Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

19 nov. 2013

Dans le squat avec Mounir...

Alors que j'attends au pied d'un immeuble HLM pour rendre visiter un couple hétéro, un arabe vient à ma rencontre. J'avais connu ce rebeu quelques années auparavant. Il me demande ce que je fais, qui j'attends.

Mounir, puisque c'est son prénom, a vingt-cinq ou trente ans. Il doit mesurer environ un mètre quatre-vingt.

Mounir me met dans une transe contradictoire. J'ai la trouille et il m'excite en même temps. Dans cette conversation, il m'invite à le suivre dans un appartement non loin de là. J'accepte tout en n'étant pas rassuré. Mounir n'est pas vraiment une bombe rebeu mais suffisamment excitant. Je le suis jusqu'à cet appartement. Il ouvre la porte, me fait entrer le premier et referme à clé derrière nous. Ce n'est pas un appartement mais plutôt un squat. Dans la pièce, il y a un canapé usé, un matelas par terre et une table basse sur laquelle se trouve une bouteille de cola entamée. Mounir se déshabille entièrement et va s'adosser au mur et en se paluchant. Il s'est passé la tondeuse à cheveux quelques jours avant. Il me demande alors de le sucer. Je ne sais pas me décider. Je me résigne en fin de compte à enlever ma veste et à m'agenouiller devant lui. Je lui prends son sexe dans mes mains pour les soupeser comme pour apprécier son poids. Il les a bien lourdes. Je me décide à commettre l'irréparable en lui titillant, avec ma langue, son gland circoncis. Mounir m'attrape l'arrière de la tête pour que j'aille plus loin.

J'entrouvre un peu la bouche et il pousse son engin doucement jusqu'à me chatouiller le fond de la gorge. Il en a une de bonne taille et épaisse. Je le suce durant cinq ou dix minutes.

Durant ces minutes, son gland frappe le fond de ma bouche si bien que cette grosse tige me donne des hauts-de-coeur.

Au bout de ce délai, Mounir me fait enlever mes fringues et finir nu. Je me penche en avant, lui se penche aussi en tendant une de ses mains vers mon fondement. Il mouille de salive l'un de ses doigts et le glisse le long de ma raie de mon cul. Il rajoute plusieurs fois de sa salive avec ses doigts pour l'étaler sur mon anus. Mon trou bien lubrifié, Mounir y fait pénétrer son index, puis son majeur rejoignant l'index pendant un temps jusqu'au moment où Mounir sent que mon sphincter se détend.

Mounir me fait placer face au mur et cambrer les reins. Il me prend les mains pour les plaquer à ce mur. Il se serre derrière moi. Je sens très bien derrière moi sa grosse envie de me sodomiser. Je suis enfin détendu (au sens propre comme au figuré). Je m'ouvre sous l'action de son sexe qui s’insère en moi. Il coulisse tout entier puis ressort tout aussi lentement qu'il est entré. Mais au coup de rein suivant, ce n'est plus pareil. Il entre un peu plus fort et il augmente force et vitesse progressivement. Nous changeons souvent de position (en levrette, en Andromaque, en missionnaire,…). Il y met du cœur à l'ouvrage tellement il s'applique à ne pas jouir trop vite.

Après une bonne demie-heure d'ébats très intenses, Mounir me fait installer dos à terre et mon cul surélevé contre le canapé. Il me pénètre une dernière fois avec une telle hargne qu’après cette baise, je n'ai pas de mal à recevoir sa tige si vite. Je le sens proche de l'explosion. Il me demande par le regard s'il peut... Je n'ai pas eu le temps de répondre à sa requête par un oui, que je sens déjà mon rectum se remplir d'un liquide chaud. Il me dit de rester un très court moment comme ça puis de me mettre à genoux en m'intimant l'ordre de lui nettoyer sa bonne grosse bite rebeu. Je dois avouer qu'il sait très bien s'en servir pour la glisser un cul gourmand qui passe à sa portée. Je me relève après l'avoir bien nettoyé. J'essaie de serrer les fesses pour garder sa donation en moi. Il me donne une tape sur le cul en m'affirmant que j'ai un très bon cul et que si je veux, il serai là pour moi.

Je rassemble mes vêtements éparpillés dans la pièce et m'habille. Je me dirige vers la porte du squat, tourne la clé dans la serrure, et sort.

Depuis cette baise très chaude, je n'ai plus revu Mounir.