Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

15 avr. 2013

Bastien et Dorian

Cela fait au moins six mois que j’étais revenu de mon petit séjour dans un grand hôtel en Rhône-Alpes où j’ai fait connaissance de Bastien.

Ce Bastien m’a hanté mon esprit pendant encore quelques semaines après mon retour.

Un beau jour, je me suis résigne à retourner le voir par mes propres moyens. Je lui ai téléphoné pour lui annoncer mon projet de le revoir chez lui. Il fût enchanté aussi de me revoir. Il m’a dit qu’il m’attendrait dans le hall de la gare ferroviaire. C’était le point de rendez-vous. Je devrais lui communiquer l’heure de mon arrivée deux jours avant.

Je suis donc arrivé à la gare. Il est tard. Il m’attend dans le hall d’arrivée. Il dégouline de partout puisqu’il pleut fort dehors. Je le vois tremblotant dans le milieu de ce hall. Il n’y a presque personne dans ce hall excepté une personne de l’entretien de la gare poussant un grand balai pour ramasser papiers et mégots. Il me fait mal au cœur de le voir comme ça. Alors, je pose ma valise au sol, l’ouvre, et en sort une serviette de toilette. Je l’éponge sommairement la tête. Je ne veux pas qu’il attrape un rhume carabiné. Ce rhume pourrait gâcher ce nouveau séjour auprès de Bastien.

Bastien m’annonce qu’il a depuis peu un appartement pas très loin de la gare. Il m’y emmène. Arrivés devant la porte, il prend ses clés et donne un tour à la serrure. Il me dit qu’il a préparé, juste avant son départ pour la gare, une surprise pour moi. Je ne dois rentrer, les yeux fermés, qu’à son signal. Au bout de deux-trois bonnes minutes, j’entends qu’il m’appelle. J’entre et je fais quelques pas les yeux fermés. Je stoppe. Je referme la porte derrière moi. J’entends une allumette craquer, puis, le signal pour ouvrir les yeux. J’ouvre les yeux. Et je le vois tout nu à coté d’une table en verre. Il a préparé la table pour un dîner aux chandelles. Ce spectacle est magique à mes yeux. Depuis la dernière fois, il n’a pas beaucoup changé. Il a continué de fréquenter la piscine et la musculation. J’ai juste remarqué qu’il s’est rasé le pubis et les testicules rien que pour moi. Il a davantage de bronzage partout sur son corps. Il me suggère de me mettre à l’aise. J’accepte cette invitation et me déshabille entièrement.

Nous nous sommes assis à la table. Nous discutons tout au long du repas de ce que nous devenons depuis ces six mois que nous nous sommes vus. Nous faisons peu exprès de faire traîner le dîner pour pouvoir nous regarder de la tête aux pieds vu que sa table est transparente.

Au moment du dessert, il repart à la cuisine. Il me lance depuis la cuisine qu’il est en train de le préparer. Sans faire de bruits suspects, il fait fondre du chocolat. Il en verse dans un grand bol. Avec un pinceau, il s’en tartine abondamment les tétons et les abdos. Puis, il trempe entièrement son sexe mou dans ce bol. Il vient rapidement à coté de moi. J’ai aussitôt compris ce qu’il attend de moi. Je me mets vite au travail. Il ne veut pas que le chocolat atterrisse sur le parquet ciré de son appartement. Je m’applique avec gourmandise à nettoyer Bastien. Au fur et à mesure que je le nettoie, il se met à durcir comme de l’acier trempé. Je continue à le sucer même s’il n’y a plus de chocolat sur son sexe. J’essaie même de l’avaler entièrement jusqu’à ce que son gland touche le fond de ma gorge. Cela lui procure beaucoup de plaisir. Pendant que je lui suce son sexe, il se penche pour aller explorer de ses doigts mon anus débroussaillé de très près. Je commence doucement mais sûrement à me détendre. Je sens un doigt puis deux pénétrer mon intimité. Ce qu’il me fait, me procure aussi du plaisir. Au bout d’un moment, je lui fais comprendre d’un regard complice que je suis prêt pour recevoir son pieu. Je stoppe de le sucer.

Il étale une vieille serviette de toilette sur le canapé et s’assoit en écartant les cuisses. Je me lève et je me frotte contre son sexe qui pointe le ciel puis, je m’assois progressivement sur son sexe, lui tournant le dos. Ma salive fait office de lubrifiant. Il me saisit les hanches de ses deux mains pour faciliter la descente. Notre plaisir est partagé. Pour commencer, c'est moi qui contrôle la pénétration. Ensuite, c'est à lui de prendre le contrôle. Il fait me mettre à quatre pattes sur le tapis, se met à genoux et me pénètre avec une vigueur bestiale. Au bout de cinq minutes, il se retire, se relève une petite seconde, s’accroupit de nouveau derrière moi pour me pénétrer de plus belle pour cinq autres longues minutes. Au bout de ces cinq minutes, je sens qu’il est en train d’approcher très près l’extase suprême. Je sens subitement quelque chose de chaud et crémeux gicler dans mon intérieur. Il est en train de m’inonder l’anus de son très abondant jus d’amour. Il s’affale sur mon dos pendant qu’il me remplit les boyaux. Quand il a fini, il me susurre au creux de l’oreille qu’il attend ce délicieux moment depuis son premier coup de téléphone il y a un mois.

Il se retire doucement. Il approche son sexe de ma bouche, me force à le ressucer. Je serre les fesses pour ne pas en perdre une seule goutte. Je ne veux pas non plus rendre le sol glissant.

Nous descendons de notre petit nuage et nous débarrassons notre table.

Tout en ramassant notre vaisselle sale sur la table, Bastien me raconte qu’il a un très bon ami gay, qui habite dans la ville voisine, et qui fréquente la même piscine que lui. Bastien me dit aussi qu’il me le présenterait le lendemain matin en allant à la piscine.

Au moment du coucher, Bastien déplore que son canapé n'est pas convertible. Il a aussitôt convenu que ce n'est pas confortable. Il me propose alors de partager son grand lit en tout bien tout honneur. Je suis bien obligé d’accepter son offre alléchante. Mais avant de se mettre au lit, nous nous dirigeons nus vers la salle de bains pour nous brosser les dents et parfaire le nettoyage du chocolat que Bastien a sur lui. Il ne veut pas non plus tâcher les draps.

Il m’avoue aussi qu’il a pour habitude de dormir nu. Couchés, nous entamons une conversation dans laquelle il me dit que, le soir, en rentrant chez lui après le dernier cours de la fac, il se met entièrement nu sitôt passé la porte. Il le fait systématiquement dès lors qu’il est sûr de ne pas être dérangé. La nudité ne lui pose aucun problème. Il se met nu jusqu’au moment de partir pour les cours le lendemain matin.

Vers les une heure du matin, il m’informe qu’il faudra dormir pour pouvoir être en forme pour aller à la piscine de bonne heure le lendemain matin. Il éteint la lumière et se met sur le coté en chien de fusil.

Inconsciemment, je me colle à lui pour sentir ses pecs et ses abdos dans mon dos. Nous terminons cette première nuit dans cette confortable position.

Le lendemain matin, Bastien se lève discrètement, sans bruit, s’habille en survêtement, allume la cafetière et va jusqu’à la boulangerie toute proche pour acheter du pain tout chaud et des croissants au beurre.

Je dors encore à son retour. Il nous prépare un petit déjeuner au lit avec les tartines de beurre et de confiture. L’odeur de café et des croissants me chatouille les narines. Ça me réveille agréablement. Il quitte son survêt’ et rejoint, nu, au lit. Je m’adosse à la tête de lit. Il fait de même. Nous déjeunons sans trop traîner puis que Bastien veut que je l’accompagne à la Piscine.

Sitôt le petit déjeuner achevé, nous nous habillons en mettant d’abord notre slip de bain, puis nos habits. Bastien a un jean qui moule très bien son anatomie. Il ne sait jamais que j’ai gardé son élixir d’amour en moi durant toute la nuit.

Nous prenons nos sacs avec nos affaires de toilette et nous dirigeons vers l’arrêt de bus tout proche. La piscine est à trois-quatre stations de là.

Le bus nous dépose devant la Piscine. Nous y entrons, nous nous acquittons du droit d’entrée, et nous nous dirigeons vers les vestiaires.

Nous entrons dans l’eau et faisons quelques longueurs. Bastien crawle et moi, je brasse. Pendant ses longueurs, j’ai encore ce très délicieux souvenir en moi. Je ne veut pas qu’il se dilue à l'eau chlorée du bassin.

Au bout de trois ou quatre longueurs de bassin, Bastien s’arrête et regarde autour de lui pour chercher son très bon ami, habitant d’une ville proche, qu’il voulait me présenter. Visiblement, il l’attend impatiemment. Je lui demande la raison de son léger énervement. Il me répond que son pote qu’il attend n’est toujours pas arrivé. Nous attendons encore un peu en refaisant d’autres longueurs. En s’arrêtant une nouvelle fois au bord du bassin, nous apercevons un jeune mec d’à peine vingt ans, brun, athlétique, imberbe, 1m75 environ, de beaux pectoraux musclés, et aussi de beaux abdos bien dessinés par de longues séances de musculation presque intensives. Quelques petits poils forment une ligne pas très épaisse allant du nombril et qui disparait sous un slip bien fourni.

Ce garçon a compris que nous l’avons repéré dès qu’il est entré dans l’eau. Il nous lance un clin d’œil. Bastien ne l’a jamais vu auparavant dans cette piscine. Nous nous interrogeons si nous sommes d’accord pour passer un bon moment avec ce mec à l’appartement. Bastien acquiesce bien volontiers. Alors, nous nous arrangeons pour sortir avant ce mec si sexy. Nous nous douchons et habillons en vitesse. Nous attendons dehors la sortie de ce jeune Apollon. Quelques instants plus tard, il sort. Bastien et moi lui faisons signe de nous rejoindre sur le banc où nous l’attendons. Nous nous sommes présenté succinctement. Il s’appelle Dorian. Je lui dis aussitôt que c’est un très joli prénom. Il sourit. Après les présentations, Bastien lui a demandé s’il accepte de passer un peu de bon temps, tous les trois, à son appartement. Il a compris et accepte sans problèmes. Il est presque excité même. Sur ce, nous reprenons le bus pour regagner nos pénates.

Arrivés devant la porte, Bastien glisse sa clé dans la serrure. Il me fait comprendre par un clin d’œil qu’il va faire comme la veille au soir. Il entre et nous laisse sur le palier. Je dis à notre invité que Bastien nous prépare une surprise. Et que, dans un cours instant, il nous donne le signal pour entrer. Le signal est donné, nous entrons. Je referme la porte derrière nous. Je donne un tour de clé.

Bastien ordonne de se déshabiller entièrement. Je fais de même. De voir Dorian tout nu nous fait beaucoup d’effet. Bastien et moi durcissons. Bastien s’approche de Dorian et commence à lui caresser la poitrine et lui titiller les tétons. Je me plaque derrière Dorian et lui caresse les abdos, ma bite frôle ses fesses naturellement glabres. Bastien approche son visage et commence à lui lécher longuement les tétons de Dorian. Moi, de mon coté, commence à masturber les vingt centimètres de chair épaisse et toute lisse. Son gland monte à son zénith. Bastien et moi, nous nous accroupissons devant lui pour lubrifier de salive son engin de plaisir.

Au bout d’un moment, je prie Bastien de passer derrière moi pour bien me préparer mon anus absent de tout poil. Bastien se met aussitôt au travail pendant que je m’applique à sucer Dorian sans précipiter le point de non-retour. Puis, je fais comprendre à Bastien de changer de rôle avec Dorian. Dorian s’accroupit pendant que je suce langoureusement Bastien. Je force presque Dorian à mieux faire en appuyant ma main libre à plaquer sa tête contre mon œillet. Une bonne dizaine de minutes plus tard, tout excité, je fais signe à Dorian de s’allonger sur le dos par terre. Face à Dorian, je m’empale doucement et entièrement sur son pieu dégoulinant de salive. Je reste ainsi une à deux minutes pour appréhender la grosseur et la longueur du sexe de Dorian. Je fais ensuite quelques montées et quelques descentes. Ensuite, je fais quelques larges cercles avec mon bassin. Secrètement, je prépare mon sphincter anal à une gymnastique d’un autre monde. À ce moment précis, Bastien est compris ce qu’il va devoir faire. Il revient devant moi pour une ultime fellation. Je cligne et il se retire de ma bouche pour aller se poster derrière moi pour tenir compagnie à Dorian.

Bastien se met en position et pose le bout de son gland sur mon anus déjà encombré du beau braquemart de Dorian. Il pousse tout doucement son joystick jusqu’à ce que son gland disparaisse. Il s’arrête un instant. Le plaisir remplace progressivement la douleur. Bastien reprend sa pénétration avec douceur. Il vise ma raie avec de la salive pour faciliter un peu plus la glisse de son sexe bien dur. Il me pénètre jusqu’à ce que ses couilles rejoignent celles de Dorian. Ils s’immobilisent au fond de mon cul. Puis, ils reprennent des mouvements de va-et-vient. Bastien s’immobilise une fois de plus. Dorian continue de me ramoner avec davantage de vigueur. Bastien reprend la poussée de sa bite pendant une bonne dizaine de minutes encore. Ce délai passé, je vois Dorian qui commence à sentir venir son jus. Il est pris de convulsions musculaires. J’en déduit qu’il est bel et bien en train de jouir et m’inonder abondamment le conduit anal. Bastien le suit de près. Comme il se trouve derrière moi, je ne le vois pas grimacer, annonçant le point de non-retour. Je sens alors une deuxième salve toute aussi abondante de crème bien chaude dans mon cul. Une bonne minute après, Bastien se retire doucement puis c'est au tour de Dorian de se retirer pour ne pas en perdre une seule goutte.

Je redescends progressivement de mon nuage. J’embrasse alternativement Bastien et Dorian en remerciement de moment si mémorable. Je reste allongé sur le ventre pendant un moment pour apprécier tout ce « liquide » stagner en moi. Mais aussi pour que mon sphincter reprenne une taille normale après cette gymnastique et un repos bien mérité. Je réussis à me mettre un ou deux doigts dans mon anus pour m’en enduire afin de me délecter de ce délicieux nectar des dieux.

Bastien et Dorian se positionnent en 69 pour nettoyer la bite de l’autre.

Une fois nettoyés, Dorian se releve, se rhabille et sort de l’appartement après qu’ils s'échangent leurs coordonnées postales et téléphoniques.

Bastien ferme la porte. Dorian s’éloigne de plus en plus...

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