un jockstrap en cuir épais et clouté. Ce centre compte une vingtaine de résidents d’âges différents.

Jeremy est un jeune garçon à la peau blanche, aux cheveux blonds décolorés et à la silhouette mince. Il doit avoir tout juste dix-neuf ans.

En début d’après-midi d’un été chaud, une voiture dépose devant les grilles d’un bâtiment imposant. Jeremy sonne et un gardien arrive. Le gardien l’accompagne jusqu’au bureau du Directeur, Mr Di Marco. À peine arrivé dans le bureau, Mr Di Marco demande de ne pas s’asseoir et questionne sèchement Jeremy la raison qui l’a conduit dans ce centre. Jeremy balbutie. Mr Di Marco lui demande avec autorité de parler fort et clair parce qu’il veut que Jeremy comprenne conscience de ses actes en lui faisant dire à haute voix les bêtises qu’il a faites.

Le directeur lui annonce qu’il devra se plier au règlement intérieur en vigueur dans cet établissement et participer aux travaux d’intérêt généraux.

Mr Di Marco ordonne à son surveillant général, Mr Ford, d’escorter le jeune blanc-bec jusqu’à sa chambre avant de lui faire une visite rapide et ensuite de l’emmener rejoindre ses quatre autres acolytes de son groupe. Arrivés à sa chambre, Jeremy dépose sa valise et suit Mr Ford pour la visite et puis enfin de le faire rentrer dans le groupe de quatre qui sont déjà seau à la main pour ramasser papiers, mégots de cigarettes, etc. Jeremy était juste vêtu d’un bermuda en jean usé et troué de part en part, et d’un débardeur court en coton blanc.

Cette première journée pour Jeremy est éreintante. Sitôt l’endroit nettoyé, Jeremy et les quatre autres vont vider leurs seaux dans le container au local à poubelles sous l’œil de Mr Ford, le surveillant général. Les cinq garçons se dirigent vers la salle de douches collectives. Jeremy prend sa douche dans un coin de la pièce. Jeremy est loin de penser que ses quatre colocataires de chambrée lui reluquent secrètement son derrière tout blanc qu’il « offre » à la vue des autres. Jeremy ne se doute pas, non plus, qu’il va devenir la proie de ses quatre autres obsédés. Après cette douche, les cinq garçons se rendent au réfectoire, pour le dîner qui a été préparé par une autre équipe de cinq garçons, eux aussi, résidents de cette imposante bâtisse. Pour terminer, chaque groupe regagne leurs chambres respectives. Les chambres sont de chambres-dortoirs de six lits métalliques. Donc, pour Jeremy, cette première journée se déroule sans problèmes.

Le lendemain matin, Jeremy est réveillé de bonne heure pour assister à un cours d’éducation civique. Ce cours est enseigné par un grand mec aux épaules larges à la virilité certaine. Lui aussi, comme le directeur, porte près du corps, sous son costume, un harnais de torse en cuir large. Ce cours a pour objet de réapprendre à ces jeunes les valeurs tels que le respect d’autrui. Cela dura toute la matinée.

L’après-midi, Jeremy et ses quatre compères, toujours armés de leurs seaux, nettoient un autre endroit du Centre. Le soir, ils vident leurs seaux dans le même container que la veille au local des poubelles. Ils dirigent, comme la veille, vers les douches, le réfectoire, puis leurs lits. À peine Jeremy couché sur son lit, qu’il commence à s’endormir sur le coté en chien de fusil. À ce moment-là, comme il faisait chaud, Jeremy est vêtu d’un simple slip à poche en coton blanc. Une fois endormi, l’un de ses colocataires de chambrée, Jason, marche sans bruit, la bite en érection, vers Jeremy. Jason approche son engin de la bouche du blondinet en essayant de ne pas le réveiller. Jason touche du gland les lèvres de Jeremy. Jeremy sursaute. Jason lui prend les mains et force Jeremy à le sucer sous peine de réveiller le surveillant général qui dort à l’autre bout du couloir. Jeremy s’exécute sans broncher. Jason fait signe, discrètement et efficacement, aux trois autres de venir le rejoindre pour se faire sucer aussi. Les trois autres, se lèvent la bite toute dure à l’air en direction de Jeremy. Après quelques instants, Jason se retire de la bouche de Jeremy. Roman présente sa bite sous le nez de Jeremy. Jeremy s’applique pour sucer Roman. Quelques courtes minutes, Roman se retire. Il est remplacé par un autre garçon, Billy, qui lui aussi, donne son sexe à Jeremy. Un moment plus tard, Billy se retire aussi. Puis le dernier des quatre, Tyler, termine la boucle. Une fois fini, Jason, Roman, Billy et Tyler mettent Jeremy sur le dos et explosent leurs semences sous la forme d’un feu d’artifices sur le ventre plat de Jeremy. La deuxième nuit se passe normalement.

Le lendemain suivant, Jeremy, Jason, Roman, Billy, et Tyler vont en direction du cours d’éducation civique enseigné par Mr Miklos, un professeur d’une petite quarantaine d’années venu tout droit de l’Europe de l’Est. Ils sont surpris que leur professeur leur fasse une interrogation orale surprise. Mr Miklos piége Jeremy, à des questions auxquelles il ne peut répondre. Mr Miklos lui assure qu’avec sa méthode personnelle l’éducation civique sera sue par cœur. Il met fin au cours en disant à Jeremy de venir seul au cours le lendemain matin. La matinée se termine. Après le déjeuner, comme l’accoutumée, toujours armés de leurs seaux, nettoient un autre endroit du centre.

Le soir, pendant la douche, Jeremy supplie Jason quelle est cette méthode si particulière pour faire apprendre son cours efficacement. Jason ne veut rien dire à Jeremy de ce qu’il peut l’attendre à ce cours. Vient l’heure du dîner, ils vont au réfectoire. Après avoir mangé, ils montent dans leurs chambres après avoir brossé leurs dents. Ils se couchent. Jeremy a encore ce slip à poche en coton blanc. Jeremy s’endort. Après quelques minutes, le même scénario que la veille recommence mais prend une autre tournure quand Jason se lève, se dirige vers la bouche de Jeremy et force le passage pour qu’il lui enduit son sexe tout droit et lisse, humide de salive. Jason se penche pour baisser le slip de Jeremy. Jason lèche un moment l’œillet de Jeremy afin de l’humidifier. Jason assène un aller-retour une fois encore dans la bouche du jeunot. Puis, se place derrière Jeremy, le fait mettre à quatre pattes sur lit, le cul vers le ciel. Il prend sa bite toute dure et la presse sur le petit trou rose de Jeremy. Jeremy a la tête dans son oreiller pour étouffer les cris de douleur. Jason a tellement bien lubrifié de salive l’anus de Jeremy que sa bite, une fois le gland rentré, rentre comme dans du beurre. Jason fait de nombreux va-et-vient dans le petit cul vierge de Jeremy jusqu’à ce qu’il ne se retient pas et crache sa chaude et abondante semence jusqu’à sa dernière goutte dans les tripes de Jeremy. Il se retire doucement en veillant de ne pas en perdre une goutte. Pendant que Jason s’occupe de Jeremy, Roman, Billy et Tyler sont là à se masturber pour se maintenir en forme. Roman s’approche de Jeremy qui a la peau des fesses qui commence à briller. La bite de Roman est toute lisse et très légèrement courbée vers le haut. Roman n’a aucun mal à introduire son sexe dans le cul de Jeremy. Roman secoue le derrière de Jeremy longuement jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus de se retenir. Roman largue toute sa purée également dans le cul de Jeremy. Comme Jason, Roman se retire en ne laissant rien perdre. Billy se présente derrière Jeremy avec son gros sexe veineux et dur, il rentre comme dans du beurre. Billy prend Jeremy, de chaque coté, le bassin fermement pour une meilleure introduction de son sexe. Jeremy, lui, le visage dans son oreiller. Billy ne se sent plus et largue lui aussi toute sa sauce dans les entrailles de Jeremy. Billy se retire, de la même manière, que ses comparses, aussi délicatement pour ne pas en perdre une goutte. Le dernier, Tyler se présente devant l’anus dégoulinant de Jeremy. Tyler y enfonce son sguègue dans les tripes, en sort, rentre, sort, rentre, et y rentre avant d’y déposer, lui aussi, toute sa sauce blanche et crémeuse.

Ces garçons, trop occupés, oublient la ronde du surveillant général, Mr Ford. Mr Ford sent du couloir cette odeur si particulière, s’approche de cette chambre. Il commence à se remettre en place ses attributs qui commencent à durcir. Il fait irruption et surprend le jeune Jeremy le cul en l’air dégoulinant de sperme. Ce spectacle lui fait sortir de son pantalon son gros sexe épais et droit. Jeremy est dans un état d’excitation qu’il supplie Mr Ford de lui en remettre une couche. Ce que Mr Ford fait. Il s’introduit dans le cul si offert par Jeremy. Mr Ford se vide aussi dans le cul de Jeremy.

Jason rappelle à Jeremy qu’il faut quand même dormir parce qu’il a cours particulier avec Mr Miklos le lendemain matin.

La nuit se passe rapidement pour Jeremy puisqu’il doit évacuer aux toilettes, toute cette semence accumulée en lui. Il n'a pu dormir que deux heures.

Le lendemain matin, de bonne heure, Jeremy se dirige seul au cours de Mr Miklos pour la leçon particulière. Mr Miklos ne porte pas son costume comme d’habitude. Il porte juste son harnais de cuir qui lui enserre la poitrine mettant en valeur ses deux seins piercés d’un petit anneau. Il est assis derrière son bureau. Jeremy se tient debout juste devant le bureau. Mr Miklos pose la première question à Jeremy en l’avertissant d’un gage s’il ne répond pas correctement. Jeremy donne une réponse fausse. Alors, Jeremy passe sous le bureau et commence à sucer un très court instant. Mr Miklos retire la tête de Jeremy, puis pose une deuxième question. Jeremy donne une réponse incomplète. Mr Miklos ne parle pas et fait un signe de repasser sous le bureau et de sucer encore un court instant. Mr Miklos tire la tête de Jeremy et pose une troisième question. Jeremy donne une autre réponse fausse. Mr Miklos se fâche. Ce coup-ci, Jeremy repasse sous le bureau plus longuement. Après quelques instants, à la quatrième question, il allonge Jeremy sur le ventre sur le bureau, le cul à l’air. Mr Miklos repose une question à Jeremy en guise dernière chance pour échapper au châtiment ultime. Jeremy sèche complètement la réponse. Alors Mr Miklos écarte les lobes fessiers, crache de la salive sur l’anus de Jeremy. Il lui introduit un doigt, et présente son énorme gland et le pousse dans les tripes encore endolories de la veille au soir. Mr Miklos reste un moment planté au fond du cul pour que les muscles anaux de Jeremy épouse bien la forme de l’énorme gourdin qui est en lui. Jeremy sent que Mr Miklos commence à remuer doucement, puis accélère progressivement la cadence. Le professeur va et vient plusieurs fois dans les boyaux de son élève. Après de longues minutes interminables de pilonnage, Mr Miklos inonde jusqu’à la dernière goutte le petit cul de Jeremy. Il se retire lentement. Mr Miklos fait jurer à Jeremy de ne rien révéler de sa méthode si particulière à Mr Di Marco, le Directeur du Centre. Jeremy est toujours allongé sur le bureau. Ce professeur, voyant que Jeremy « perdait » le précieux liquide, s’accroupît et lèche l’anus de Jeremy pour récupérer cette semence. Il se lève, la bouche pleine, immobilise la tête de Jeremy, le force à ouvrir la bouche, pose ses lèvres sur celles de Jeremy et laisse couler doucement le « St Graal » au fond la gorge de Jeremy. Ils restent, bouches collées, jusqu’à ce que Jeremy avale cet élixir de vie. En fin de matinée, Jeremy quitte la salle de cours.

Le déjeuner arrive. Jeremy se dépêche de prendre son repas pour enlever cette odeur de stupre qu’il a dans la bouche. L’après-midi, lors du créneau de ramassage des déchets qui jonchent sur le sol, ça et là, Jason demande à Jeremy comment s’est passé son cours avec Mr Miklos. Jeremy lui fait un clin d’œil qui en dit long. Ce que Jeremy ignore, que Jason dû, lui aussi, en son temps, subir cette méthode si particulière de ce professeur.

Les journées se suivent et se ressemblent. Jeremy subit la leçon de Mr Miklos deux fois par semaine pendant trois mois. Un beau matin, le Directeur, Mr Di Marco, fait venir Jeremy à son bureau pour un examen périodique des trois mois. Mr Di Marco demande comment se passe ce séjour. Jeremy affirme à haute voix. Le directeur pose lui, aussi, trois questions. Mr Di Marco, sans le savoir, reprend la même méthode si particulière de Mr Miklos. Il pose une première question à Jeremy sur la notion de respect d’autrui. Jeremy ne peut répondre correctement. Le directeur, discrètement, enlève son pantalon de costume. Il repose une seconde question. Jeremy sèche aussi sur cette question. Mr Di Marco pose une troisième question. Sans réponse, il ordonne à Jeremy de se pencher sur le bureau. Il lui baisse son short et lui donne une fessée cul nu. Il lui bande les yeux avec le bandana noir que le Directeur porte. Puis, sans un bruit, il ouvre un tiroir de son bureau et en sorte un bâillon-boule qu’il presse devant la bouche de Jeremy et qu’il attache derrière la tête du jeunot. Ensuite, Mr Di Marco sorte aussi du tiroir un flacon de gel lubrifiant mentholé et un « gode-épée » -ou manrammer- de couleur noir d’une assez bonne taille qu’il pose religieusement sur un plateau en argent sur le bureau non loin de Jeremy.

Le Directeur écarte les deux lobes fessiers tout blancs de Jeremy. Il s’aperçoit que l’anus de Jeremy est exempt de poils. Cette vue émoustille Mr Di Marco. Il se palpe virilement le jockstrap clouté en cuir. Il se lèche un doigt et effleure la rondelle de Jeremy. Sous cette caresse, Mr Di Marco voit la rondelle se contracter et se relâcher. Il prend alors le flacon de gel lubrifiant, écartant de nouveau les joues fessières, le place à une vingtaine de centimètres au dessus du cul de Jeremy. Il presse le flacon longuement pour en extraire une bonne noix de lubrifiant sur cette rosette offerte. Il laisse quelques secondes le gel couler doucement vers ce trou.

Pendant que le gel glisse lentement sur la fente toute lisse, le Directeur immobilise d’une main le dos de Jeremy. Une fois, que le gel eut atteint son but, le directeur introduit un doigt dans l’anus offert. Puis il retire son doigt, se recule d’un mètre environ pour contempler lubriquement ce petit cul juvénile. Il marmonne dans un dialecte très étrange quelques mots. D’une manière mystique, il se saisit des deux mains le gode-épée, le brandit en l’air, puis doucement en direction de cette cible. Mr Di Marco s’approche de nouveau, pose le bout du manrammer noir sur la rosette de Jeremy. Il le fait glisser de toute sa longueur sur la fente lubrifiée. Il marmonne de nouveau deux ou trois mots et introduit virilement le gode dans l’anus. Il l’enfonce jusqu’à la garde, le laisse plusieurs longues minutes, fait un dernier aller-retour avec ce gode. Il le sort et le repose sur le plateau. Mr Di Marco enlève la coquille cuir qui est attachée avec des pressions sur le jockstrap en cuir qu’il porte. Cela libère alors un sexe dur dressé comme un mât de drapeau. Ce grand et droit pieu doit faire une bonne vingtaine de centimètres. Mr Di Marco effleure de son gland l’orifice dégoulinant de lubrifiant, puis, sans que Jeremy s’y attende, il s’enfonce entièrement d’un seul coup dans le cul de Jeremy. Il y reste ainsi plusieurs longues minutes. Ensuite, il ressort, et re-rentre et commence un ramonage sans ménagement pendant un bon quart d’heure les tripes de Jeremy. Au bout de ce ramonage, Mr Di Marco s’extirpe rapidement. Sentant sa sève monter dans sa tige, il s’enfonce de nouveau entièrement pour se libérer. Il inonde jusqu’à la dernière goutte le cul de Jeremy. Il se retire doucement et remet le manrammer à l’intérieur pour former un bouchon. Il le laisse dans cette position pendant plusieurs minutes encore.

Jeremy ne peut prononcer un mot puisqu’il est bâillonné.

Quelqu’un frappa à la porte du bureau. C’est Mr Ford qui doit faire son rapport de fin de journée à son supérieur. Le directeur le fait entrer laissant Jeremy à la vue de tout le monde qui entre dans le bureau. Voyant ce spectacle, Mr Ford se palpe le jean et fait comprendre à Mr Di Marco son intention. Mr Di Marco comprend et fait un signe de tête pour dire qu’il est d’accord. Mr Ford baisse son jean puis son slip blanc à poche et commence à se palucher pour « se réveiller ». Mr Di Marco se lève de sa chaise, se place derrière Jeremy, libère les entrailles de Jeremy. Mr Ford introduit son sexe tout dur et légèrement courbé et commence à limer. Au bout de dix minutes, Mr Ford largue tout son jus. Mr Ford se retire. Mr Di Marco remet en place le gode dans le cul du jeunot. Mr Ford sort de la pièce. Vingt minutes après, la porte se fait encore entendre. C’est Mr Miklos qui vient se plaindre du comportement désastreux d’un autre jeune résident. Mr Miklos voit Jeremy penché en avant sur le bureau, le manrammer qui lui comble l’orifice. Mr Miklos descend son jean et son jockstrap en cuir. Il se palpe son énorme sexe droit. Mr Di Marco se relève de sa chaise et vient enlever de nouveau le manrammer des entrailles de Jeremy. Mr Miklos se place derrière Jeremy, effleure la rosette, d’un coup de rein, s’enfonce entièrement comme dans du beurre, dans les tripes de Jeremy. Il laboura pendant une bonne dizaine de minutes le cul de Jeremy jusqu’à ce qu’il explose à l’intérieur. Il se retire. Il répète ce qu’il fait en cours particulier d’éducation civique, c'est-à-dire qu’il s’accroupit derrière Jeremy, il lape le sperme qui coule hors du trou béant de Jeremy, se relève. Il fait signe à Mr Di Marco de lui enlever le bâillon. Mr Miklos force Jeremy à ouvrir la bouche et recueillir tout le sperme au fond de sa gorge que Mr Miklos a récolté. Mr Di Marco remet en place le bâillon dans la bouche et le gode dans l’anus le temps que Mr Miklos sorte de la pièce. Un quart d’heure passa encore, Mr Di Marco enlève le gode des entrailles de Jeremy. Ensuite, Jeremy est libéré du baillon-boule et enfin du bandana qui lui sert de bandeau.

Ce que Mr Di Marco oublie de mentionner à Jeremy, avant de subir les assauts de Mr Ford et de Mr Miklos et de lui-même, que cet examen périodique est décisif pour la poursuite ou non de la peine d’enfermement dans ce Centre de Redressement.

Mr Di Marco fait se relever Jeremy, le fait mettre debout, devant le bureau, le cul lubrifié et tout endolori avec ce qu’il vient de subir. Mr Di Marco lui annonce qu’il devra revenir dans ce bureau dans sept jours afin que ce directeur si ... spécial afin de décider si le séjour doit se finir ou continuer. Pendant ces sept jours, Mr Di Marco réunit son professeur d’éducation civique et le surveillant général pour délibérer...

Une semaine se passe. En fin d’après-midi, après la douche, Jeremy revient dans ce bureau. Messieurs Di Marco, Ford et Miklos sont assis tous les trois autour du bureau ovale. Mr Di Marco, en tenue complète de cuir, a une chaise plus haute que celle des deux autres. Il est donc assis au milieu des trois. Jeremy est vêtu de son débardeur blanc et de son petit short en jean usé qu’il portait en arrivant au Centre.

Mr Di Marco et ses deux subordonnés portent leur costume de ville.

Le Directeur, Mr Di Marco, annonce à Jeremy qu’il devra une petite quinzaine de jours avant de partir définitivement du Centre. À l’annonce du verdict par Mr Di Marco, Jeremy ne sait pas comment réagir à cette décision. Il est partagé entre être content ou être inquiet après les agissements de l’équipe dirigeante.

Mr Di Marco fait ressortir Jeremy de la pièce. La porte refermée, Mr Di Marco a une idée. Il la soumet à ses subordonnés. Ils la trouvent très bonne. Mr Ford se charge de redire à Jason, ainsi qu’aux autres, sans que Jeremy soit mis au courant.

Pendant quelques jours encore, Jeremy, Jason, Billy, Roman et Tyler continuent à ramasser les détritus divers et variés qui jonchent le sol ici et là.

Mr Di Marco a aussitôt une autre idée qui mettra du piment à la surprise qu’il a concoctée à Jeremy. Il prend son téléphone et compose le numéro d’un autre Centre de Redressement distant d’une vingtaine de kilomètres. Il demande à parler au Surveillant Général de ce Centre. Ce Surveillant Général est un très bon ami de Mr Di Marco. Ils se sont rencontrés pendant leur formation initiale. Ils discutent un petit peu pour savoir comment ils vont. Ça fait un petit bout de temps qu’ils ne se sont pas vus. Mr Ford lui annonce qu’il a un projet pour passer un peu de bon temps. Il lui raconte un peu ce qu’il en est. Il le questionne afin de savoir s’il est d’accord pour y participer. Cet ami, enchanté par cette invitation, accepte sans problème puisqu’il n’est pas de service à cette date dans son Centre où il officie. Mr Di Marco fixe une date et une heure en début de soirée. Il lui précise qu’il va le rappeler la veille pour lui préciser quelques détails.

Cet ami est un grand noir qui semble frôler le mètre quatre-vingt-dix-huit. Il a de larges épaules, des bras musclés, des abdos et des pectoraux très bien dessinés. Il s’appelle Mr Washington.

Pendant ces quelques jours, le séjour de Jeremy n'est pas aussi mouvementé. Il a juste droit à des petites claques amicales sur les fesses mouillées par les quatre autres pendant la douche.

Au fil des jours, l’organisation de la surprise de Jeremy se précise de plus en plus. Mr Di Marco découvre dans le dossier administratif, la date d’anniversaire du freluquet. Il en informe en cachette les autres de ce renseignement si précieux.

Pendant ce séjour, Jeremy a secrètement sympathisé avec Jason. Il lui arrive de temps en temps, pendant que les autres dorment très profondément, que Jason se lève en pleine nuit pour aller faire un bisou humide sur la bouche de Jeremy. Ça s’arrête là. Ces petits gestes tendres ne se font pas en présence des autres.

La veille du grand départ, le soir, après la corvée de nettoyage et la douche, Mr Di Marco vient dans la chambre dortoir. Il dit à Jeremy qu’il devra faire sa valise et la déposer chez le gardien juste avant le repas. Il devra suivre à la lettre ce que Jason lui dira une fois la valise déposée et le repas terminé.

En journée, Mr Di Marco rappelle Mr Washington pour lui rappeler à sa mémoire l’heure du rendez-vous. Il lui demande de se munir de son harnais de cuir qui lui va si bien à l’époque de sa formation. Mr Di Marco lui demande aussi de se rendre directement à la salle secrète. Il lui précise que cette salle est située au même endroit que dans son centre. Les deux Centres de Redressement sont construits sur les mêmes plans.

Le grand moment pour Jeremy arrive à la vitesse d’un cheval au galop. Vers vingt heures, le dîner fini, Jason emmène Jeremy dans la chambre. Il l’embrasse sur la bouche. Il lui roule un patin pour laisser le temps à Billy, Roman, Tyler et le reste des enseignants de se rendre dans cette fameuse salle secrète. Au bout de dix bonnes minutes, Jason emmène Jeremy, nu comme un ver, au beau milieu de la cour centrale du Centre. Il lui bande les yeux et lui fait faire trois ou quatre tours sur lui-même.

Jason l’emmène par la main jusqu’à devant une porte rivetée en fer. Jason frappe la porte trois fois puis une fois. Il fait entrer Jeremy dans cette pièce. Jason ferma la porte à clé derrière lui. Jason lui enleva le bandeau des yeux. Jason le déshabilla entièrement. La salle ne possède qu’une malheureuse ampoule au bout d’un fil électrique. Elle n’éclaire pas grand-chose. Le sol est en ciment. Il n’y a pas de carrelage. Soudain, Mr Di Marco sort de l’ombre, nu, vêtu de son harnais de torse en cuir, son sexe mou à l’air. Il ordonne à Jason de menotter Jeremy sur le ventre sur le sling en cuir qui pend au milieu de la pièce. Mr Di Marco se réveille le colosse. Jason bande déjà sous son jean. Jason se place devant Jeremy pour qu’il lui suce sa bite toute raide.

Mr Di Marco sort, de je ne sais où, un flacon de gel lubrifiant et en dépose une bonne grosse noix sur l’anus de Jeremy. Il introduit un doigt, puis deux doigts. Ensuite, Tyler, lui aussi, sort de l’obscurité. Il bande aussi. Il se place un instant devant Jeremy remplaçant Jason. Jason se place derrière Jeremy et le pénètre très virilement. Il lui assène de longs allers-retours. Il se retire un instant, laissant la place à Tyler. Tyler le pénètre doucement et augmente progressivement l’intensité. À tour de rôle, Tyler et Jason se relaient pour pilonner les entrailles de Jeremy. Roman sort du noir et vient se mettre devant la bouche de Jeremy. Jeremy gobe la queue de Roman un court instant. Roman se dirige vers l’œillet de Jeremy. Il le pénètre violemment. Il roule du bassin pour permettre aux sphincters anaux de se détendre et de s’ouvrir de mieux en mieux. La rotation de Jason, de Tyler, et de Roman reprend de plus belle. Billy sort lui aussi de l’ombre. Il se fait sucer pendant un instant et vient se placer derrière Jeremy. Mr Di Marco réapparaît pour remettre du lubrifiant sur la rondelle juvénile de Jeremy.

Les quatre jeunes se relaient le petit cul blanc en faisant de plus grands cercles avec leurs bassins pour dilater les muscles anaux de Jeremy. Tyler, qui est en train de se palucher non loin de là, sent monter sa sève, entre dans Jeremy et y dépose tout au fond du rectum toute sa semence. Il se retire et laisse Jason, Roman et Billy reprendre leurs rotation en dilatant davantage l’anus de Jeremy. Tout à coup, Jason, lui aussi, sent venir. Il tape sur l’épaule de Roman. Roman se retire vite et laisse Jason entrer. Jason expulse sa crème onctueuse dans le fond du conduit anal. Il se retire avec délicatesse.

Mr Di Marco fait détacher Jeremy du sling en cuir. Pendant ce laps de temps, Billy s’allonge sur le dos sur un fin matelas en latex posé par terre. Mr Di Marco oblige Jeremy à s’empaler sur le pieu de Billy. Billy empoigne Jeremy par la taille et lui fait faire quelques allers-retours. Billy regarde Roman et cligne de l’œil. Roman se présente « au garde à vous » derrière Jeremy. Il s’accroupit et pénètre Jeremy profondément. Ils restent un instant pour que les muscles anaux épousent les deux magnifiques bâtons. Billy reste immobile à l’intérieur. Roman commence un nombre incalculable de mouvements. Au bout de dix longues minutes, Billy et Roman inondent de concert les entrailles déjà bien gluantes de sperme de Jeremy.

Jeremy est, une fois encore, menotté sur le dos sur le sling pour quelques minutes encore. Il est au moins minuit moins le quart dans la soirée.

Mr Ford et Mr Miklos sortent ensemble de l’ombre. Tous deux portent leur harnais en cuir qui leur mettent en valeur leurs poitrines velues. Ils bandent durement. Ils ont contemplé le spectacle que les quatre jeunes résidents ont offert. Les deux poilus se mettent de chaque cotés de la bouche de Jeremy pour une préparation adéquate. Mr Ford remplace Billy sur le fin matelas en latex. Jeremy est libéré une seconde fois. Mr Miklos empoigne Jeremy par les deux bras. Il fait quelques pas en direction de Mr Ford, allongé sur le dos. Mr Miklos saisit Jeremy par les deux aines et le fait descendre pour s’empaler sur Mr Ford. Mr Ford fait quelques mouvements de bassin. Il ne bouge plus facilitant l’entrée de Mr Miklos. Tous deux commencent un ballet des bassins. Mr Ford s’immobilise pour exploser dans les entrailles juvéniles. Mr Miklos continue de glisser à l’intérieur. Tout à coup, Mr Miklos, cria d’extase. Il vient d’expulser son importante semence poisseuse tout au fond du rectum.

Mr Miklos se retire puis ce fut au tour de Mr Ford. Il ressaisit Jeremy par les deux bras pour le rattacher sur le ventre sur le sling pour plusieurs minutes encore.

Une forte odeur de sueur et de sexe règne dans cette pièce.

Enfin, Mr Di Marco se place devant Jeremy. Jeremy lui gobe entièrement la bite. Il reste un très court instant lui chatouillant le fond du palais. Mr Di Marco vient se placer derrière Jeremy et le pénètre virilement, fait deux allers-retours. Il se retire. Il va se coucher sur le matelas en latex légèrement humide de sueur de Billy et Mr Ford. Il ordonne à Mr Ford d’aller chercher la surprise de Jeremy. Un petit moment après, Mr Ford vient sous la lumière avec Mr Washington. Mr Washington porte un harnais de cuir. Mr Washington prend le flacon de lubrifiant et s’en étale une bonne rasade de gel sur son sexe d’environ vingt-deux ou vingt-trois centimètres de longueur monté sur deux énormes couilles rasées de la taille de deux beaux abricots.

Il s’accroupit et vient tenir compagnie à Mr Di Marco dans les entrailles, qui ne sont plus vierges désormais. Chacun leur tour, Mr Di Marco et Mr Washington restent immobiles dans le cul dégoulinant de foutre. Au bout de très longues minutes, Mr Di Marco largue sa semence pendant que Mr Washington bouge du bassin. Il reste jusqu’à ce que Mr Washington expulse, lui aussi son jus pour retapisser, pour la neuvième couche, les entrailles de Jeremy.

Mr Washington se retire tout doucement pour ne pas que les doses ne viennent pas polluer le sol immaculé de cette pièce. Mr Di Marco se retire aussi tout doucement, fait remettre Jeremy sur le sling sur le dos. Mr Di Marco se relève et lui introduit un butt-plug de bonne taille qui lui servit de bouchon. Il lui annonce qu’il ne devra pas le quitter pas avant d’être rentré chez lui.

Jason lui remet le bandeau sur les yeux. Il le rhabille. Il lui prend le bras et sort de cette pièce. Jason le libère du bandeau sur la cour centrale.

Jeremy regarde sa montre. Il est trois heures du matin. Il va réveiller le gardien, qui ne dormait pas vraiment. Ce gardien a installé en cachette de Mr Di Marco une webcam dans l’angle du plafond et du mur pour ne pas en perdre une miette. Jeremy récupère sa valise et part définitivement de ce Centre.