Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

13 mai 2013

Sébastien

Quelques mois passent depuis ma rencontre avec Sébastien, mon beau capitaine de l’équipe de foot locale. J’ai très envie de le revoir.

Je vais, comme par le passé, me rendre au stade pour assister à son entraînement. Après deux bonnes heures, je me dirige vers lui et en saluant de la main Bruno, le joueur avec les tétons piercés. Sébastien me serre la main et me demande ce que je fais là. Je lui réponds que je veux le revoir. Je lui demande alors s’il fait quelque chose de spécial après son entraînement. Je lui indique s’il est d’accord pour prendre une douche chez moi. Il accepte volontiers. Il saisit son sac de sport et change de chaussures et en sort une serviette qu’il étale sur le siège de sa voiture. Sébastien démarre sa voiture et sur mes indications, nous nous dirigeons vers mon appartement. Il m’explique qu’il a travaillé toute la journée avant son entraînement et qu’il est épuisé.

Je l’informe que je lui ai réservé une belle surprise pour le requinquer et qu’il doit me faire confiance. C’est comme une récompense pour m’avoir laissé pénétrer les vestiaires et les douches collectives la dernière fois.

Arrivés à destination, nous descendons de voiture et nous rentrons chez moi. Je lui prends son sac que je pose au coin de l’entrée. Je lui ordonne de se laisser faire. J’avais étalé une grande serviette en éponge sur mon lit avant de le rejoindre au stade. Je l’emmène par la main dans ma chambre. Il tient presque plus debout tellement il est claqué. Je passe derrière lui pour enlever son maillot, délace ses chaussures, son pantalon de survêt’, son short, enlève ses chaussettes. En enlevant son short, je découvre avec surprise qu’il porte un jockstrap bleu marine qui lui met si bien ses formes en valeur. Sébastien m’avoue qu’il en porte très souvent pour ses entraînements et ses matches. Seulement vêtu de son jockstrap, mon beau capitaine se laisse tomber comme une masse sur la grande serviette étalée sur le lit. Sébastien est cul nu sur mon lit. C’est ce que j’espère depuis je l’ai vu la première fois sur le terrain.

Je me mets à l’aise aussi. Je me déshabille et termine en jockstrap aussi. Je lui prends les bras pour les mettre le long de son corps. Puis, je sors de ma table de nuit, un flacon d’huile de massage relaxant. J’ouvre le flacon en m’asseyant derrière lui entre ses cuisses légèrement écartées et en versais sur les omoplates de mon Sébastien. Je commençais le massage. Du bout de mes doigts, j’étalais l’huile, de mes pouces, je dessine de petits ronds sur ses omoplates puis sur le long de ses bras. Je m’applique à lui masser ensuite les dorsales. J’entends alors un soupir d’aise un peu étouffé par la serviette sur le traversin. Sébastien aime bien ce que je lui administre. Il a l’air de se sentir très bien.

Je descends vers ses lombaires tout en faisant des ronds avec mes pouces. Quand j’arrive vers les sacrées, la ceinture de son jockstrap me gêne pour la continuité de mon massage. Sébastien est déjà parti dans les bras de Morphée. Quand tout à coup, la sonnerie de son portable retentit. Je lui conseille, pour garder les bénéfices du massage, de rester au calme, allongé et de faire le vide dans sa tête. Je prends la petite serviette pour m’essuyer les mains et attraper le portable sonnant. Sébastien décroche. C’est sa copine Alexandra qui commence à s’inquiéter de ne pas le voir rentrer. Il explique à Alexandra de ne pas paniquer. Il la rassure en lui disant qu’à la sortie de l’entraînement, Martial l’a invité à la dernière minute et qu’elle ne doit pas l’attendre pour dîner. Sébastien l’embrasse et raccroche. Sébastien appelle aussitôt son meilleur pote Martial s’il peut lui servir d’alibi si Alexandra appelle. Sébastien raccroche une nouvelle fois et éteint complètement son portable. Je lui prends son portable et va le poser sur l’étagère de ma chambre a coté de ma minichaîne. Il reste allongé et repart dans ses songes. Je prends l’initiative de lui ôter ce jockstrap qui me gêne. Dans sa demi-somnolescence, il soulève son bassin pour que je puisse le déshabiller entièrement. Je fais attention de ne pas le réveiller. C’est si mignon de voir Sébastien, mon mec d’un soir, dormir sur mon lit. Je reprends le flacon d’huile, en verse sur ses fesses imberbes et continue le massage.

Je caresse les fesses de mon footballeur, l’image de son cul à quelques centimètres de mon sexe est insoutenable. Je suis si près que l’élastique de mon jockstrap commence à résister et à se tendre. Je bande bien dur. Ma bosse effleure sa fente.

Je ne sais pas quoi faire pour me calmer. Je sais pertinemment qu’il refuse de se laisser pénétrer par derrière. J’ai très envie de me faire plaisir. J’ose quand même glisser un ou deux doigts huileux sur sa fente et lui titiller son anus. Sébastien ne dit rien. Je me dis alors, que peut-être, j’ai une petite chance de me satisfaire sans le réveiller et me faire gifler.

Je me dis : « Que diable ! Advienne que pourra ». Je me relève pour prendre du lubrifiant dans ma table de nuit. J’enlève mon jockstrap, libérant mon sexe pointant droit devant moi. Je presse le flacon de lubrifiant pour en étaler sur mon sexe et sur son anus glabre. Étant toujours assis derrière lui, je ne m’apprête à commettre l’irréparable bêtise de sodomiser un hétéro. J’approche mon gland de son anus. Mon gland touche son trou. Il ne bouge toujours pas. Est-il vraiment endormi ou consentant ? Je pousse davantage en avant mon bassin. Ma bite pénètre doucement et régulièrement l’orifice de Sébastien. Cette sensation me fait monter d’un cran mon excitation. Peu à peu, mon pubis épouse ses délicieuses fesses musclées de sportif. Je reste un instant au fond de son conduit. Puis, je commence à sodomiser gentiment Sébastien endormi.

Au fur et à mesure de mes mouvements, je sens la pression monter. Un aller-retour de plus, je me retire et éclabousse le dos de Sébastien. Je me penche en avant pour recueillir de ma langue mon nectar. Sébastien dort à poings fermés. Je remonte la couette sur lui et me couche contre lui pour la nuit. Je le serre dans mes bras. Nous nous endormons, nus, sous la couette, paisiblement.

Le lendemain matin, je me réveille avant lui. Il s’est tourné sur le dos pendant son sommeil. C’est si beau et si charmant. Il faut me résigner à le réveiller pour qu’il rejoigne sa dulcinée. Je n’ai pas envie de le laisser partir avant de lui faire un dernier plaisir. Pour le réveiller en douceur, je prends délicatement sa bite encore flasque dans ma main. Puis, j’humidifie mes lèvres, j’approche ma bouche de cette tige en train de durcir. J’ouvre ma bouche et commence à passer ma langue sur son gland qui devient de plus en plus sensible au toucher. Pendant que je le suce, j’attrape le flacon de lubrifiant sur ma table de nuit. J’actionne le poussoir pour en extraire une belle noisette de gel que j’étale sur mon orifice anal. Je me caresse mon anus pour m’ouvrir un peu et me préparer à le recevoir.

Je me mets à califourchon sur Sébastien. Je prends son sexe pour le mettre à la verticale. Au fur et à mesure que je descends, je sentais mon sphincter épouser sa tige légèrement veinée. Une fois, pénétré, je reste en place, puis roule du bassin. Sébastien dort toujours à poings fermés. Je n’arrive pas à croire qu’il dormirait pendant que je suis sur lui à me faire du bien. Je m'installe face à lui. Je bande aussi. Je monte, descends … bref, je prends mon pied. Pour rien au monde, je ne veux arrêter ce moment si délicieux et si chaud. Mais toutes bonnes choses ont une fin, je sens ses mains bouger et se placer sur mes hanches. Il m’éclabousse avec une grande vigueur mes entrailles. Je sens, moi aussi, monter le plaisir jusqu’à son paroxysme ultime. D’un seul geste, je me lâche sur son ventre avec ses abdos bien dessinés. Je me retire et me couche un instant à coté de mon Sébastien. De ma main, j’étale ma semence sur tout son torse. Enfin, je l’embrasse amoureusement sur la bouche et sur son front. Je serre les fesses pour garder la graine de sportif en moi.

Je lui susurre à l’oreille que nous sommes le matin et qu’il va faut penser à se séparer après une bonne douche chaude. J’ouvre le lit et l’invite à me suivre dans la salle de bains. De la chambre à la salle de bains, nous traversons à poil un petit couloir. Il entre le premier dans la douche aussitôt rejoint par moi. J’ouvre le mitigeur et règle l’eau. Je prends la douchette de son support et je mouille Sébastien sur chaque centimètre carré de sa peau sans rien oublier. J’en fais pour moi aussi. Je repose la douchette, actionne le « stop-douche » et prends le shampooing douche. Je presse le flacon de shampooing sur sa tête puis sur sa poitrine imberbe. J’étale le shampooing et lave Sébastien de la tête aux pieds, y compris dans les endroits les plus intimes. Je fais mousser. Je dois faire disparaître toutes traces suspectes de notre belle nuit d’amour. Pendant que je lave mon sportif, je lui demande s’il a bien dormi. Il m’a répondu qu’il a dormi comme un loir et que si la terre s’ouvre sous lui, il ne s’en rendrait même pas compte.

Vient l’instant du rinçage. Je reprends la douchette et rouvre l’eau. Je lui enlève cette mousse qu’il a sur lui en ne négligeant aucun endroit. Une fois propres, j’arrête le robinet du mitigeur. J’entrouvre le rideau de douche pour saisir mon large peignoir et le passe sur moi. J’ouvre large mon peignoir pour l’entourer de tissu éponge. Je l’embrasse en lui essuyant le dos, ses fesses. Je lui demande s’il est pressé de partir ou s’il a encore le temps de prendre un petit déjeuner. Sébastien répond aussi sec qu’il peut encore rester pour le p’tit déj. Nous finissons de nous habiller. Je lui dis que je vais aller à la boulangerie du coin et qu’il doit m’attendre. Je me saisis de ma veste et vais à la boulangerie pour acheter une baguette et quelques croissants chauds.

Je reviens à mon appartement. Sébastien m’attend assis dans la cuisine. J’ai programmé la cafetière filtre la veille au soir. Je me débarrasse de la baguette et du sachet de croissants puis retourne dans l’entrée pour enlever ma veste, la pose sur le portemanteau dans l’entrée et pénètre dans la cuisine. J’ouvre le placard. Je sors deux bols. Le café finit juste de couler. J’ouvre le sachet des croissants. Sébastien en prend un. Je prends la verseuse pour remplir les bols. Nous déjeunons tous les deux comme deux potes.

Une fois le p’tit déj’ fini, Sébastien se lève. Il met nos deux bols et nos cuillères dans l’évier. Ce n’est pas vraiment prévu dans le scénario, mais il a lavé, essuyé et rangé la vaisselle que nous venons de salir. Je le remercie de ce qu’il vient de faire en lui déposant un bisou dans son cou.

Il me dit en prenant sa veste qu’il a beaucoup aimé cette nuit avec moi et que si c’est possible de le refaire de temps en temps. Sans que je puisse m’y attendre, Sébastien me prend mon visage entre ses deux mains et m’embrasse la bouche tendrement.

Sébastien saisit son sac de sport, abaisse la clenche de porte, l’ouvre et part.

Je descends de mon nuage en me posant la question de savoir si Sébastien est un hétéro exclusif ou un homo qui ne s’assume pas.