Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

19 nov. 2013

Dans le squat avec Mounir...

Alors que j'attends au pied d'un immeuble HLM pour rendre visiter un couple hétéro, un arabe vient à ma rencontre. J'avais connu ce rebeu quelques années auparavant. Il me demande ce que je fais, qui j'attends.

Mounir, puisque c'est son prénom, a vingt-cinq ou trente ans. Il doit mesurer environ un mètre quatre-vingt.

Mounir me met dans une transe contradictoire. J'ai la trouille et il m'excite en même temps. Dans cette conversation, il m'invite à le suivre dans un appartement non loin de là. J'accepte tout en n'étant pas rassuré. Mounir n'est pas vraiment une bombe rebeu mais suffisamment excitant. Je le suis jusqu'à cet appartement. Il ouvre la porte, me fait entrer le premier et referme à clé derrière nous. Ce n'est pas un appartement mais plutôt un squat. Dans la pièce, il y a un canapé usé, un matelas par terre et une table basse sur laquelle se trouve une bouteille de cola entamée. Mounir se déshabille entièrement et va s'adosser au mur et en se paluchant. Il s'est passé la tondeuse à cheveux quelques jours avant. Il me demande alors de le sucer. Je ne sais pas me décider. Je me résigne en fin de compte à enlever ma veste et à m'agenouiller devant lui. Je lui prends son sexe dans mes mains pour les soupeser comme pour apprécier son poids. Il les a bien lourdes. Je me décide à commettre l'irréparable en lui titillant, avec ma langue, son gland circoncis. Mounir m'attrape l'arrière de la tête pour que j'aille plus loin.

J'entrouvre un peu la bouche et il pousse son engin doucement jusqu'à me chatouiller le fond de la gorge. Il en a une de bonne taille et épaisse. Je le suce durant cinq ou dix minutes.

Durant ces minutes, son gland frappe le fond de ma bouche si bien que cette grosse tige me donne des hauts-de-coeur.

Au bout de ce délai, Mounir me fait enlever mes fringues et finir nu. Je me penche en avant, lui se penche aussi en tendant une de ses mains vers mon fondement. Il mouille de salive l'un de ses doigts et le glisse le long de ma raie de mon cul. Il rajoute plusieurs fois de sa salive avec ses doigts pour l'étaler sur mon anus. Mon trou bien lubrifié, Mounir y fait pénétrer son index, puis son majeur rejoignant l'index pendant un temps jusqu'au moment où Mounir sent que mon sphincter se détend.

Mounir me fait placer face au mur et cambrer les reins. Il me prend les mains pour les plaquer à ce mur. Il se serre derrière moi. Je sens très bien derrière moi sa grosse envie de me sodomiser. Je suis enfin détendu (au sens propre comme au figuré). Je m'ouvre sous l'action de son sexe qui s’insère en moi. Il coulisse tout entier puis ressort tout aussi lentement qu'il est entré. Mais au coup de rein suivant, ce n'est plus pareil. Il entre un peu plus fort et il augmente force et vitesse progressivement. Nous changeons souvent de position (en levrette, en Andromaque, en missionnaire,…). Il y met du cœur à l'ouvrage tellement il s'applique à ne pas jouir trop vite.

Après une bonne demie-heure d'ébats très intenses, Mounir me fait installer dos à terre et mon cul surélevé contre le canapé. Il me pénètre une dernière fois avec une telle hargne qu’après cette baise, je n'ai pas de mal à recevoir sa tige si vite. Je le sens proche de l'explosion. Il me demande par le regard s'il peut... Je n'ai pas eu le temps de répondre à sa requête par un oui, que je sens déjà mon rectum se remplir d'un liquide chaud. Il me dit de rester un très court moment comme ça puis de me mettre à genoux en m'intimant l'ordre de lui nettoyer sa bonne grosse bite rebeu. Je dois avouer qu'il sait très bien s'en servir pour la glisser un cul gourmand qui passe à sa portée. Je me relève après l'avoir bien nettoyé. J'essaie de serrer les fesses pour garder sa donation en moi. Il me donne une tape sur le cul en m'affirmant que j'ai un très bon cul et que si je veux, il serai là pour moi.

Je rassemble mes vêtements éparpillés dans la pièce et m'habille. Je me dirige vers la porte du squat, tourne la clé dans la serrure, et sort.

Depuis cette baise très chaude, je n'ai plus revu Mounir.

9 sept. 2013

Martin, Gaylor, Kenny

Un jour que Martin est tout seul chez lui, son père étant parti au travail toute la journée, il invite Gaylor de venir chez lui pour boire un verre et discuter. Martin pousse le thermostat du chauffage un peu trop fort. Gaylor se dit qu'il fait chaud chez Martin. Il décide d'enlever son pull, puis sa chemise pendant que Martin cherche les verres dans le buffet de salle, Gaylor décide alors de tout enlever tellement il fait chaud dans l'appartement. Martin revient alors avec les verres et une bouteille d'alcool à la main. Martin en failli lâcher ses verres sous le coup de la surprise en découvrant Gaylor nu assis cuisses écartées sur une chaise dans la cuisine. Martin se demande ce que veut Gaylor. Il n'attend pas très longtemps pour le savoir. Gaylor dit à Martin qu'il a remarqué l'attention il lui porte, et qu'il aime faire quelque chose avec lui. Martin demande. Gaylor lui répond qu'il a envie de faire une "entorse" à son hétérosexualité endurcie. Il aime se faire sucer. Martin reste deux secondes scotché tellement il ne s'attend pas une telle demande venant de Gaylor. Martin décide alors de se rapprocher de Gaylor, de s'agenouiller, de caresser les cuisses imberbes de Gaylor Martin approche sa bouche entr'ouverte Gaylor ferme les yeux en imaginant que c'est sa copine qui lui fait cette faveur. Martin s'applique, d'abord à effleurer de sa langue experte le gland de Gaylor qui soupire d'aise Martin ouvre mieux sa bouche et "avale" de plus en plus cette belle tige bien droite qui s'offre à lui. Martin a le gland de Gaylor en bouche. Gaylor commence à aimer ça. Gaylor saisit la tête de Martin de sa main pour l’encourager à faire mieux.

Martin prend un peu plus de bite dans sa bouche régulièrement jusqu'à ce que les poils pubiens de Gaylor caresse les lèvres de Martin.

Gaylor se dit intérieurement que Martin, suce drôlement bien, et que c'est vachement mieux que sa copine Émilie. Il se dit aussi que c’est dommage de rater une telle expérience.

La bite de Gaylor en bouche, Martin, commence le mouvement de va-et-vient, d'abord doucement puis augmentant la vitesse.

Après quelques mouvements de succion, Martin a sur la langue une saveur légèrement salée. C’est une des premières gouttes de liquide pré-séminal qui vient de perler. Martin en conclue que c’est le moment de passer à la seconde étape. Il décide alors de baisser son jean, puis son slip, d’enduire son anus de salive et de le présenter à Gaylor de manière qu’il ne puisse qu’obéir au désir charnel. Gaylor reste assis, la bite aussi raide que la justice. Martin fléchit les genoux pour s’enseller sur cette tige qui le taraudait l’esprit de nombreux mois.

Et c’est alors que le portable de Gaylor sonne. Gaylor tapote le cul de Martin pour qu’il stoppe pour qu’il puisse attraper son portable laissé sur la table non loin d’eux. Gaylor regarde qui l’appelle et décroche. C’est Kenny, le frère aîné de Gaylor. Kenny demande à Gaylor où il est. Gaylor et Martin se regardent un très court instant. Martin lui fait signe en silence qu’il peut venir. Gaylor annonce alors à Kenny qu’il est chez Martin, le voisin et qu’il pouvait se joindre à eux. Kenny est loin de penser dans quelle indélicate position est son petit frère. Gaylor dit simplement qu’il frappe deux coups à la porte et d’entrer puisque la porte n’est pas verrouillée. Kenny est d’accord et après deux secondes, il arrive et entre. C’est alors qu’il découvre Martin, le jean sur les chevilles, assis sur Gaylor, lui aussi le pantalon sur le dossier d’une chaise et le boxer sur les chevilles.

Kenny, lui aussi hétéro, mais pas si endurci que ça, puisque parfois, l'alcool aidant, il succombe à la tentation de la relation charnelle entre mecs.

Kenny s'approche de plus en plus de Martin et de Gaylor. Dès que Kenny est à portée de main, Martin attrape le jean de Kenny, déboutonne la braguette de Kenny. Kenny se laisse faire. Martin découvre une belle tige pas très longue mais bien épaisse, et un pubis entretenu. Martin est toujours assis sur Gaylor. Martin commence alors un palpage du paquet de Kenny pour la « réveiller ». Martin prend ensuite cette bite à pleine main et ouvre la bouche. Martin régule la cadence de coulisse sur Gaylor pour ne pas le faire jouir trop rapidement.

Martin commence à sucer Kenny qui ferme les yeux d'extase. Martin décalotte Kenny et fait tourner sa langue sur le gland de Kenny. Kenny semble beaucoup aimer la fellation que Martin lui offre. Martin ne s'arrête pas de se travailler sa rondelle par Gaylor. Il n'y a rien à dire, Martin adore le sexe gay. Il s'applique de telle manière à ce que Kenny et Gaylor se sentent bien en compagnie de Martin et puissent revenir dès que l'envie se ferait sentir plus tard.

Au bout de dix ou vingt minutes, Martin regarde Gaylor et Kenny en leur faisant comprendre qu'il va accélérer la cadence pour exploser de concert dans le cul, pour Gaylor, et dans la bouche, pour Kenny. Après trois-quatre minutes, Gaylor claque les fesses de Martin en annonçant qu'il est sur le point de jouir. C'est alors que les fesses de Martin s'empalent à fond sur Gaylor. Dans le même temps, Martin, la bite de Kenny dans la bouche, accélère de plus belle sa suce et, de sa langue experte, chatouille le gland de Kenny. Kenny attrape l'arrière de le tête de Martin pour lui déposer au fond de sa gorge sa semence abondante et délicieuse.

Après avoir expulsé sa dernière goutte, Kenny retire sa bite de la bouche de Martin qui en profite pour lui nettoyer le gland. Kenny remballe son attirail dans son jean. Puis, ce fut au tour de Gaylor de quitter ce cul. Martin se lève, se retourne et s’accroupit pour nettoyer la tige de Gaylor qui reprend peu à peu un aspect flasque. Gaylor remballe lui aussi son service trois pièces dans son survêt.

Gaylor et Kenny remercient Martin pour ce moment très sympathique et qu'il doit garder ce secret. Ils vont très certainement revenir plus tard.

Gaylor et Kenny sortent ensemble de chez Martin en se jurant d'y revenir un autre jour en inversant les rôles.

5 août 2013

La promenade tardive de Louka

Un soir, chez lui, Louka s'emmerde grave et fait les cent pas dans la salle commune. Marek ne pouvant plus le supporter le voir tourner en rond lui propose alors de sortir s’aérer et qu'il a la permission exceptionnelle de rentrer après minuit. Louka remercie Marek et prend son blouson pour sortir. Marek ignore que Louka veut revoir le petit rebeu de la cité toute proche.

Après une bonne demi-heure de marche, Louka arrive au pied d'un petit immeuble de quatre ou cinq étages appartenant à une grande société d'assurances. Cet immeuble est gardé au premier étage par une équipe de trois agents de sécurité devant leurs écrans de contrôle. Louka regarde à travers les grandes baies vitrées pour voir ce qu'il y a à l’intérieur. L'un des trois agents a remarqué sur l’écran noir et blanc ce jeune mec de vingt-cinq ans qui semble chercher quelque chose. Le deuxième vigile propose au premier d'aller voir ce que ce jeune veut. Ce premier, un grand black d'un bon mètre quatre-vingt-cinq, musclé, la bonne trentaine, descend dans le hall d’entrée, déconnecte un instant le système d'alarme, ouvre la porte et sort. Il s'approche alors de Louka.

David, le grand black pose une main virile sur l’épaule de Louka. Louka sursaute et se retourne. David demande à Louka ce qu’il cherche si tard. Louka répond à visiter l’intérieur de ces bureaux. David ne veut pas croire les dires de Louka. Il se demande si Louka ne cherche pas plutôt une compagnie pour la soirée déjà bien avancée. David questionne mieux en insistant pour ce que Louka veut vraiment. Louka, devant tant d’insistance, lâche la vérité. David prend alors son émetteur radio et contacte ses deux autres collègues. Ces deux collègues connaissent les écarts de David et couvrent ses agissements si les supérieurs appellent. David propose d’emmener Léo à cinq minutes de là dans un coin un peu plus calme. Durant ce trajet à pied, une bosse se forme dans le pantalon bleu marine du grand black.

Arrivés dans une petite clairière entourée d’une végétation dense, David et Louka s’échangent leurs prénoms. David propose à Louka de faire de lui ce qu’il a envie. Louka accepte cette alléchante proposition. Louka commence par effleurer de sa main le visage de David. David enlève sa veste, puis sa chemise. Un petit détail de taille, Louka veut embrasser son black d’un soir. Il est trop petit pour atteindre la bouche noire. Il demande à trouver un tabouret naturel. Justement, ils ont pu trouver cette souche coupée dans un autre coin de la clairière. Louka monte dessus et peut embrasser David. Pendant qu’il embrasse, Louka titille de ses doigts les beaux tétons de David. David soupire d’aise. David déboutonne son pantalon et laisse apparaître un jockstrap blanc bien rempli. Louka descend de son perchoir improvisé et s’attarde un peu sur les tétons durcis par les titillements, puis, sur le bouton de rose formant le nombril de son bellâtre. Louka descend encore ses investigations linguales plus bas jusqu’à trouver la naissance d’un pubis crépu. Louka lance un regard de questionnement vers David s’il peut continuer sa découverte de corps d’ébène qui s’offre à lui. David ne dit rien.

Louka caresse de sa main experte la bosse à travers le coton blanc du jockstrap tout en embrassant encore une fois son black. Louka prend ses deux mains et descend doucement le pantalon, puis le jockstrap jusqu’aux chevilles. Un morceau de chair noire surgit à l’air libre. Louka prend dans sa main l’objet tant convoité durcissant à la vitesse d’un cheval au galop. David, de ses grandes mains, agrippe la nuque de Louka en faisant buter son gland noir contre la bouche blanche et disant de faire ce qu’il avait vraiment envie. David le rassurait qu’il ne tenterait rien pour l’en dissuader, bien au contraire. Louka se mouille alors les lèvres et sort sa langue pour effleurer le bout du gland qui se présente. Louka fait tourner sa langue sur le pourtour de ce magnifique champignon de plaisir. Louka se réjouissait intérieurement qu’il allait, dans les secondes suivantes, faire une fellation à un beau black consentant pour la première fois de sa vie.

Louka tient d’une main le sexe bandant de David et entrouvre légèrement la bouche. Le souffle chaud de Louka effleurant le gland emmène David aux portes du palais du plaisir. Louka et David se regardent un court instant. David pousse doucement sa bite dans la bouche de Louka qui essaye tant bien que mal d’avaler ce gland et cette grosse tige. David pousse si bien que Louka en a des « hauts de cœur » tellement c’est gros. Louka garde la tige en bouche du mieux qu’il peut et ouvre son bouton de jean. David se penche un petit peu et allonge le bras. Il passe la main sous la ceinture de jean. David s’aperçoit que Louka ne porte ni slip ni boxer ni aucun autre sous-vêtement et qu’il a une peau toute lisse. David, de ses longs doigts, atteint la raie glabre de Louka. Il ressort sa main du pantalon, humidifie son doigt avec sa salive, et retourne à son exploration. L’œillet de Louka lui semble à peine mouiller et s’ouvrir sous l’effet de l’excitation.

David s’aperçoit que Louka est déjà bien excité et enfin prêt. Il le fait se retourner pour le petit Louka lui présente son cul. N’ayant pas de lubrifiant sur lui, David se penche en avant pour bien lui saliver l’anus. David crache sa salive sur l’orifice de Louka. David masse de ses doigts, se relève et présente sa grosse et longue tige à l’entrée. Toujours plié en avant, Louka attend impatiemment cet instant où David va le pénétrer par derrière, d’abord en douceur puis progressivement, de plus en plus virilement.

David enfonce un, puis deux doigts, dans l’anus lubrifié de salive. Louka est décontracté et totalement ouvert. David effleure de son épais gland. Il pousse alors au travers de cette rondelle humide. Louka serre les dents un instant. David stoppe l’avancée de sa tige avant de reprendre jusqu’à ce que sa bite noire disparaisse entièrement. David demande alors à Louka s’il se sent bien. Louka répond qu’il se sent très bien et qu’il n’a plus mal. De son initiative, Louka fait coulisser son cul sur l’énorme champignon. Ce qui étonne David, Louka fait ça magnifiquement bien. Il sait très bien donner son cul à n’importe quelle queue qui se présente à lui.

Au bout d’un moment, Louka, toujours empalé, se retourne d’un quart de tour, allonge le bras et tape sur les fesses noires de David pour signe que son cul est bien chaud et prêt pour la vitesse supérieure. David accélère les mouvements de va-et-vient. David et Louka sont si occupés qu’ils en oublient qu’ils sont observés depuis une petite dizaine de minutes.

C’est alors que David est sur le point d’exploser dans l’intimité de Louka, des phares et des lumières bleue et orange les stoppent net leurs élans. C’est une patrouille de police composée d’un beau rebeu sportif et musclé d’une trentaine d’années ainsi qu’un black antillais.

Ces deux policiers en tenue sortent prestement de la voiture pour appréhender les deux fautifs. Les deux agents menottent Louka et David sans ménagements avant qu’ils puissent remballer la marchandise. Ils les emmènent au Commissariat pour être interrogé et verbalisé.

Arrivés au Commissariat, David et Louka sont séparés dans deux bureaux différents. David est questionné par le black antillais et Léo, par le rebeu. David essaye d’expliquer qu’il n’a fait que répondre aux avances un peu trop explicites de Louka. David ne connait pas non plus le nom du gars puisqu’ils ont eu le malheur d’avoir été dérangés au point crucial et qu’il est agent de sécurité. Il supplie le black antillais de faire son possible pour qu’il n’y ait pas de suite de cet incident regrettable. Le flic antillais, reconnaissant, recadre alors David. Ce flic demande juste de consigner son identité et ses coordonnées personnelles sur un quart de feuille blanche et de partir. David le remercie de ce geste et tourne les talons. Le flic antillais décroche son téléphone et appelle son collègue rebeu pour lui informer que le black n’est pas inquiété et relâché. Il ajoute que c’est Louka, le fauteur de trouble, le responsable de tout ça, et, qu’il peut en disposer comme il le sent. Sur ce, le flic rebeu raccroche.

Le flic rebeu réfléchit deux petites secondes et décide de l’emmener en cellule de garde à vue pour le reste de la nuit. Devant la cellule, le rebeu fait se déshabiller entièrement Louka et fait s’installer dans cette petite pièce à peine chauffée.

Au petit matin, le rebeu revient voir Louka dans la cellule. Il prend ses clés accrochées à son ceinturon et ouvre la porte vitrée. Louka en sort et s’habille.

Le flic rebeu et Louka sortent du commissariat ensemble. Le rebeu invite Louka à le suivre jusqu’à sa berline allemande noire pour le ramener chez lui. En chemin, Louka pressent que le rebeu n’allait pas le raccompagner directement chez son père.

En effet, le rebeu expliquait à Louka que sa femme est partie en vacances au bled pendant un bon mois et qu’il a les bourses bien pleines. Le rebeu lâche un instant le volant d’une main, de sa main droite, prend la main gauche de Louka pour la poser sur la belle bosse qui enfle de plus en plus sous le jean. Pendant le trajet, le rebeu annonce à Louka qu’il se prénomme Akim.

Akim, donc, lui dit qu’il est très excité après l’avoir vu le chaud spectacle qu’il lui a offert la veille au soir avec le black. Louka ne fait pas transparaître qu’il a compris ce qui l’attend. Louka mate la bosse et se dit en lui-même qu’il va passer un sacré bon moment avec ce flic bien membré et bien chaud comme une baraque à frites.

Après une vingtaine de minutes, la berline allemande s’arrête au pied d’une barre HLM d’une cité. Akim et Louka en descendent. Akim dit à Louka le suivre à l’appartement au troisième étage. L’ascenseur est une fois de plus en panne. Akim suit Louka dans les escaliers. Akim s’arrange pour avoir le derrière de Louka en face de son regard. Arrivés au troisième, Akim sort son trousseau, ouvre la porte, faisait entrer Louka et referme la porte derrière lui. D’un coup sec, Akim fait descendre le jean de Louka jusqu’aux chevilles. Louka ne s’attend pas à ça mais il aime qu’Akim prenne les devants. Akim glisse un doigt sur la raie de Louka et lui dit que s’il la veut en lui, il allait devoir le préparer. Louka lui répond qu’il la veut. Louka s'agenouille et agrippe le pantalon d’Akim pour le faire descendre tout aussi rapidement qu'Akim l’a exécuté pour lui. Akim ne porte rien en dessous. Une longue et épaisse tige circoncise en jaillit.

Louka est très agréablement surpris et excité par le beau cadeau d'Akim. Akim dit avec autorité de tirer la langue pour qu'il dépose son gland dessus. Sur le même ton, lui ordonne de faire tourner plusieurs fois sa langue autour de son gland en l'effleurant.

Akim demande à Louka si c'est pas la première fois qu'il le fait tellement c'est bien fait. Louka répond que c'est pas la première fois. Il avouait même en disant qu'il s'était déjà occupé d'un ou plusieurs rebeu dans la cité. Louka reprenait le travail de plus belle. Akim prend l'arrière de la tête de Louka afin de pouvoir visiter la bouche de Louka.

Akim est aux anges. Louka avale du mieux qu'il le peut la tige rebeu. Akim se penche un petit peu et caresse les fesses imberbes du jeune Louka. Louka est toujours affairé sur Akim. Akim humidifie de sa salive quelques doigts et les fait glisser le long du sillon inter fessier de Louka. Louka est déjà tout excité que son anus est bien humide. Akim s'en aperçoit et fait remarquer qu'il est prêt pour l'estocade finale. Akim prie Louka de lâcher immédiatement ce qu'il a en bouche. Il a toujours le doigt occupé, se déplace derrière Louka et présente son énorme gland à l'entrée de ce trou. Louka n'ose bouger. Il se dit intérieurement que donner son cul à un rebeu, mais qu'en plus, ce rebeu est un agent de la force publique, c'est le pied total !! Akim pousse régulièrement son dard jusqu'à ce qu'ils ne se réunissent dans une totale harmonie. Akim reste ainsi sans bouger un long moment. Louka sent de mieux en mieux le gros calibre en lui. Il commence alors à faire coulisser son anus le long de cette chose qui lui bouche l'orifice. Louka supplie de Akim de le laisser faire. Akim laisse tomber un première de salive entre les fesses de Louka et ne bouge plus d'un iota. Louka prend les commandes. Louka accélère peu à peu les allers-venues. Akim n'en revient pas comment Louka donne son cul. Louka alterne les allers-retours avec des mouvements circulaires de son bassin. Akim et Louka montent ensemble les marches de l'escalier du plaisir.

Akim et Louka sont en symbiose si parfaite pour grimper cet « escalier » qu'ils n'entendent pas la serrure de la porte de l'appartement. C'est le petit frère d'Akim, Samir, qui rentre de boîte. Samir quitte ses chaussures, pose son blouson au porte-manteaux, traverse le couloir de l'entrée et passe devant la porte de la salle où débattent chaleureusement Akim et Louka. Samir lance à la volée de ne pas se déranger pour lui, qu'il en a vu d'autres culs de pédés se faire ramoner. Louka, en plein action, reconnait cette voix. C'est bien le petit rebeu dont il a eu affaire il y a quelques temps auparavant. Samir entre dans la salle et s'affale sur le canapé. Il se tâte le paquet. Akim dit à Samir qu'il a ramené ce mec chaud du cul du boulot et il lui demande s'il a envie, lui aussi, d'enfoncer sa tige dedans. Louka fait toujours ses mouvements de bassin. Samir cherche du regard approbateur de Louka. Louka répond qu'il peut y avoir de la place pour deux. Louka fait de plus larges ronds pour bien détendre ses sphincters anaux. Samir se met tout nu.

Tout au long de la baise entre lui et Louka, Akim laisse tomber de la salive pour permettre la lubrification de l'anus. Dans son coin, Samir bande fort. Louka voit son amour secret se caresser. Cette vision l'excite encore davantage. Louka se mouille les lèvres en le regardant. Samir se lève et fait quelques pas vers la bouche de Louka. Pendant ces quelques pas, la tige de Samir bat l'air de gauche à gauche et réciproquement. Les yeux de Louka brillent, d'une part par le plaisir que lui procure Akim, et d'autre part, par le doux rêve de pouvoir sucer son amant secret. Louka ouvre sa bouche pour accueillir Samir qui soupire d'extase. Louka suce Samir. Il l'avale même tellement il est bien chaud. Tout à coup, Louka dit à ces deux rebeus qu'il veut ramener un très bon souvenir chez lui. Louka se retire de la bite d'Akim et de Samir. Sans perdre de temps, Léo fait allonger Akim sur le tapis de la salle, la bite dressée. Louka s'assoit à califourchon et tournoie encore un peu le bassin. Puis, il attrape la tige de Samir à pleine main pour la porter à proximité de son anus dégoulinant de salive et autre liquide biologique. Samir se mettait à genoux, crachait et présentait à l’entrée du trou. Pour le plus grand plaisir de Louka, Samir touche de son gland et pénètre le cul de Louka déjà occupé par Akim. Léo a si bien fait ses mouvements de gymnastique anale que Samir rentre sans lui faire mal. Quant à Akim, il ne bouge pas. Il est toujours dedans. Maintenant, c'est Samir qui mène la danse même s'il a shaké son booty en boîte. Il lui reste encore de la vigueur dans le bassin pour satisfaire son Louka. Samir donne tout ce qu'il peut. Louka est en nage et aux anges tellement c'est chaud. C'est si chaud, que la pièce ressemble à un véritable sauna.

Au bout de plusieurs longues minutes, Samir ne peut plus contenir son extase, se libère dans les entrailles de son ami. Les saccades de jouissance de Samir font encore grimper Akim au cimes du plaisir. Akim rejoint Samir dans la jouissance extrême. Louka a donc le cul inondé par deux jus de rebeus bien chauds dans son rectum. Samir se retire doucement pour permettre à Louka de refermer sur Akim. Akim et Louka font volte-face pour que Louka soit sur le dos. Akim se retire doucement, lui aussi. Samir se penche et lèche l'extérieur du trou de Louka pour lui donner la becquée de ce qui peut s'en échapper. Léo se délecte de ce breuvage vitaminé. Samir se relève et sorte de la pièce pour aller se coucher. Akim, lui se rhabillait. Louka reste juste allongé sur le dos jusqu'à ce que son sphincter se referme bien et garde ce précieux liquide. Au bout d'un moment, Akim regarde l'orifice de Louka et lui dit qu'il est refermé et peut se relever. Louka et Akim se rhabillent. Se faisant, Akim informe Louka qu'il pourrait avoir besoin de son cul dans le futur. Akim et Louka s'échangent leurs 06 respectifs. Akim ramène Louka chez Marek en voiture. Durant le trajet, Akim fait jurer à Louka de garder ce secret sur ce qu'il vient de se passer sous peine de ne plus se revoir.

Juste avant d'arriver à bon port, Akim, donne une petite tape amicale sur le genou gauche de Louka. Akim s'arrête et Louka descend de cette berline noire. Louka remercie une dernière fois ce rebeu pour cette nuit très intense qu'il a passée avec lui et Samir. Louka referme la portière. Louka fait une bonne cinquantaine de mètres et rentre chez lui. Il monte dans sa chambre. Pendant son absence, Son père, Marek, lui a préparé un petit paquet cadeau accompagné d'un petit mot affectueux de son père accroché à un ruban. Ce mot dit à peu près ça : « Mon fils que j'adore, voilà un cadeau que je t'offre. J'espère que cet objet te plaira. Je sais que tu aimes les jolis garçons bien chauds.» Signé : « Ton papa qui t'aime ».

Louka déballe le petit cadeau et découvre un jockstrap de couleur rouge. Le rouge est sa couleur préférée.

Le midi, juste avant de manger, Louka embrasse son gentil papa pour ce cadeau qu'il a reçu.

FIN

13 mai 2013

Sébastien

Quelques mois passent depuis ma rencontre avec Sébastien, mon beau capitaine de l’équipe de foot locale. J’ai très envie de le revoir.

Je vais, comme par le passé, me rendre au stade pour assister à son entraînement. Après deux bonnes heures, je me dirige vers lui et en saluant de la main Bruno, le joueur avec les tétons piercés. Sébastien me serre la main et me demande ce que je fais là. Je lui réponds que je veux le revoir. Je lui demande alors s’il fait quelque chose de spécial après son entraînement. Je lui indique s’il est d’accord pour prendre une douche chez moi. Il accepte volontiers. Il saisit son sac de sport et change de chaussures et en sort une serviette qu’il étale sur le siège de sa voiture. Sébastien démarre sa voiture et sur mes indications, nous nous dirigeons vers mon appartement. Il m’explique qu’il a travaillé toute la journée avant son entraînement et qu’il est épuisé.

Je l’informe que je lui ai réservé une belle surprise pour le requinquer et qu’il doit me faire confiance. C’est comme une récompense pour m’avoir laissé pénétrer les vestiaires et les douches collectives la dernière fois.

Arrivés à destination, nous descendons de voiture et nous rentrons chez moi. Je lui prends son sac que je pose au coin de l’entrée. Je lui ordonne de se laisser faire. J’avais étalé une grande serviette en éponge sur mon lit avant de le rejoindre au stade. Je l’emmène par la main dans ma chambre. Il tient presque plus debout tellement il est claqué. Je passe derrière lui pour enlever son maillot, délace ses chaussures, son pantalon de survêt’, son short, enlève ses chaussettes. En enlevant son short, je découvre avec surprise qu’il porte un jockstrap bleu marine qui lui met si bien ses formes en valeur. Sébastien m’avoue qu’il en porte très souvent pour ses entraînements et ses matches. Seulement vêtu de son jockstrap, mon beau capitaine se laisse tomber comme une masse sur la grande serviette étalée sur le lit. Sébastien est cul nu sur mon lit. C’est ce que j’espère depuis je l’ai vu la première fois sur le terrain.

Je me mets à l’aise aussi. Je me déshabille et termine en jockstrap aussi. Je lui prends les bras pour les mettre le long de son corps. Puis, je sors de ma table de nuit, un flacon d’huile de massage relaxant. J’ouvre le flacon en m’asseyant derrière lui entre ses cuisses légèrement écartées et en versais sur les omoplates de mon Sébastien. Je commençais le massage. Du bout de mes doigts, j’étalais l’huile, de mes pouces, je dessine de petits ronds sur ses omoplates puis sur le long de ses bras. Je m’applique à lui masser ensuite les dorsales. J’entends alors un soupir d’aise un peu étouffé par la serviette sur le traversin. Sébastien aime bien ce que je lui administre. Il a l’air de se sentir très bien.

Je descends vers ses lombaires tout en faisant des ronds avec mes pouces. Quand j’arrive vers les sacrées, la ceinture de son jockstrap me gêne pour la continuité de mon massage. Sébastien est déjà parti dans les bras de Morphée. Quand tout à coup, la sonnerie de son portable retentit. Je lui conseille, pour garder les bénéfices du massage, de rester au calme, allongé et de faire le vide dans sa tête. Je prends la petite serviette pour m’essuyer les mains et attraper le portable sonnant. Sébastien décroche. C’est sa copine Alexandra qui commence à s’inquiéter de ne pas le voir rentrer. Il explique à Alexandra de ne pas paniquer. Il la rassure en lui disant qu’à la sortie de l’entraînement, Martial l’a invité à la dernière minute et qu’elle ne doit pas l’attendre pour dîner. Sébastien l’embrasse et raccroche. Sébastien appelle aussitôt son meilleur pote Martial s’il peut lui servir d’alibi si Alexandra appelle. Sébastien raccroche une nouvelle fois et éteint complètement son portable. Je lui prends son portable et va le poser sur l’étagère de ma chambre a coté de ma minichaîne. Il reste allongé et repart dans ses songes. Je prends l’initiative de lui ôter ce jockstrap qui me gêne. Dans sa demi-somnolescence, il soulève son bassin pour que je puisse le déshabiller entièrement. Je fais attention de ne pas le réveiller. C’est si mignon de voir Sébastien, mon mec d’un soir, dormir sur mon lit. Je reprends le flacon d’huile, en verse sur ses fesses imberbes et continue le massage.

Je caresse les fesses de mon footballeur, l’image de son cul à quelques centimètres de mon sexe est insoutenable. Je suis si près que l’élastique de mon jockstrap commence à résister et à se tendre. Je bande bien dur. Ma bosse effleure sa fente.

Je ne sais pas quoi faire pour me calmer. Je sais pertinemment qu’il refuse de se laisser pénétrer par derrière. J’ai très envie de me faire plaisir. J’ose quand même glisser un ou deux doigts huileux sur sa fente et lui titiller son anus. Sébastien ne dit rien. Je me dis alors, que peut-être, j’ai une petite chance de me satisfaire sans le réveiller et me faire gifler.

Je me dis : « Que diable ! Advienne que pourra ». Je me relève pour prendre du lubrifiant dans ma table de nuit. J’enlève mon jockstrap, libérant mon sexe pointant droit devant moi. Je presse le flacon de lubrifiant pour en étaler sur mon sexe et sur son anus glabre. Étant toujours assis derrière lui, je ne m’apprête à commettre l’irréparable bêtise de sodomiser un hétéro. J’approche mon gland de son anus. Mon gland touche son trou. Il ne bouge toujours pas. Est-il vraiment endormi ou consentant ? Je pousse davantage en avant mon bassin. Ma bite pénètre doucement et régulièrement l’orifice de Sébastien. Cette sensation me fait monter d’un cran mon excitation. Peu à peu, mon pubis épouse ses délicieuses fesses musclées de sportif. Je reste un instant au fond de son conduit. Puis, je commence à sodomiser gentiment Sébastien endormi.

Au fur et à mesure de mes mouvements, je sens la pression monter. Un aller-retour de plus, je me retire et éclabousse le dos de Sébastien. Je me penche en avant pour recueillir de ma langue mon nectar. Sébastien dort à poings fermés. Je remonte la couette sur lui et me couche contre lui pour la nuit. Je le serre dans mes bras. Nous nous endormons, nus, sous la couette, paisiblement.

Le lendemain matin, je me réveille avant lui. Il s’est tourné sur le dos pendant son sommeil. C’est si beau et si charmant. Il faut me résigner à le réveiller pour qu’il rejoigne sa dulcinée. Je n’ai pas envie de le laisser partir avant de lui faire un dernier plaisir. Pour le réveiller en douceur, je prends délicatement sa bite encore flasque dans ma main. Puis, j’humidifie mes lèvres, j’approche ma bouche de cette tige en train de durcir. J’ouvre ma bouche et commence à passer ma langue sur son gland qui devient de plus en plus sensible au toucher. Pendant que je le suce, j’attrape le flacon de lubrifiant sur ma table de nuit. J’actionne le poussoir pour en extraire une belle noisette de gel que j’étale sur mon orifice anal. Je me caresse mon anus pour m’ouvrir un peu et me préparer à le recevoir.

Je me mets à califourchon sur Sébastien. Je prends son sexe pour le mettre à la verticale. Au fur et à mesure que je descends, je sentais mon sphincter épouser sa tige légèrement veinée. Une fois, pénétré, je reste en place, puis roule du bassin. Sébastien dort toujours à poings fermés. Je n’arrive pas à croire qu’il dormirait pendant que je suis sur lui à me faire du bien. Je m'installe face à lui. Je bande aussi. Je monte, descends … bref, je prends mon pied. Pour rien au monde, je ne veux arrêter ce moment si délicieux et si chaud. Mais toutes bonnes choses ont une fin, je sens ses mains bouger et se placer sur mes hanches. Il m’éclabousse avec une grande vigueur mes entrailles. Je sens, moi aussi, monter le plaisir jusqu’à son paroxysme ultime. D’un seul geste, je me lâche sur son ventre avec ses abdos bien dessinés. Je me retire et me couche un instant à coté de mon Sébastien. De ma main, j’étale ma semence sur tout son torse. Enfin, je l’embrasse amoureusement sur la bouche et sur son front. Je serre les fesses pour garder la graine de sportif en moi.

Je lui susurre à l’oreille que nous sommes le matin et qu’il va faut penser à se séparer après une bonne douche chaude. J’ouvre le lit et l’invite à me suivre dans la salle de bains. De la chambre à la salle de bains, nous traversons à poil un petit couloir. Il entre le premier dans la douche aussitôt rejoint par moi. J’ouvre le mitigeur et règle l’eau. Je prends la douchette de son support et je mouille Sébastien sur chaque centimètre carré de sa peau sans rien oublier. J’en fais pour moi aussi. Je repose la douchette, actionne le « stop-douche » et prends le shampooing douche. Je presse le flacon de shampooing sur sa tête puis sur sa poitrine imberbe. J’étale le shampooing et lave Sébastien de la tête aux pieds, y compris dans les endroits les plus intimes. Je fais mousser. Je dois faire disparaître toutes traces suspectes de notre belle nuit d’amour. Pendant que je lave mon sportif, je lui demande s’il a bien dormi. Il m’a répondu qu’il a dormi comme un loir et que si la terre s’ouvre sous lui, il ne s’en rendrait même pas compte.

Vient l’instant du rinçage. Je reprends la douchette et rouvre l’eau. Je lui enlève cette mousse qu’il a sur lui en ne négligeant aucun endroit. Une fois propres, j’arrête le robinet du mitigeur. J’entrouvre le rideau de douche pour saisir mon large peignoir et le passe sur moi. J’ouvre large mon peignoir pour l’entourer de tissu éponge. Je l’embrasse en lui essuyant le dos, ses fesses. Je lui demande s’il est pressé de partir ou s’il a encore le temps de prendre un petit déjeuner. Sébastien répond aussi sec qu’il peut encore rester pour le p’tit déj. Nous finissons de nous habiller. Je lui dis que je vais aller à la boulangerie du coin et qu’il doit m’attendre. Je me saisis de ma veste et vais à la boulangerie pour acheter une baguette et quelques croissants chauds.

Je reviens à mon appartement. Sébastien m’attend assis dans la cuisine. J’ai programmé la cafetière filtre la veille au soir. Je me débarrasse de la baguette et du sachet de croissants puis retourne dans l’entrée pour enlever ma veste, la pose sur le portemanteau dans l’entrée et pénètre dans la cuisine. J’ouvre le placard. Je sors deux bols. Le café finit juste de couler. J’ouvre le sachet des croissants. Sébastien en prend un. Je prends la verseuse pour remplir les bols. Nous déjeunons tous les deux comme deux potes.

Une fois le p’tit déj’ fini, Sébastien se lève. Il met nos deux bols et nos cuillères dans l’évier. Ce n’est pas vraiment prévu dans le scénario, mais il a lavé, essuyé et rangé la vaisselle que nous venons de salir. Je le remercie de ce qu’il vient de faire en lui déposant un bisou dans son cou.

Il me dit en prenant sa veste qu’il a beaucoup aimé cette nuit avec moi et que si c’est possible de le refaire de temps en temps. Sans que je puisse m’y attendre, Sébastien me prend mon visage entre ses deux mains et m’embrasse la bouche tendrement.

Sébastien saisit son sac de sport, abaisse la clenche de porte, l’ouvre et part.

Je descends de mon nuage en me posant la question de savoir si Sébastien est un hétéro exclusif ou un homo qui ne s’assume pas.

15 avr. 2013

Bastien et Dorian

Cela fait au moins six mois que j’étais revenu de mon petit séjour dans un grand hôtel en Rhône-Alpes où j’ai fait connaissance de Bastien.

Ce Bastien m’a hanté mon esprit pendant encore quelques semaines après mon retour.

Un beau jour, je me suis résigne à retourner le voir par mes propres moyens. Je lui ai téléphoné pour lui annoncer mon projet de le revoir chez lui. Il fût enchanté aussi de me revoir. Il m’a dit qu’il m’attendrait dans le hall de la gare ferroviaire. C’était le point de rendez-vous. Je devrais lui communiquer l’heure de mon arrivée deux jours avant.

Je suis donc arrivé à la gare. Il est tard. Il m’attend dans le hall d’arrivée. Il dégouline de partout puisqu’il pleut fort dehors. Je le vois tremblotant dans le milieu de ce hall. Il n’y a presque personne dans ce hall excepté une personne de l’entretien de la gare poussant un grand balai pour ramasser papiers et mégots. Il me fait mal au cœur de le voir comme ça. Alors, je pose ma valise au sol, l’ouvre, et en sort une serviette de toilette. Je l’éponge sommairement la tête. Je ne veux pas qu’il attrape un rhume carabiné. Ce rhume pourrait gâcher ce nouveau séjour auprès de Bastien.

Bastien m’annonce qu’il a depuis peu un appartement pas très loin de la gare. Il m’y emmène. Arrivés devant la porte, il prend ses clés et donne un tour à la serrure. Il me dit qu’il a préparé, juste avant son départ pour la gare, une surprise pour moi. Je ne dois rentrer, les yeux fermés, qu’à son signal. Au bout de deux-trois bonnes minutes, j’entends qu’il m’appelle. J’entre et je fais quelques pas les yeux fermés. Je stoppe. Je referme la porte derrière moi. J’entends une allumette craquer, puis, le signal pour ouvrir les yeux. J’ouvre les yeux. Et je le vois tout nu à coté d’une table en verre. Il a préparé la table pour un dîner aux chandelles. Ce spectacle est magique à mes yeux. Depuis la dernière fois, il n’a pas beaucoup changé. Il a continué de fréquenter la piscine et la musculation. J’ai juste remarqué qu’il s’est rasé le pubis et les testicules rien que pour moi. Il a davantage de bronzage partout sur son corps. Il me suggère de me mettre à l’aise. J’accepte cette invitation et me déshabille entièrement.

Nous nous sommes assis à la table. Nous discutons tout au long du repas de ce que nous devenons depuis ces six mois que nous nous sommes vus. Nous faisons peu exprès de faire traîner le dîner pour pouvoir nous regarder de la tête aux pieds vu que sa table est transparente.

Au moment du dessert, il repart à la cuisine. Il me lance depuis la cuisine qu’il est en train de le préparer. Sans faire de bruits suspects, il fait fondre du chocolat. Il en verse dans un grand bol. Avec un pinceau, il s’en tartine abondamment les tétons et les abdos. Puis, il trempe entièrement son sexe mou dans ce bol. Il vient rapidement à coté de moi. J’ai aussitôt compris ce qu’il attend de moi. Je me mets vite au travail. Il ne veut pas que le chocolat atterrisse sur le parquet ciré de son appartement. Je m’applique avec gourmandise à nettoyer Bastien. Au fur et à mesure que je le nettoie, il se met à durcir comme de l’acier trempé. Je continue à le sucer même s’il n’y a plus de chocolat sur son sexe. J’essaie même de l’avaler entièrement jusqu’à ce que son gland touche le fond de ma gorge. Cela lui procure beaucoup de plaisir. Pendant que je lui suce son sexe, il se penche pour aller explorer de ses doigts mon anus débroussaillé de très près. Je commence doucement mais sûrement à me détendre. Je sens un doigt puis deux pénétrer mon intimité. Ce qu’il me fait, me procure aussi du plaisir. Au bout d’un moment, je lui fais comprendre d’un regard complice que je suis prêt pour recevoir son pieu. Je stoppe de le sucer.

Il étale une vieille serviette de toilette sur le canapé et s’assoit en écartant les cuisses. Je me lève et je me frotte contre son sexe qui pointe le ciel puis, je m’assois progressivement sur son sexe, lui tournant le dos. Ma salive fait office de lubrifiant. Il me saisit les hanches de ses deux mains pour faciliter la descente. Notre plaisir est partagé. Pour commencer, c'est moi qui contrôle la pénétration. Ensuite, c'est à lui de prendre le contrôle. Il fait me mettre à quatre pattes sur le tapis, se met à genoux et me pénètre avec une vigueur bestiale. Au bout de cinq minutes, il se retire, se relève une petite seconde, s’accroupit de nouveau derrière moi pour me pénétrer de plus belle pour cinq autres longues minutes. Au bout de ces cinq minutes, je sens qu’il est en train d’approcher très près l’extase suprême. Je sens subitement quelque chose de chaud et crémeux gicler dans mon intérieur. Il est en train de m’inonder l’anus de son très abondant jus d’amour. Il s’affale sur mon dos pendant qu’il me remplit les boyaux. Quand il a fini, il me susurre au creux de l’oreille qu’il attend ce délicieux moment depuis son premier coup de téléphone il y a un mois.

Il se retire doucement. Il approche son sexe de ma bouche, me force à le ressucer. Je serre les fesses pour ne pas en perdre une seule goutte. Je ne veux pas non plus rendre le sol glissant.

Nous descendons de notre petit nuage et nous débarrassons notre table.

Tout en ramassant notre vaisselle sale sur la table, Bastien me raconte qu’il a un très bon ami gay, qui habite dans la ville voisine, et qui fréquente la même piscine que lui. Bastien me dit aussi qu’il me le présenterait le lendemain matin en allant à la piscine.

Au moment du coucher, Bastien déplore que son canapé n'est pas convertible. Il a aussitôt convenu que ce n'est pas confortable. Il me propose alors de partager son grand lit en tout bien tout honneur. Je suis bien obligé d’accepter son offre alléchante. Mais avant de se mettre au lit, nous nous dirigeons nus vers la salle de bains pour nous brosser les dents et parfaire le nettoyage du chocolat que Bastien a sur lui. Il ne veut pas non plus tâcher les draps.

Il m’avoue aussi qu’il a pour habitude de dormir nu. Couchés, nous entamons une conversation dans laquelle il me dit que, le soir, en rentrant chez lui après le dernier cours de la fac, il se met entièrement nu sitôt passé la porte. Il le fait systématiquement dès lors qu’il est sûr de ne pas être dérangé. La nudité ne lui pose aucun problème. Il se met nu jusqu’au moment de partir pour les cours le lendemain matin.

Vers les une heure du matin, il m’informe qu’il faudra dormir pour pouvoir être en forme pour aller à la piscine de bonne heure le lendemain matin. Il éteint la lumière et se met sur le coté en chien de fusil.

Inconsciemment, je me colle à lui pour sentir ses pecs et ses abdos dans mon dos. Nous terminons cette première nuit dans cette confortable position.

Le lendemain matin, Bastien se lève discrètement, sans bruit, s’habille en survêtement, allume la cafetière et va jusqu’à la boulangerie toute proche pour acheter du pain tout chaud et des croissants au beurre.

Je dors encore à son retour. Il nous prépare un petit déjeuner au lit avec les tartines de beurre et de confiture. L’odeur de café et des croissants me chatouille les narines. Ça me réveille agréablement. Il quitte son survêt’ et rejoint, nu, au lit. Je m’adosse à la tête de lit. Il fait de même. Nous déjeunons sans trop traîner puis que Bastien veut que je l’accompagne à la Piscine.

Sitôt le petit déjeuner achevé, nous nous habillons en mettant d’abord notre slip de bain, puis nos habits. Bastien a un jean qui moule très bien son anatomie. Il ne sait jamais que j’ai gardé son élixir d’amour en moi durant toute la nuit.

Nous prenons nos sacs avec nos affaires de toilette et nous dirigeons vers l’arrêt de bus tout proche. La piscine est à trois-quatre stations de là.

Le bus nous dépose devant la Piscine. Nous y entrons, nous nous acquittons du droit d’entrée, et nous nous dirigeons vers les vestiaires.

Nous entrons dans l’eau et faisons quelques longueurs. Bastien crawle et moi, je brasse. Pendant ses longueurs, j’ai encore ce très délicieux souvenir en moi. Je ne veut pas qu’il se dilue à l'eau chlorée du bassin.

Au bout de trois ou quatre longueurs de bassin, Bastien s’arrête et regarde autour de lui pour chercher son très bon ami, habitant d’une ville proche, qu’il voulait me présenter. Visiblement, il l’attend impatiemment. Je lui demande la raison de son léger énervement. Il me répond que son pote qu’il attend n’est toujours pas arrivé. Nous attendons encore un peu en refaisant d’autres longueurs. En s’arrêtant une nouvelle fois au bord du bassin, nous apercevons un jeune mec d’à peine vingt ans, brun, athlétique, imberbe, 1m75 environ, de beaux pectoraux musclés, et aussi de beaux abdos bien dessinés par de longues séances de musculation presque intensives. Quelques petits poils forment une ligne pas très épaisse allant du nombril et qui disparait sous un slip bien fourni.

Ce garçon a compris que nous l’avons repéré dès qu’il est entré dans l’eau. Il nous lance un clin d’œil. Bastien ne l’a jamais vu auparavant dans cette piscine. Nous nous interrogeons si nous sommes d’accord pour passer un bon moment avec ce mec à l’appartement. Bastien acquiesce bien volontiers. Alors, nous nous arrangeons pour sortir avant ce mec si sexy. Nous nous douchons et habillons en vitesse. Nous attendons dehors la sortie de ce jeune Apollon. Quelques instants plus tard, il sort. Bastien et moi lui faisons signe de nous rejoindre sur le banc où nous l’attendons. Nous nous sommes présenté succinctement. Il s’appelle Dorian. Je lui dis aussitôt que c’est un très joli prénom. Il sourit. Après les présentations, Bastien lui a demandé s’il accepte de passer un peu de bon temps, tous les trois, à son appartement. Il a compris et accepte sans problèmes. Il est presque excité même. Sur ce, nous reprenons le bus pour regagner nos pénates.

Arrivés devant la porte, Bastien glisse sa clé dans la serrure. Il me fait comprendre par un clin d’œil qu’il va faire comme la veille au soir. Il entre et nous laisse sur le palier. Je dis à notre invité que Bastien nous prépare une surprise. Et que, dans un cours instant, il nous donne le signal pour entrer. Le signal est donné, nous entrons. Je referme la porte derrière nous. Je donne un tour de clé.

Bastien ordonne de se déshabiller entièrement. Je fais de même. De voir Dorian tout nu nous fait beaucoup d’effet. Bastien et moi durcissons. Bastien s’approche de Dorian et commence à lui caresser la poitrine et lui titiller les tétons. Je me plaque derrière Dorian et lui caresse les abdos, ma bite frôle ses fesses naturellement glabres. Bastien approche son visage et commence à lui lécher longuement les tétons de Dorian. Moi, de mon coté, commence à masturber les vingt centimètres de chair épaisse et toute lisse. Son gland monte à son zénith. Bastien et moi, nous nous accroupissons devant lui pour lubrifier de salive son engin de plaisir.

Au bout d’un moment, je prie Bastien de passer derrière moi pour bien me préparer mon anus absent de tout poil. Bastien se met aussitôt au travail pendant que je m’applique à sucer Dorian sans précipiter le point de non-retour. Puis, je fais comprendre à Bastien de changer de rôle avec Dorian. Dorian s’accroupit pendant que je suce langoureusement Bastien. Je force presque Dorian à mieux faire en appuyant ma main libre à plaquer sa tête contre mon œillet. Une bonne dizaine de minutes plus tard, tout excité, je fais signe à Dorian de s’allonger sur le dos par terre. Face à Dorian, je m’empale doucement et entièrement sur son pieu dégoulinant de salive. Je reste ainsi une à deux minutes pour appréhender la grosseur et la longueur du sexe de Dorian. Je fais ensuite quelques montées et quelques descentes. Ensuite, je fais quelques larges cercles avec mon bassin. Secrètement, je prépare mon sphincter anal à une gymnastique d’un autre monde. À ce moment précis, Bastien est compris ce qu’il va devoir faire. Il revient devant moi pour une ultime fellation. Je cligne et il se retire de ma bouche pour aller se poster derrière moi pour tenir compagnie à Dorian.

Bastien se met en position et pose le bout de son gland sur mon anus déjà encombré du beau braquemart de Dorian. Il pousse tout doucement son joystick jusqu’à ce que son gland disparaisse. Il s’arrête un instant. Le plaisir remplace progressivement la douleur. Bastien reprend sa pénétration avec douceur. Il vise ma raie avec de la salive pour faciliter un peu plus la glisse de son sexe bien dur. Il me pénètre jusqu’à ce que ses couilles rejoignent celles de Dorian. Ils s’immobilisent au fond de mon cul. Puis, ils reprennent des mouvements de va-et-vient. Bastien s’immobilise une fois de plus. Dorian continue de me ramoner avec davantage de vigueur. Bastien reprend la poussée de sa bite pendant une bonne dizaine de minutes encore. Ce délai passé, je vois Dorian qui commence à sentir venir son jus. Il est pris de convulsions musculaires. J’en déduit qu’il est bel et bien en train de jouir et m’inonder abondamment le conduit anal. Bastien le suit de près. Comme il se trouve derrière moi, je ne le vois pas grimacer, annonçant le point de non-retour. Je sens alors une deuxième salve toute aussi abondante de crème bien chaude dans mon cul. Une bonne minute après, Bastien se retire doucement puis c'est au tour de Dorian de se retirer pour ne pas en perdre une seule goutte.

Je redescends progressivement de mon nuage. J’embrasse alternativement Bastien et Dorian en remerciement de moment si mémorable. Je reste allongé sur le ventre pendant un moment pour apprécier tout ce « liquide » stagner en moi. Mais aussi pour que mon sphincter reprenne une taille normale après cette gymnastique et un repos bien mérité. Je réussis à me mettre un ou deux doigts dans mon anus pour m’en enduire afin de me délecter de ce délicieux nectar des dieux.

Bastien et Dorian se positionnent en 69 pour nettoyer la bite de l’autre.

Une fois nettoyés, Dorian se releve, se rhabille et sort de l’appartement après qu’ils s'échangent leurs coordonnées postales et téléphoniques.

Bastien ferme la porte. Dorian s’éloigne de plus en plus...

8 avr. 2013

La machine à laver

Je vivais depuis presqu’un an dans un appartement dépourvu d’appareils électroménagers. Jusqu’à maintenant, j’allais laver mon linge sale au lavomatic du coin. La ventilation de ce lavomatic laissait à désirer car ça sentait trop la lessive et le linge mouillé.

Un beau jour, mon patron a l’idée, dans un jour de bonté, d’augmenter substantiellement mon salaire. Je décide alors d’aller chez BUT™ pour acheter un lave-linge.

Arrivé au magasin, je me dirige vers le rayon des lave-linge. Il y a beaucoup de marques et de modèles différents. Comment vais-je faire pour choisir une machine à laver qui me convient ? Je me lance alors à la recherche d’un vendeur. Un vendeur, me voyant un peu perdu, s’approche vers moi. C’est un beau garçon d’une petite trentaine d’années, des cheveux courts et châtains, aux yeux clairs, d’allure athlétique. Mon cœur bat la chamade au fur et à mesure qu’il s’avance vers moi. Il me demande s’il peut m’aider. Je lui réponds par l’affirmative. Je vois son badge épinglé sur la poche de sa chemise blanche. Il s’appelle William. En dessous de son prénom, il est marqué sa fonction. Il est le gérant de ce magasin.

Je lui explique que je cherche un lave-linge pas trop cher, de qualité et économique. Après quelques minutes de questionnement, mon choix s’arrête sur un modèle avec un hublot en façade. Je le suis jusqu’à un poste informatique pour savoir s’il y en a encore en stock. Il tape la référence sur le clavier. Pendant qu’il tape ces chiffres, je vois qu’il ne porte pas d’alliance à son doigt. Intérieurement, je m’interroge pourquoi un si bel homme comme lui n’a pas d’alliance. Il m’annonce, un peu dépité, que le modèle n’est pas en stock actuellement. Une commande pour réapprovisionnement du stock est en attente et que je dois attendre quelques jours encore.

Pour parer ce petit désagrément pour le retard de livraison, William me propose de me livrer lui-même la machine chez moi gratuitement. Mon sang ne fait qu’un tour. Je ne veux pas croire qu’il me fasse une telle proposition. Je suis forcé d’accepter. Il me questionne sur l’heure il pourra me livrer. Je lui demande si le soir vers 18 h ou 19h lui convient. Il me dit alors que ça ne le dérange pas, bien au contraire, puisqu’en écrivant mon adresse sur le bon de livraison, il me dit que j’habite sur le chemin entre son domicile et le magasin. Il s’arrête chez moi le soir en rentrant chez lui après le service pour me livrer.

Je décide alors de régler une première partie, qui représente les 3/5ème de la facture. Le restant, je lui réglerai à la livraison.

Plusieurs jours passent. Le jour dit, dans l’après-midi, je reçois sur mon portable, un appel d’une personne du magasin me disant que la machine est arrivée et qu’elle m’allait être livrée dans la soirée par le patron en personne conformément à la consigne sur le bon de livraison. Je prends note et remercie cette personne de m’avoir prévenue.

Le soir de la livraison, je rentre chez moi après ma journée au bureau. Alors que je prends une bonne douche chaude et réparatrice, j’entends frapper à la porte. Je ne prends même pas le temps de me rincer correctement, j’enfile à la hâte sans refermer mon peignoir et va ouvrir la porte. C’est William qui me livre. Il a pu rentrer dans l’immeuble puisque je lui a donné mon digicode sur un bout de papier lors de la commande. Je le fais entrer et referme derrière lui. Il pousse le diable chargé jusqu’à l’arrière-cuisine où se trouvent l’arrivée et l’évacuation d’eau et la prise électrique. Je vois que son regard peser sur moi. Je referme mon peignoir. Il m’arrête dans mon élan. Je comprends alors qu’il est gay.
Il est en train de me regarder tout le temps depuis son arrivée dans l’appartement. Il me demande si j’occupe seul cet appartement ou si j’ai quelqu’un dans ma vie. Je lui réponds que je suis seul. Il me demande ensuite s’il peut se laver un peu une fois la machine installée. Je lui réponds affirmativement. Bien entendu, dans ma tête, c’est indescriptible.

Une fois la machine installée et branchée, il me demande si j’ai besoin d’explications pour l’utilisation de cette machine. J’ai toujours mon peignoir ouvert. William a du mal à se concentrer sur la mise en route la machine. Il y parvient tant bien que mal. Comme promis plus tôt, il me demande la salle de bains pour se laver. Il me précise qu’il a besoin de prendre une douche. Sa journée était épuisante. Sa chemise commence à sentir. À peine passé la porte de la salle de bains, il déboutonne sans se presser sa chemise de travail laissant apparaître un joli torse musclé et imberbe. Se déshabiller devant moi ne le dérange absolument pas. Il continue son effeuillage en enlevant son jean. William ne porte rien en dessous. Dés qu’il dézippe sa fermeture éclair, j’ai, là, devant moi, une très belle bite qui commence à durcir. Il a un pubis très entretenu taillé comme un ticket de métro. De belles couilles lisses et rasées pendent sous cette belle bite.

Il ouvre la porte en verre et rentre dans le bac à douche et commence à ouvrir les robinets d’eau pour la mettre à température. Il ne doit pas attendre longtemps puisque j’y étais juste avant qu’il arrive. Il se mouille entièrement, se saisit de la bouteille de shampooing, en versant une dose dans sa main, et commence à se frotter ses cheveux courts. Ensuite, il prend le flacon de gel douche et s’en étale partout sur son torse, sur ses abdos bien dessinés, ses bras, ses jambes, ses fesses et son sexe. Je le regarde avec délectation se doucher. Je le vois se tortiller les épaules pour se nettoyer le haut du dos. Il n’arrive pas à le faire. Je me décide à l’aider. Sans lui dire, j’enlève mon peignoir et rentre dans la douche. Il reste encore un peu de place pour se bouger. Je prends le flacon de gel douche et le presse au-dessus de épaules de William. Le gel douche coule sur sa peau douce et mate. Je me suis mets à lui laver les endroits qu’il ne peut atteindre. Je continue plus bas. Un instant, je me surprends à lui laver ses fesses bien rondes et fermes. Je vais même jusqu’à glisser un ou deux doigts dans la fente fessière. Je retire mes mains de son cul pommelé. Il me lance tout excité de reprendre sous prétexte d’adorer ça. Sous l’effet de mes caresses, il se met à bander. Je dis alors à William qu’il ne peut pas rentrer comme ça chez lui avec cette bosse dans le jean. Je lui dis qu’il n’y a qu’une seule solution pour « gommer » ce délicat problème. Il rit. Nous finissons de nous rincer. William ferme les robinets et nous sortons de la douche. Après s’être séchés mutuellement, je m’accroupis devant lui. Je me saisis du « bâton de gendarme » qui s’offre à moi. J’y approche mes lèvres. Je passe ma langue sur mes lèvres et j’ouvre à peine la bouche. William pose le bout de son gland et transperce très doucement le trou formé de mes lèvres humidifiées de salive. Il es saisi d’un sursaut de bien-être dès que son gland soit entièrement rentré dans mon orifice buccal. Je lui chatouille son gland de ma langue experte. Soudain, je sens ses mains se poser de chaque coté de ma nuque. Il pousse sans à-coups sa bite lisse dans ma bouche.

Au bout d’un moment, William retire ma bouche de sa bite. Il m’embrasse sur la bouche. Il y glisse sa langue. Sa langue y fait un tour, deux tours. Puis, il me susurre à l’oreille de lui lécher son anus. J’obéis à son ordre. Je m’allonge sur le tapis de la salle de bains. William reste debout au dessus de moi. Il place un pied de chaque coté de ma tête. Je lève les yeux et vois sa fente fessière glabre. Il approche cette vue en s’accroupissant tout doucement vers mon visage. Plus il s’accroupit, plus son œillet rose s’ouvre. William s’épile aussi l’anus. Son anus couvre ma bouche. Ça fait même ventouse. Je sors ma langue et commence à humidifier le bord de sa rosette. De mes mains, je lui caresse le galbe de ses fesses toutes lisses. Puis lentement, j’introduis ma langue dans ce trou qui s’offre à moi. Il a un goût délicieux et chaud. William apprécie beaucoup ce traitement spécial.

Pendant que je suis à l’œuvre, je me demande à quoi pouvait servir cette petite faveur que m’a demandée William. Veut-il que ce soit moi qui le baise ? Je n’en sais fichtrement rien. Pendant ce rituel, il bande toujours aussi dur comme un roc.

Au bout d’un instant, dès qu’il sent prêt, il me hurle presque de me relever, de me pencher en avant. Et, d’un coup, il me pénètre le cul aussi facilement comme dans du beurre. J’ai du mal une seconde ou deux. Il se retire, enfourne une nouvelle fois son pieu jusqu’au plus profond de ma tuyauterie, et y reste de façon que mes sphincters anaux épousent bien le membre durci de mon livreur. Il commence à aller et venir. Il accélère progressivement la cadence et l’intensité de son pilonnage. Je m’aperçois que je n’ai pas été baisé de la sorte depuis des lustres. William continue à me baiser le cul virilement.

Soudainement, j’entends William pousser un autre ton de gémissements que ceux de mon pilonnage. J’en déduis qu’il est dans un « état proche de l’Ohio ». Je sens que tout son corps a tous les spasmes de la jouissance. Dans la seconde qui suit, il s’affale sur moi. Je sens quelque chose de chaud et abondant se répandre en jets saccadés dans mon intérieur. Il m’a bel et bien inondé mes entrailles de son élixir d’amour. Une fois que William a fini, il se retire doucement et se renverse sur le dos à coté de moi. Il est en nage. Il reprend une dernière douche très rapide pour faire disparaître l’odeur de stupre.

Il se sèche, se rhabille. Il me dit que si j’envisage de faire d’autres achats au magasin, que je dois l’appeler personnellement. Il sera très enchanté de me livrer à nouveau un appareil électroménager.

Cette proposition qu’il vient de me faire me satisfait tout à fait. J’accepte cette proposition. Je lui dis que je vais le revoir pour acquérir un autre appareil.

Il reprend son diable, repasse la porte dans l’autre sens et disparaît dans le couloir.

1 avr. 2013

Le centre de redressement

Il se prénomme Jeremy. Il a accumulé plein de bêtises. Il est envoyé dans un centre de redressement établi dans une vieille caserne militaire désaffectée. Ce Centre est dirigé par un directeur au caractère bien trempé. Ce directeur porte, secrètement sous son costume, un harnais de torse en cuir, un cockring lourd en métal chromé et un jockstrap en cuir épais et clouté. Ce centre compte une vingtaine de résidents d’âges différents.

Jeremy est un jeune garçon à la peau blanche, aux cheveux blonds décolorés et à la silhouette mince. Il doit avoir tout juste dix-neuf ans.

En début d’après-midi d’un été chaud, une voiture dépose devant les grilles d’un bâtiment imposant. Jeremy sonne et un gardien arrive. Le gardien l’accompagne jusqu’au bureau du Directeur, Mr Di Marco. À peine arrivé dans le bureau, Mr Di Marco demande de ne pas s’asseoir et questionne sèchement Jeremy la raison qui l’a conduit dans ce centre. Jeremy balbutie. Mr Di Marco lui demande avec autorité de parler fort et clair parce qu’il veut que Jeremy comprenne conscience de ses actes en lui faisant dire à haute voix les bêtises qu’il a faites.

Le directeur lui annonce qu’il devra se plier au règlement intérieur en vigueur dans cet établissement et participer aux travaux d’intérêt généraux.

Mr Di Marco ordonne à son surveillant général, Mr Ford, d’escorter le jeune blanc-bec jusqu’à sa chambre avant de lui faire une visite rapide et ensuite de l’emmener rejoindre ses quatre autres acolytes de son groupe. Arrivés à sa chambre, Jeremy dépose sa valise et suit Mr Ford pour la visite et puis enfin de le faire rentrer dans le groupe de quatre qui sont déjà seau à la main pour ramasser papiers, mégots de cigarettes, etc. Jeremy était juste vêtu d’un bermuda en jean usé et troué de part en part, et d’un débardeur court en coton blanc.

Cette première journée pour Jeremy est éreintante. Sitôt l’endroit nettoyé, Jeremy et les quatre autres vont vider leurs seaux dans le container au local à poubelles sous l’œil de Mr Ford, le surveillant général. Les cinq garçons se dirigent vers la salle de douches collectives. Jeremy prend sa douche dans un coin de la pièce. Jeremy est loin de penser que ses quatre colocataires de chambrée lui reluquent secrètement son derrière tout blanc qu’il « offre » à la vue des autres. Jeremy ne se doute pas, non plus, qu’il va devenir la proie de ses quatre autres obsédés. Après cette douche, les cinq garçons se rendent au réfectoire, pour le dîner qui a été préparé par une autre équipe de cinq garçons, eux aussi, résidents de cette imposante bâtisse. Pour terminer, chaque groupe regagne leurs chambres respectives. Les chambres sont de chambres-dortoirs de six lits métalliques. Donc, pour Jeremy, cette première journée se déroule sans problèmes.

Le lendemain matin, Jeremy est réveillé de bonne heure pour assister à un cours d’éducation civique. Ce cours est enseigné par un grand mec aux épaules larges à la virilité certaine. Lui aussi, comme le directeur, porte près du corps, sous son costume, un harnais de torse en cuir large. Ce cours a pour objet de réapprendre à ces jeunes les valeurs tels que le respect d’autrui. Cela dura toute la matinée.

L’après-midi, Jeremy et ses quatre compères, toujours armés de leurs seaux, nettoient un autre endroit du Centre. Le soir, ils vident leurs seaux dans le même container que la veille au local des poubelles. Ils dirigent, comme la veille, vers les douches, le réfectoire, puis leurs lits. À peine Jeremy couché sur son lit, qu’il commence à s’endormir sur le coté en chien de fusil. À ce moment-là, comme il faisait chaud, Jeremy est vêtu d’un simple slip à poche en coton blanc. Une fois endormi, l’un de ses colocataires de chambrée, Jason, marche sans bruit, la bite en érection, vers Jeremy. Jason approche son engin de la bouche du blondinet en essayant de ne pas le réveiller. Jason touche du gland les lèvres de Jeremy. Jeremy sursaute. Jason lui prend les mains et force Jeremy à le sucer sous peine de réveiller le surveillant général qui dort à l’autre bout du couloir. Jeremy s’exécute sans broncher. Jason fait signe, discrètement et efficacement, aux trois autres de venir le rejoindre pour se faire sucer aussi. Les trois autres, se lèvent la bite toute dure à l’air en direction de Jeremy. Après quelques instants, Jason se retire de la bouche de Jeremy. Roman présente sa bite sous le nez de Jeremy. Jeremy s’applique pour sucer Roman. Quelques courtes minutes, Roman se retire. Il est remplacé par un autre garçon, Billy, qui lui aussi, donne son sexe à Jeremy. Un moment plus tard, Billy se retire aussi. Puis le dernier des quatre, Tyler, termine la boucle. Une fois fini, Jason, Roman, Billy et Tyler mettent Jeremy sur le dos et explosent leurs semences sous la forme d’un feu d’artifices sur le ventre plat de Jeremy. La deuxième nuit se passe normalement.

Le lendemain suivant, Jeremy, Jason, Roman, Billy, et Tyler vont en direction du cours d’éducation civique enseigné par Mr Miklos, un professeur d’une petite quarantaine d’années venu tout droit de l’Europe de l’Est. Ils sont surpris que leur professeur leur fasse une interrogation orale surprise. Mr Miklos piége Jeremy, à des questions auxquelles il ne peut répondre. Mr Miklos lui assure qu’avec sa méthode personnelle l’éducation civique sera sue par cœur. Il met fin au cours en disant à Jeremy de venir seul au cours le lendemain matin. La matinée se termine. Après le déjeuner, comme l’accoutumée, toujours armés de leurs seaux, nettoient un autre endroit du centre.

Le soir, pendant la douche, Jeremy supplie Jason quelle est cette méthode si particulière pour faire apprendre son cours efficacement. Jason ne veut rien dire à Jeremy de ce qu’il peut l’attendre à ce cours. Vient l’heure du dîner, ils vont au réfectoire. Après avoir mangé, ils montent dans leurs chambres après avoir brossé leurs dents. Ils se couchent. Jeremy a encore ce slip à poche en coton blanc. Jeremy s’endort. Après quelques minutes, le même scénario que la veille recommence mais prend une autre tournure quand Jason se lève, se dirige vers la bouche de Jeremy et force le passage pour qu’il lui enduit son sexe tout droit et lisse, humide de salive. Jason se penche pour baisser le slip de Jeremy. Jason lèche un moment l’œillet de Jeremy afin de l’humidifier. Jason assène un aller-retour une fois encore dans la bouche du jeunot. Puis, se place derrière Jeremy, le fait mettre à quatre pattes sur lit, le cul vers le ciel. Il prend sa bite toute dure et la presse sur le petit trou rose de Jeremy. Jeremy a la tête dans son oreiller pour étouffer les cris de douleur. Jason a tellement bien lubrifié de salive l’anus de Jeremy que sa bite, une fois le gland rentré, rentre comme dans du beurre. Jason fait de nombreux va-et-vient dans le petit cul vierge de Jeremy jusqu’à ce qu’il ne se retient pas et crache sa chaude et abondante semence jusqu’à sa dernière goutte dans les tripes de Jeremy. Il se retire doucement en veillant de ne pas en perdre une goutte. Pendant que Jason s’occupe de Jeremy, Roman, Billy et Tyler sont là à se masturber pour se maintenir en forme. Roman s’approche de Jeremy qui a la peau des fesses qui commence à briller. La bite de Roman est toute lisse et très légèrement courbée vers le haut. Roman n’a aucun mal à introduire son sexe dans le cul de Jeremy. Roman secoue le derrière de Jeremy longuement jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus de se retenir. Roman largue toute sa purée également dans le cul de Jeremy. Comme Jason, Roman se retire en ne laissant rien perdre. Billy se présente derrière Jeremy avec son gros sexe veineux et dur, il rentre comme dans du beurre. Billy prend Jeremy, de chaque coté, le bassin fermement pour une meilleure introduction de son sexe. Jeremy, lui, le visage dans son oreiller. Billy ne se sent plus et largue lui aussi toute sa sauce dans les entrailles de Jeremy. Billy se retire, de la même manière, que ses comparses, aussi délicatement pour ne pas en perdre une goutte. Le dernier, Tyler se présente devant l’anus dégoulinant de Jeremy. Tyler y enfonce son sguègue dans les tripes, en sort, rentre, sort, rentre, et y rentre avant d’y déposer, lui aussi, toute sa sauce blanche et crémeuse.

Ces garçons, trop occupés, oublient la ronde du surveillant général, Mr Ford. Mr Ford sent du couloir cette odeur si particulière, s’approche de cette chambre. Il commence à se remettre en place ses attributs qui commencent à durcir. Il fait irruption et surprend le jeune Jeremy le cul en l’air dégoulinant de sperme. Ce spectacle lui fait sortir de son pantalon son gros sexe épais et droit. Jeremy est dans un état d’excitation qu’il supplie Mr Ford de lui en remettre une couche. Ce que Mr Ford fait. Il s’introduit dans le cul si offert par Jeremy. Mr Ford se vide aussi dans le cul de Jeremy.

Jason rappelle à Jeremy qu’il faut quand même dormir parce qu’il a cours particulier avec Mr Miklos le lendemain matin.

La nuit se passe rapidement pour Jeremy puisqu’il doit évacuer aux toilettes, toute cette semence accumulée en lui. Il n'a pu dormir que deux heures.

Le lendemain matin, de bonne heure, Jeremy se dirige seul au cours de Mr Miklos pour la leçon particulière. Mr Miklos ne porte pas son costume comme d’habitude. Il porte juste son harnais de cuir qui lui enserre la poitrine mettant en valeur ses deux seins piercés d’un petit anneau. Il est assis derrière son bureau. Jeremy se tient debout juste devant le bureau. Mr Miklos pose la première question à Jeremy en l’avertissant d’un gage s’il ne répond pas correctement. Jeremy donne une réponse fausse. Alors, Jeremy passe sous le bureau et commence à sucer un très court instant. Mr Miklos retire la tête de Jeremy, puis pose une deuxième question. Jeremy donne une réponse incomplète. Mr Miklos ne parle pas et fait un signe de repasser sous le bureau et de sucer encore un court instant. Mr Miklos tire la tête de Jeremy et pose une troisième question. Jeremy donne une autre réponse fausse. Mr Miklos se fâche. Ce coup-ci, Jeremy repasse sous le bureau plus longuement. Après quelques instants, à la quatrième question, il allonge Jeremy sur le ventre sur le bureau, le cul à l’air. Mr Miklos repose une question à Jeremy en guise dernière chance pour échapper au châtiment ultime. Jeremy sèche complètement la réponse. Alors Mr Miklos écarte les lobes fessiers, crache de la salive sur l’anus de Jeremy. Il lui introduit un doigt, et présente son énorme gland et le pousse dans les tripes encore endolories de la veille au soir. Mr Miklos reste un moment planté au fond du cul pour que les muscles anaux de Jeremy épouse bien la forme de l’énorme gourdin qui est en lui. Jeremy sent que Mr Miklos commence à remuer doucement, puis accélère progressivement la cadence. Le professeur va et vient plusieurs fois dans les boyaux de son élève. Après de longues minutes interminables de pilonnage, Mr Miklos inonde jusqu’à la dernière goutte le petit cul de Jeremy. Il se retire lentement. Mr Miklos fait jurer à Jeremy de ne rien révéler de sa méthode si particulière à Mr Di Marco, le Directeur du Centre. Jeremy est toujours allongé sur le bureau. Ce professeur, voyant que Jeremy « perdait » le précieux liquide, s’accroupît et lèche l’anus de Jeremy pour récupérer cette semence. Il se lève, la bouche pleine, immobilise la tête de Jeremy, le force à ouvrir la bouche, pose ses lèvres sur celles de Jeremy et laisse couler doucement le « St Graal » au fond la gorge de Jeremy. Ils restent, bouches collées, jusqu’à ce que Jeremy avale cet élixir de vie. En fin de matinée, Jeremy quitte la salle de cours.

Le déjeuner arrive. Jeremy se dépêche de prendre son repas pour enlever cette odeur de stupre qu’il a dans la bouche. L’après-midi, lors du créneau de ramassage des déchets qui jonchent sur le sol, ça et là, Jason demande à Jeremy comment s’est passé son cours avec Mr Miklos. Jeremy lui fait un clin d’œil qui en dit long. Ce que Jeremy ignore, que Jason dû, lui aussi, en son temps, subir cette méthode si particulière de ce professeur.

Les journées se suivent et se ressemblent. Jeremy subit la leçon de Mr Miklos deux fois par semaine pendant trois mois. Un beau matin, le Directeur, Mr Di Marco, fait venir Jeremy à son bureau pour un examen périodique des trois mois. Mr Di Marco demande comment se passe ce séjour. Jeremy affirme à haute voix. Le directeur pose lui, aussi, trois questions. Mr Di Marco, sans le savoir, reprend la même méthode si particulière de Mr Miklos. Il pose une première question à Jeremy sur la notion de respect d’autrui. Jeremy ne peut répondre correctement. Le directeur, discrètement, enlève son pantalon de costume. Il repose une seconde question. Jeremy sèche aussi sur cette question. Mr Di Marco pose une troisième question. Sans réponse, il ordonne à Jeremy de se pencher sur le bureau. Il lui baisse son short et lui donne une fessée cul nu. Il lui bande les yeux avec le bandana noir que le Directeur porte. Puis, sans un bruit, il ouvre un tiroir de son bureau et en sorte un bâillon-boule qu’il presse devant la bouche de Jeremy et qu’il attache derrière la tête du jeunot. Ensuite, Mr Di Marco sorte aussi du tiroir un flacon de gel lubrifiant mentholé et un « gode-épée » -ou manrammer- de couleur noir d’une assez bonne taille qu’il pose religieusement sur un plateau en argent sur le bureau non loin de Jeremy.

Le Directeur écarte les deux lobes fessiers tout blancs de Jeremy. Il s’aperçoit que l’anus de Jeremy est exempt de poils. Cette vue émoustille Mr Di Marco. Il se palpe virilement le jockstrap clouté en cuir. Il se lèche un doigt et effleure la rondelle de Jeremy. Sous cette caresse, Mr Di Marco voit la rondelle se contracter et se relâcher. Il prend alors le flacon de gel lubrifiant, écartant de nouveau les joues fessières, le place à une vingtaine de centimètres au dessus du cul de Jeremy. Il presse le flacon longuement pour en extraire une bonne noix de lubrifiant sur cette rosette offerte. Il laisse quelques secondes le gel couler doucement vers ce trou.

Pendant que le gel glisse lentement sur la fente toute lisse, le Directeur immobilise d’une main le dos de Jeremy. Une fois, que le gel eut atteint son but, le directeur introduit un doigt dans l’anus offert. Puis il retire son doigt, se recule d’un mètre environ pour contempler lubriquement ce petit cul juvénile. Il marmonne dans un dialecte très étrange quelques mots. D’une manière mystique, il se saisit des deux mains le gode-épée, le brandit en l’air, puis doucement en direction de cette cible. Mr Di Marco s’approche de nouveau, pose le bout du manrammer noir sur la rosette de Jeremy. Il le fait glisser de toute sa longueur sur la fente lubrifiée. Il marmonne de nouveau deux ou trois mots et introduit virilement le gode dans l’anus. Il l’enfonce jusqu’à la garde, le laisse plusieurs longues minutes, fait un dernier aller-retour avec ce gode. Il le sort et le repose sur le plateau. Mr Di Marco enlève la coquille cuir qui est attachée avec des pressions sur le jockstrap en cuir qu’il porte. Cela libère alors un sexe dur dressé comme un mât de drapeau. Ce grand et droit pieu doit faire une bonne vingtaine de centimètres. Mr Di Marco effleure de son gland l’orifice dégoulinant de lubrifiant, puis, sans que Jeremy s’y attende, il s’enfonce entièrement d’un seul coup dans le cul de Jeremy. Il y reste ainsi plusieurs longues minutes. Ensuite, il ressort, et re-rentre et commence un ramonage sans ménagement pendant un bon quart d’heure les tripes de Jeremy. Au bout de ce ramonage, Mr Di Marco s’extirpe rapidement. Sentant sa sève monter dans sa tige, il s’enfonce de nouveau entièrement pour se libérer. Il inonde jusqu’à la dernière goutte le cul de Jeremy. Il se retire doucement et remet le manrammer à l’intérieur pour former un bouchon. Il le laisse dans cette position pendant plusieurs minutes encore.

Jeremy ne peut prononcer un mot puisqu’il est bâillonné.

Quelqu’un frappa à la porte du bureau. C’est Mr Ford qui doit faire son rapport de fin de journée à son supérieur. Le directeur le fait entrer laissant Jeremy à la vue de tout le monde qui entre dans le bureau. Voyant ce spectacle, Mr Ford se palpe le jean et fait comprendre à Mr Di Marco son intention. Mr Di Marco comprend et fait un signe de tête pour dire qu’il est d’accord. Mr Ford baisse son jean puis son slip blanc à poche et commence à se palucher pour « se réveiller ». Mr Di Marco se lève de sa chaise, se place derrière Jeremy, libère les entrailles de Jeremy. Mr Ford introduit son sexe tout dur et légèrement courbé et commence à limer. Au bout de dix minutes, Mr Ford largue tout son jus. Mr Ford se retire. Mr Di Marco remet en place le gode dans le cul du jeunot. Mr Ford sort de la pièce. Vingt minutes après, la porte se fait encore entendre. C’est Mr Miklos qui vient se plaindre du comportement désastreux d’un autre jeune résident. Mr Miklos voit Jeremy penché en avant sur le bureau, le manrammer qui lui comble l’orifice. Mr Miklos descend son jean et son jockstrap en cuir. Il se palpe son énorme sexe droit. Mr Di Marco se relève de sa chaise et vient enlever de nouveau le manrammer des entrailles de Jeremy. Mr Miklos se place derrière Jeremy, effleure la rosette, d’un coup de rein, s’enfonce entièrement comme dans du beurre, dans les tripes de Jeremy. Il laboura pendant une bonne dizaine de minutes le cul de Jeremy jusqu’à ce qu’il explose à l’intérieur. Il se retire. Il répète ce qu’il fait en cours particulier d’éducation civique, c'est-à-dire qu’il s’accroupit derrière Jeremy, il lape le sperme qui coule hors du trou béant de Jeremy, se relève. Il fait signe à Mr Di Marco de lui enlever le bâillon. Mr Miklos force Jeremy à ouvrir la bouche et recueillir tout le sperme au fond de sa gorge que Mr Miklos a récolté. Mr Di Marco remet en place le bâillon dans la bouche et le gode dans l’anus le temps que Mr Miklos sorte de la pièce. Un quart d’heure passa encore, Mr Di Marco enlève le gode des entrailles de Jeremy. Ensuite, Jeremy est libéré du baillon-boule et enfin du bandana qui lui sert de bandeau.

Ce que Mr Di Marco oublie de mentionner à Jeremy, avant de subir les assauts de Mr Ford et de Mr Miklos et de lui-même, que cet examen périodique est décisif pour la poursuite ou non de la peine d’enfermement dans ce Centre de Redressement.

Mr Di Marco fait se relever Jeremy, le fait mettre debout, devant le bureau, le cul lubrifié et tout endolori avec ce qu’il vient de subir. Mr Di Marco lui annonce qu’il devra revenir dans ce bureau dans sept jours afin que ce directeur si ... spécial afin de décider si le séjour doit se finir ou continuer. Pendant ces sept jours, Mr Di Marco réunit son professeur d’éducation civique et le surveillant général pour délibérer...

Une semaine se passe. En fin d’après-midi, après la douche, Jeremy revient dans ce bureau. Messieurs Di Marco, Ford et Miklos sont assis tous les trois autour du bureau ovale. Mr Di Marco, en tenue complète de cuir, a une chaise plus haute que celle des deux autres. Il est donc assis au milieu des trois. Jeremy est vêtu de son débardeur blanc et de son petit short en jean usé qu’il portait en arrivant au Centre.

Mr Di Marco et ses deux subordonnés portent leur costume de ville.

Le Directeur, Mr Di Marco, annonce à Jeremy qu’il devra une petite quinzaine de jours avant de partir définitivement du Centre. À l’annonce du verdict par Mr Di Marco, Jeremy ne sait pas comment réagir à cette décision. Il est partagé entre être content ou être inquiet après les agissements de l’équipe dirigeante.

Mr Di Marco fait ressortir Jeremy de la pièce. La porte refermée, Mr Di Marco a une idée. Il la soumet à ses subordonnés. Ils la trouvent très bonne. Mr Ford se charge de redire à Jason, ainsi qu’aux autres, sans que Jeremy soit mis au courant.

Pendant quelques jours encore, Jeremy, Jason, Billy, Roman et Tyler continuent à ramasser les détritus divers et variés qui jonchent le sol ici et là.

Mr Di Marco a aussitôt une autre idée qui mettra du piment à la surprise qu’il a concoctée à Jeremy. Il prend son téléphone et compose le numéro d’un autre Centre de Redressement distant d’une vingtaine de kilomètres. Il demande à parler au Surveillant Général de ce Centre. Ce Surveillant Général est un très bon ami de Mr Di Marco. Ils se sont rencontrés pendant leur formation initiale. Ils discutent un petit peu pour savoir comment ils vont. Ça fait un petit bout de temps qu’ils ne se sont pas vus. Mr Ford lui annonce qu’il a un projet pour passer un peu de bon temps. Il lui raconte un peu ce qu’il en est. Il le questionne afin de savoir s’il est d’accord pour y participer. Cet ami, enchanté par cette invitation, accepte sans problème puisqu’il n’est pas de service à cette date dans son Centre où il officie. Mr Di Marco fixe une date et une heure en début de soirée. Il lui précise qu’il va le rappeler la veille pour lui préciser quelques détails.

Cet ami est un grand noir qui semble frôler le mètre quatre-vingt-dix-huit. Il a de larges épaules, des bras musclés, des abdos et des pectoraux très bien dessinés. Il s’appelle Mr Washington.

Pendant ces quelques jours, le séjour de Jeremy n'est pas aussi mouvementé. Il a juste droit à des petites claques amicales sur les fesses mouillées par les quatre autres pendant la douche.

Au fil des jours, l’organisation de la surprise de Jeremy se précise de plus en plus. Mr Di Marco découvre dans le dossier administratif, la date d’anniversaire du freluquet. Il en informe en cachette les autres de ce renseignement si précieux.

Pendant ce séjour, Jeremy a secrètement sympathisé avec Jason. Il lui arrive de temps en temps, pendant que les autres dorment très profondément, que Jason se lève en pleine nuit pour aller faire un bisou humide sur la bouche de Jeremy. Ça s’arrête là. Ces petits gestes tendres ne se font pas en présence des autres.

La veille du grand départ, le soir, après la corvée de nettoyage et la douche, Mr Di Marco vient dans la chambre dortoir. Il dit à Jeremy qu’il devra faire sa valise et la déposer chez le gardien juste avant le repas. Il devra suivre à la lettre ce que Jason lui dira une fois la valise déposée et le repas terminé.

En journée, Mr Di Marco rappelle Mr Washington pour lui rappeler à sa mémoire l’heure du rendez-vous. Il lui demande de se munir de son harnais de cuir qui lui va si bien à l’époque de sa formation. Mr Di Marco lui demande aussi de se rendre directement à la salle secrète. Il lui précise que cette salle est située au même endroit que dans son centre. Les deux Centres de Redressement sont construits sur les mêmes plans.

Le grand moment pour Jeremy arrive à la vitesse d’un cheval au galop. Vers vingt heures, le dîner fini, Jason emmène Jeremy dans la chambre. Il l’embrasse sur la bouche. Il lui roule un patin pour laisser le temps à Billy, Roman, Tyler et le reste des enseignants de se rendre dans cette fameuse salle secrète. Au bout de dix bonnes minutes, Jason emmène Jeremy, nu comme un ver, au beau milieu de la cour centrale du Centre. Il lui bande les yeux et lui fait faire trois ou quatre tours sur lui-même.

Jason l’emmène par la main jusqu’à devant une porte rivetée en fer. Jason frappe la porte trois fois puis une fois. Il fait entrer Jeremy dans cette pièce. Jason ferma la porte à clé derrière lui. Jason lui enleva le bandeau des yeux. Jason le déshabilla entièrement. La salle ne possède qu’une malheureuse ampoule au bout d’un fil électrique. Elle n’éclaire pas grand-chose. Le sol est en ciment. Il n’y a pas de carrelage. Soudain, Mr Di Marco sort de l’ombre, nu, vêtu de son harnais de torse en cuir, son sexe mou à l’air. Il ordonne à Jason de menotter Jeremy sur le ventre sur le sling en cuir qui pend au milieu de la pièce. Mr Di Marco se réveille le colosse. Jason bande déjà sous son jean. Jason se place devant Jeremy pour qu’il lui suce sa bite toute raide.

Mr Di Marco sort, de je ne sais où, un flacon de gel lubrifiant et en dépose une bonne grosse noix sur l’anus de Jeremy. Il introduit un doigt, puis deux doigts. Ensuite, Tyler, lui aussi, sort de l’obscurité. Il bande aussi. Il se place un instant devant Jeremy remplaçant Jason. Jason se place derrière Jeremy et le pénètre très virilement. Il lui assène de longs allers-retours. Il se retire un instant, laissant la place à Tyler. Tyler le pénètre doucement et augmente progressivement l’intensité. À tour de rôle, Tyler et Jason se relaient pour pilonner les entrailles de Jeremy. Roman sort du noir et vient se mettre devant la bouche de Jeremy. Jeremy gobe la queue de Roman un court instant. Roman se dirige vers l’œillet de Jeremy. Il le pénètre violemment. Il roule du bassin pour permettre aux sphincters anaux de se détendre et de s’ouvrir de mieux en mieux. La rotation de Jason, de Tyler, et de Roman reprend de plus belle. Billy sort lui aussi de l’ombre. Il se fait sucer pendant un instant et vient se placer derrière Jeremy. Mr Di Marco réapparaît pour remettre du lubrifiant sur la rondelle juvénile de Jeremy.

Les quatre jeunes se relaient le petit cul blanc en faisant de plus grands cercles avec leurs bassins pour dilater les muscles anaux de Jeremy. Tyler, qui est en train de se palucher non loin de là, sent monter sa sève, entre dans Jeremy et y dépose tout au fond du rectum toute sa semence. Il se retire et laisse Jason, Roman et Billy reprendre leurs rotation en dilatant davantage l’anus de Jeremy. Tout à coup, Jason, lui aussi, sent venir. Il tape sur l’épaule de Roman. Roman se retire vite et laisse Jason entrer. Jason expulse sa crème onctueuse dans le fond du conduit anal. Il se retire avec délicatesse.

Mr Di Marco fait détacher Jeremy du sling en cuir. Pendant ce laps de temps, Billy s’allonge sur le dos sur un fin matelas en latex posé par terre. Mr Di Marco oblige Jeremy à s’empaler sur le pieu de Billy. Billy empoigne Jeremy par la taille et lui fait faire quelques allers-retours. Billy regarde Roman et cligne de l’œil. Roman se présente « au garde à vous » derrière Jeremy. Il s’accroupit et pénètre Jeremy profondément. Ils restent un instant pour que les muscles anaux épousent les deux magnifiques bâtons. Billy reste immobile à l’intérieur. Roman commence un nombre incalculable de mouvements. Au bout de dix longues minutes, Billy et Roman inondent de concert les entrailles déjà bien gluantes de sperme de Jeremy.

Jeremy est, une fois encore, menotté sur le dos sur le sling pour quelques minutes encore. Il est au moins minuit moins le quart dans la soirée.

Mr Ford et Mr Miklos sortent ensemble de l’ombre. Tous deux portent leur harnais en cuir qui leur mettent en valeur leurs poitrines velues. Ils bandent durement. Ils ont contemplé le spectacle que les quatre jeunes résidents ont offert. Les deux poilus se mettent de chaque cotés de la bouche de Jeremy pour une préparation adéquate. Mr Ford remplace Billy sur le fin matelas en latex. Jeremy est libéré une seconde fois. Mr Miklos empoigne Jeremy par les deux bras. Il fait quelques pas en direction de Mr Ford, allongé sur le dos. Mr Miklos saisit Jeremy par les deux aines et le fait descendre pour s’empaler sur Mr Ford. Mr Ford fait quelques mouvements de bassin. Il ne bouge plus facilitant l’entrée de Mr Miklos. Tous deux commencent un ballet des bassins. Mr Ford s’immobilise pour exploser dans les entrailles juvéniles. Mr Miklos continue de glisser à l’intérieur. Tout à coup, Mr Miklos, cria d’extase. Il vient d’expulser son importante semence poisseuse tout au fond du rectum.

Mr Miklos se retire puis ce fut au tour de Mr Ford. Il ressaisit Jeremy par les deux bras pour le rattacher sur le ventre sur le sling pour plusieurs minutes encore.

Une forte odeur de sueur et de sexe règne dans cette pièce.

Enfin, Mr Di Marco se place devant Jeremy. Jeremy lui gobe entièrement la bite. Il reste un très court instant lui chatouillant le fond du palais. Mr Di Marco vient se placer derrière Jeremy et le pénètre virilement, fait deux allers-retours. Il se retire. Il va se coucher sur le matelas en latex légèrement humide de sueur de Billy et Mr Ford. Il ordonne à Mr Ford d’aller chercher la surprise de Jeremy. Un petit moment après, Mr Ford vient sous la lumière avec Mr Washington. Mr Washington porte un harnais de cuir. Mr Washington prend le flacon de lubrifiant et s’en étale une bonne rasade de gel sur son sexe d’environ vingt-deux ou vingt-trois centimètres de longueur monté sur deux énormes couilles rasées de la taille de deux beaux abricots.

Il s’accroupit et vient tenir compagnie à Mr Di Marco dans les entrailles, qui ne sont plus vierges désormais. Chacun leur tour, Mr Di Marco et Mr Washington restent immobiles dans le cul dégoulinant de foutre. Au bout de très longues minutes, Mr Di Marco largue sa semence pendant que Mr Washington bouge du bassin. Il reste jusqu’à ce que Mr Washington expulse, lui aussi son jus pour retapisser, pour la neuvième couche, les entrailles de Jeremy.

Mr Washington se retire tout doucement pour ne pas que les doses ne viennent pas polluer le sol immaculé de cette pièce. Mr Di Marco se retire aussi tout doucement, fait remettre Jeremy sur le sling sur le dos. Mr Di Marco se relève et lui introduit un butt-plug de bonne taille qui lui servit de bouchon. Il lui annonce qu’il ne devra pas le quitter pas avant d’être rentré chez lui.

Jason lui remet le bandeau sur les yeux. Il le rhabille. Il lui prend le bras et sort de cette pièce. Jason le libère du bandeau sur la cour centrale.

Jeremy regarde sa montre. Il est trois heures du matin. Il va réveiller le gardien, qui ne dormait pas vraiment. Ce gardien a installé en cachette de Mr Di Marco une webcam dans l’angle du plafond et du mur pour ne pas en perdre une miette. Jeremy récupère sa valise et part définitivement de ce Centre.

25 mars 2013

Dernière nuit d'internat

Deux nuits avant la fin de l’année scolaire, je décide de relire le petit mot qui m’a été laissé sous ma porte de chambre, il y a une bonne dizaine de jours environ.

Ce mot dit :
« Monsieur NICOLAS, J’ai assisté à la nuit de Théo. Depuis cette fameuse nuit, je rêve de subir le même sort que lui. Je suis encore jeune, mais au fond de moi, j’aimerais devenir, à mon tour, la salope de plusieurs mecs.
Je rêve aussi de faire l’amour avec un homme plus mûr que moi qui sache bien me faire grimper aux rideaux.
Pourriez-vous, je vous en supplie, m’organiser ça ?
Merci beaucoup Monsieur NICOLAS.

(Signé : Aurélien) »

À la relecture de ce mot, je me dis qu’Aurélien ne peut pas avoir écris ces mots-là puisqu’il est si réservé durant l’année. Et pourtant, c’est bel et bien lui qui les a écrit parce que j’ai reconnu son écriture.

J’accepte alors d’accéder à sa demande si particulière. Je me pose l’épineuse question pour savoir qui est beaucoup plus âgé que lui dans ce lycée. Je dois trouver rapidement cette personne qui accepterait de satisfaire sexuellement Aurélien au cours de la nuit qui suivait et qui serait, de surcroît, la dernière nuit de l’année avant les grandes vacances.

Après réflexion, je trouve. C’est François, l’ouvrier d’entretien de ce lycée. Il a la trentaine bien tassée. Très peu de personnes dans ce lycée savent que François est gay. Pour l’administration, il est hétéro et était logé chez une amie au courant de sa sexualité. Par ces premières chaleurs estivales, François travaille presque tout nu sous sa côte bleue. J’ai remarqué très récemment, lors d’une intervention pour changer un néon d’un couloir, qu’il a un quartier de lune et une étoile entre les deux omoplates. Je l’appelle sur son poste. Je lui explique que j’ai besoin de lui en soirée pour un motif non officiel.

Le dernier soir, au réfectoire de l’établissement, j’aperçois Aurélien à une table un peu à l’écart. Je prends, moi aussi, mes dîners dans cette salle spécialement réservée aux internes. À un certain moment du dîner, je me dirige en direction d’Aurélien et m’assois à coté de lui. Je lui demande pourquoi il n’est pas avec les autres. Il me répond que c’est la dernière nuit et qu’à la rentrée, il ne verrait plus son camarade de chambre avec qui il se sent bien. Il n’a pas pu avouer à Théo au cours de l’année qu’il est tombé amoureux secrètement de lui … et de sa salopitude©.

Je demande à Aurélien s’il se souvient du petit mot qu’il m’a glissé sous ma porte il y a dix jours environ. Il me répond par un « Oui ». Je lui fais comprendre discrètement que je me suis occupé de sa demande et que son tour arrive très vite. Ce n’est plus qu’une question d’heures. Je ne lui dévoile que les grandes lignes du déroulement. Je lui dit également que je me suis chargé de sa demande spéciale et que ce sera sa surprise finale. Cette surprise sera mise au jour une fois la « première partie » exécutée. Aussitôt, le visage d’Aurélien s’illumine de bonheur.

Vient le moment de débarrasser les tables. Nous devons simplement empiler la vaisselle sale en bout de table pour faciliter le personnel des cuisines le lendemain matin. Nous montons chacun dans nos chambres respectives. Pendant que nous dînons, François est monté et attend dans ma chambre puisqu’il a un trousseau de clés dont un passe pour pouvoir accéder à presque toutes les portes. Il s’est mit à l’aise sur mon lit.

Le moment solennel du coucher pointe son nez. Je fais un tour d’inspection sur tout l’étage pour vérifier que tout le monde est en train de se coucher. Je reviens à ma chambre. Je me déshabille entièrement et m’assois quelques minutes sur mon lit. Je veux écouter si ces internes se couchent vraiment. François est nu aussi. Nous faisons que de nous caresser tendrement.

Au bout de vingt minutes environ, je me relève pour aller à l’armoire. J’ouvre la porte de l’armoire, puis le cadenas de la cache secrète où se trouvent mes accessoires. Je sors de nouveau le boxer-gode en latex épais que j’avais l’autre soir pour la « Soirée Théo ». J’en sors aussi le flacon de gel lubrifiant. J’ai changé de gel lubrifiant depuis Théo. Celui-ci a des propriétés lubrificatrices de plus longue durée. Je presse le flacon de gel sur le gode intérieur du boxer. J’enfile aussitôt ce boxer en latex. Comme pour la dernière fois, je m’assure que j’avais bien enfoncé ce gode dans mon cul.

Depuis la dernière soirée, j’ai acheté un gode à deux têtes de couleur chair d’une trentaine de centimètres environ mais aussi un gode épée de couleur noire. J’ai bricolé une ceinture sur laquelle j’ai attaché deux anneaux élastiques. Ces anneaux sont destinés à faire tenir des accessoires sur cette ceinture. Cette ceinture, donc, ressemble étrangement aux ceintures que portent les policiers américains. La petite sacoche normalement destinée aux menottes sert à l’emplacement du flacon de gel lubrifiant. Je passe cette ceinture autour de la taille. Je place les deux godes dans chacun des anneaux à gauche sur la ceinture et le gel dans la sacoche derrière et à droite. Contrairement à la précédente fois, je ne prends ni short, ni T-shirt amples. Je sors de ma chambre, vêtu du boxer latex, de la ceinture et de mes chaussettes. Je prie François d’attendre encore un peu. Je lui juste lèche son anus quelques secondes pour le faire patienter. Je ferme la porte en laissant François seul.

Je m’avance sans bruit et sans allumer les lumières. Je chemine vers la chambre de Karim et Benoît. J’ouvre leur porte et je les découvre en train de s’embrasser et d’une main, ils se branlent mutuellement. Je les prie de s’arrêter leurs bécots et de me suivre nus dans le couloir. Ils ont tout de suite saisi le but de ma visite. Ils sortent en silence dans le couloir. Nous reprenons tous les trois la progression vers la chambre de Farid et Félix. J’entre et je vois Farid le nez entre les fesses de Félix. Je les stoppe net. Ils se retournent et, en me voyant, harnaché de la sorte, Ils ont tout de suite deviné pourquoi je les ai interrompus. Ils se lèvent nus et vont dans le couloir rejoindre Benoît et Karim qui ont repris de plus belle leurs bécotages. Je les prie sèchement de stopper.

Nous cinq, continuons de marcher sans aucun bruit vers la chambre de Théo et d’Aurélien.

Arrivés devant la porte, nous stoppons. Sans que j’aie eu à leur dire, Félix branle Karim. Karim branle Benoît. Benoît branle Farid. Je prends l’initiative de branler Félix puis nous entrons dans cette chambre.

Théo ne réussit pas trouver le sommeil. Il tourne sur son lit. Il nous voit nus derrière lui. Il dresse son cul gourmand en l’air pensant que nous sommes venus pour lui. Par contre, Aurélien, lui, dort très bien. Il est couché sur le ventre sur son lit. Je m’approche en silence vers Théo. Je lui chuchote à l’oreille que nous venons pour Aurélien. Je lui explique qu’il m’a demandé, il y a quelques jours, qu’on s’occupe de son petit cul vierge et duveteux. Je propose alors à Théo de se lever et d’aller rejoindre Aurélien sur son lit et de commencer à le mettre en condition en lui faisant un bon léchage de son anus. Théo accepte très volontiers cette proposition très alléchante. Théo se place derrière Aurélien et caresse tendrement les épaules, les omoplates, le dos, le bassin et, pour terminer, ses fesses. Théo approche sa langue experte tout près de l’anus d’Aurélien. Théo s’applique si bien qu’Aurélien semble prendre du plaisir à ce que Théo lui fait car nous commençons à entendre des petits gémissements de plaisir venir d’Aurélien. Théo alterne crachats de salive et léchage de son trou de salope.

Théo a une idée en voyant que je possède un double gode à la ceinture. Il a une irrésistible envie de jouer avec. Théo, la petite salope, fixe cet accessoire d’une quarantaine de centimètres qui pend à ma ceinture. Je saisis ce qu’il veut. Théo fait se lever et fait plier Aurélien en deux au dessus de son lit. Théo vient vers moi et caresse le double gode. Il me lance un regard vicieux et très intéressé pour m’emprunter cette chose. Il le décroche de l’anneau en caoutchouc de ma ceinture. Je prends aussitôt le flacon de gel lubrifiant que j’ai dans la petite sacoche dans mon dos. J’en presse une belle grosse noix sur une des deux extrémités. Théo l’étale grossièrement sur une moitié. Il reprend un court instant une lèche du trou d’Aurélien. Théo, de deux doigts, écarte les deux lobes. Il y pointe le bout du gode puis il y pousse lentement mais sûrement jusqu’à la moitié dans son cul duveteux. Il y reste un instant. Ensuite, Théo fait faire à ce gode quelques mouvements d’allers-retours. Théo me fait un clin d’œil et se penche, lui aussi, en avant en tournant le dos à Aurélien. Je décide alors de me déplacer auprès de Théo avec le flacon de gel. Je presse une autre belle noix de gel sur l’autre extrémité. Théo en étale sur l’autre moitié du gode. Il se l’enfonce tout seul d’un seul trait comme assoiffé de recevoir ce gode. Il s’y enfonce si bien qu’à un moment donné on ne voit plus le double gode. Les deux paires de fesses se rejoignent. Théo commence à remuer du bassin et Aurélien aime très bien ça.

Les dix-sept centimètres de Théo durcissent. On peut y voir perler son gland. Théo enleve en vitesse le double gode de son cul et de celui d’Aurélien. Il glisse d’un seul coup sa bite entière dans les entrailles bien lubrifiées de son colocataire. Théo fait quelques mouvements et lâche prise très rapidement. Il se retire doucement une fois fini. Aurélien aime trop bien et en veut encore. Aurélien désigne Farid d’un doigt et lui faisait signe de venir avec lui. Il lui fait s’allonger sur le dos sur le lit. Aurélien s’enselle sur les vingt-deux centimètres épais de cet arabe. C’est Aurélien qui, lui-même, contrôle la pénétration. On voit bien qu’il aime se faire enculer. Il cache bien son jeu le discret Aurélien. Il ne laisse pas paraître durant l’année qu’il est, tout comme Théo, une vraie petite salope au lit. Aurélien commence à dessiner des cercles avec son bassin tout en descendant et montant sur cette grosse tige. Je suis surpris et estomaqué, comme le reste de cet internat, de voir la facilité déconcertante d’Aurélien de se prendre de gros calibres dans son cul. Toujours ensellé sur Farid, il désigne ensuite Karim du doigt. Karim s’approche avec ses dix-huit centimètres en avant de la rondelle déjà encombré par Farid. Karim pousse facilement et entièrement à l’intérieur. Les deux arabes stoppent une petite minute puis reprennent leurs mouvements. Ils donnent de concert leurs coups de grâce. Ils déposent en même temps leurs abondantes doses de jus au fond du rectum. Karim se retire puis c’est au tour de Farid de se retirer. Pour Farid, il lui faut qu’il reste dedans et faire basculer Aurélien sur le dos afin que les doses ne prennent pas la poudre d’escampette au dehors. Aurélien sur le dos, Farid se retire très lentement. Aurélien s’introduit un doigt pour se délecter d’un extrait de toutes ces doses de bon jus qu’il a en lui. Il semble aimer beau le goût du sperme tout chaud. Manifestement, il en veut encore davantage.

Il montre maintenant Benoît du doigt. Benoît, ses dix-neuf centimètres imberbes en avant, s’avance vers la cible. Aurélien est là, sur son lit, les jambes en l’air. Benoît pointe l’œillet et s’enfonce facilement comme dans du beurre.

Benoît reste dans ce trou humide plusieurs minutes puis tourne doucement en faisant de larges cercles et d’avant en arrière. Il se retire, puis, sans crier « gare », il renfonce son pieu de plus belle dans le trou d’Aurélien. Benoît répète ce mouvement plusieurs fois de suite avec vigueur. Il sent que le point de non-retour avance à grands pas. Dans un dernier coup de reins, il pénètre Aurélien virilement et inonde ce rectum assoiffé de jus crémeux jusqu’à la dernière goutte.

Théo, pendant que Benoît remplit d’une bonne dose de crème, se ressaisit du double gode. Il se frotte contre son cul avec ce gode d’une manière sans équivoque. Il veut de nouveau se l’enfoncer dans son cul tout lisse pour pouvoir se vider les couilles. Théo vient vers moi, le double gode à la main. Je prends alors le flacon de gel dans la sacoche derrière moi. J’en presse une bonne dose sur le gode. Théo l’étale grossièrement sur l’engin de plaisir. Il me tend aussi sa main pour une dose plus modeste de gel. Il se l’étale sur son anus. Il s’allonge sur le dos sur son lit et s’enfile sans problème la moitié de ce double gode. Il réclame Aurélien pour qu’il s’enfonce l’autre bout. Aurélien s’exécute sans broncher. Aurélien n’a aucun souci pour enfoncer cette autre moitié puisque les autres gars lui ont ouvert magnifiquement le conduit. Théo ne bouge pas. Il ordonne à Aurélien de faire lui-même les mouvements de bassin pour que Théo atteigne la jouissance extrême. Nous n’attendons plus très longtemps. Théo, dans une nouvelle montée de jouissance, inonde ses abdos et ses pecs d’une abondante et onctueuse crème blanche. Je décide de me lever et de lécher cette crème. Je n’avale pas cette crème. Je m’approche de la bouche d’Aurélien jusqu’à ce que nos deux bouches ne fassent plus qu’une. Je lui fais couler dans sa gorge tout ce liquide que j’ai dans ma bouche. Aurélien se lèche les lèvres.

Aurélien se replie au-dessus de son lit et désigne du doigt le dernier. C’est le tour du beau black, Félix. Il se paluche ses vingt-cinq épais centimètres depuis le début. Il lui était interdit de juter. Juste une perle est tolérée. C’est très difficile pour Félix de se maintenir en forme sans exploser. Il a devant les yeux un spectacle si excitant et si chaud. Félix s’avance d’un pas pressant vers l’objet si attendu depuis un bon moment. Les vingt-cinq centimètres s’approchaient de ce trou qui commençait à dégouliner des jus des trois autres. Félix n’eut aucun mal à s’enfoncer entièrement dans le cul duveteux d’Aurélien. Félix lui donne des claques sur les fesses pour encourager Aurélien à lui donner son cul.

Félix commence à faire des ronds avec son bassin. Ensuite, il se retire, se renfonce, ressort, … Félix d’un seul coup de reins viril perce la rondelle déjà bien ouverte et se vide entièrement de sa semence bien chaude. Félix attend patiemment l’ultime goutte pour se retirer. Je dis alors à Aurélien qu’il a mérité le droit de bien nettoyer la bite qu’il vient de recevoir en lui. Il s’affaire à le nettoyer méticuleusement. Je remercie donc Farid, Karim, Benoit et Félix d’avoir participé à cette orgie. Je les prie de regagner leurs chambres respectives. Aurélien me demande alors où est sa surprise de fin d’année. Je lui réponds que le moment arrive très vite et qu'il lui doit être très patient.

J’ordonne à Aurélien de se coucher sur le dos sur son lit. Je m’avance vers lui et je me saisis d’un autre accessoire que j’avais accroché à ma ceinture spéciale. C’est un gode épée de vingt-trois bons centimètres avec une poignée. Ce gode a une petite particularité. Il y a un rétrécissement sur ce gode juste avant la poignée pour pouvoir le garder inséré et de pouvoir se déplacer sans être obligé de le tenir.

Aurélien, les cuisses en l’air, écarte ses fesses toutes mouillées de sueur. J’insère le gode entièrement et facilement dans son cul et le laisse enfoncé. Au bout de quelques minutes, Je ressors ce gode et le re-rentre jusqu’à ce qu’il tienne tout seul.

Le moment venu, je vais contrôler que les autres se soient bien endormis pour emmener Aurélien dans ma chambre où attend patiemment François. Je n’entends aucun bruit. C’est le signal d’emmener Aurélien avec le gode inséré dans son cul.

Je fais lever doucement Aurélien. Je remercie Théo à son tour pour avoir participé à cette orgie et Aurélien et moi, nous dirigeons vers la porte. Nous avançons tous les deux dans ce couloir sans bruit. À mi-chemin, je donne une petite pichenette sur la poignée. Il me confie à voix basse qu’il se sent bien avec ce gode épée dans son cul. Il est impatient de recevoir sa surprise malgré ce gode qui lui bouche magnifiquement les entrailles gluantes de spermes.

Nous arrivons devant ma porte de chambre. J’entrouvre la porte et regarde si François est prêt à servir. Visiblement, il l’est. Il s’était mis un anneau en cuir pour maintenir son érection au maximum.

Je fais entrer Aurélien. Je n’allume pas la lumière. Seule la petite lampe de chevet éclaire la chambre.

François est là dans la lueur de la lampe de chevet, allongé sur mon lit, se paluchant délicatement son sexe bien durci.

J’annonce à Aurélien que François est sa surprise de fin d’année. Les yeux d’Aurélien brillent d’excitation et a un large sourire aux lèvres. Je donne le départ des festivités à Aurélien. Il s’approche de la bouche de François. Ils s’embrassent longuement. Aurélien descend plus bas et s’attarde sur les tétons devenus sensibles de son cadeau. François arbore une toison pectorale uniforme et bien entretenue. François gémit de plaisir. De ses deux mains, François saisit la tête d’Aurélien, l’amène jusqu’à ce qu’Aurélien ai sa bite sous son nez et le force de le sucer. Aurélien toujours le gode bien coincé dans son cul pour emprisonner toutes les doses d’amours bestiales qu’il a en lui.

Je stoppe Aurélien dans son élan de succion. Je le fais s’allonger sur le dos. Je lui ordonne de bien écarter ses cuisses. Je donne une dernière pichenette sur le manche du gode qui lui bouche le trou depuis un bon quart d’heure. Je décide alors d’enlever ce gode en prenant garde à ne rien laisser échapper de ce milk-shake que je soupçonne être délicieux à souhait.

Aurélien libéré, il chevauche avec vigueur ce pieu épais. Il fait des ronds entre deux montées et descentes le long de cet engin de plaisir qu’offre François. François agrippe et appuie sur les épaules d’Aurélien pour l’obliger à s’empaler à fond car il sent le coup partir. Une première salve de liquide chaud inonde Aurélien. Je renfonce l’épée de latex dans son orifice anal pour plusieurs minutes. François lui ordonne de lui lécher son trou. Pendant ce temps-là, je tiens, tourne, faisais vibrer le gode manrammer. François cligne de l’œil et se lève. Il est de nouveau dur et excité. Aurélien s’allonge sur le bord du lit. Je retire à nouveau le gode et François le pénétre par derrière avec vigueur en lui tenant fermement le bassin. Aurélien est aux anges. François lui claque le cul. La seconde salve ne se fait plus attendre. François a des spasmes d’extase extrême. Il inonde le fondement déjà bien mouillé d’Aurélien. Il se retire tout doucement.

Aurélien veut me sucer. Je ne suis pas contre l’idée mais je lui explique qu’il doit subir un ultime truc avant de mériter de me sucer. Je me dirige vers mon casier secret, j’en ai extrait un plug de bonne taille et je demande ensuite à François de lui enfoncer ce plug dans le trou d’Aurélien en lui disant qu’il est obligé de le garder dans son cul jusqu’au lendemain soir après les cours pour accéder à la possibilité de me sucer.

Il repart ainsi, le cul bouché par le plug, finir sa nuit dans sa chambre à l’autre bout du couloir.

François repart, lui aussi de son coté. Je me couche alors avec le boxer latex sur moi.

Le lendemain matin, sur les coups de sept heures moins le quart, il se réveille, se leve, s’habille, va à la salle de bains pour faire sa toilette. Puis, il descend au réfectoire pour l’ultime petit-déjeuner de l’année. Tout ce petit monde a vidé les armoires et préparé leurs valises près de leurs chambres.

Vient l’heure de la dernière journée de cours. Aurélien a toujours le plug en lui. Je le sais parce que j’ai missionné Théo pour me dire si Aurélien a gardé le plug le reste de la nuit.

Après le repas du midi à la cantine, Aurélien accompagné de Karim revient me voir pour lui accorder une dernière chose. Il me supplie à genoux pour se refaire défoncer la rondelle par Karim. Je ne peux qu’accéder à sa demande. Nous montons tous les trois dans ma chambre au premier étage de l’internat. Les stores sont baissés entièrement et les lames tournées de façon à laisser passer peu de lumière de jour.

Aurélien et Karim se désapent en vitesse. Aurélien s’allonge sur mon lit, le cul en l’air et écartant les fesses. Je constate que le plug est toujours en place. Je retire très lentement le plug et l’offre à sa bouche. Je décide de lécher le trou ouvert et d’une main, je branle Karim. Il commence à perler. Karim peut dès maintenant pénétrer ses dix-huit centimètres bien épais et circoncis. Karim pose son gland luisant et pousse virilement d’un coup l’anus juvénile à peine remis du défilé de la nuit précédente. Karim donne des coups de reins bestials. Aurélien geint dans mon polochon pour étouffer ses cris d’un immense plaisir. Les fesses d’Aurélien claquent sous les assauts de Karim. D’un coup sans prévenir, Karim lâche les vannes et remplit le conduit anal de sa petite salope. Karim ressort un court instant et se remet en selle pour pousser davantage au plus profond sa production. Je me lève de mon fauteuil de voyeur et va chercher le gode à poignée dans l’armoire et lui enfonce dans le trou. Pendant que je rejoue de l’épée dans le cul, Karim se rhabille et quitte la chambre. Après quelques longues minutes d’agréables supplices, Je retire le gode épée et le remplace par le plug. Aurélien se rhabille aussi et me remercie de lui avoir permis de se faire inséminer par le beau Karim. Aurélien me confirme qu’il va revenir sitôt la sonnerie de fin du dernier cours afin de venir dans ma chambre pour se sustenter de mon jus d’amour et lui retirer le plug de son cul de salope.

L’après-midi de cours se passe bien. Je me dis au fond de moi qu’Aurélien doit se trémousser sur sa chaise en attendant le moment où je vais lui retirer le plug. À la fin de l’après-midi, sur les coups de dix-sept heures moins cinq, quelqu’un frappait à ma porte. Je vais ouvrir. C’est Félix, le grand black. Une belle bosse se forme dans son pantalon. Je l’informe qu’Aurélien va revenir dès la sonnerie de fin de cours pour se faire retirer le plug qu’il a dans le cul et qui lui bouche le conduit depuis plus de douze heures d’affilée.

Félix est très content de cette nouvelle. Il va pouvoir se faire plaisir avec Aurélien. Félix se déshabille. Il porte un jockstrap en coton blanc qui lui moule très bien le paquet. J’ai très envie de lui huiler le corps. Je prends le flacon d’huile pour le corps dans mon armoire. Je fais s’allonger Félix sur mon lit et commence à enduire le corps d'ébène de Félix. Sa peau brille magnifiquement bien.

La sonnerie de dix-sept heures retentit. Très peu de temps après, quelqu’un frappe à la porte de ma chambre. Je suis si occupé avec Félix que je n’entends pas la porte par deux fois. Je me décide alors d’aller ouvrir. Je trouve Aurélien grattant du pied. Il entre et voit Félix étendu sur mon lit nu comme un ver. Félix n’est pas tellement prévu qu’il revienne. Aurélien quitte à la hâte ses habits. Aurélien me demande alors si je peux lui enlever le plug. Je lui propose de patienter encore un peu. Je le questionne sur sa journée avec le plug qui emprisonne toutes ces doses de la nuit. Il me répond qu’il se sent hyper bien. Il ajoute, en voyait Félix au garde à vous, qu’il veut se faire repeindre le conduit encore une fois par ce Félix. Il semble oublier le pourquoi il est venu à l’origine. Il s’approche du cul noir. De ses mains, il écarte les deux lobes et commence à lécher ce trou qui s’offre à lui.

Je ressors de mon armoire le gode à poignée dont je me suis servi pendant la nuit. Je m’approche de la rondelle d’Aurélien, lui enlève le plug et le remplace par l’accessoire que j’ai en main. Je le fais coulisser entièrement et virilement. Aurélien ne dit absolument rien. Il geint de plaisir même. Je le sens prêt. Il suce un court instant Félix puis, en deux temps trois mouvements, Aurélien retire lui-même son gode à poignée et s’empale à fond sur le pieu d’ébène. Puis Félix veut prendre Aurélien par derrière dans la position de la levrette pour pouvoir optimiser au maximum sa pénétration. Félix lui intime l’ordre de se lever devant lui et de bien se pencher en avant. Aurélien s’exécute docilement. Félix fait durer le plaisir en frappant avec son sexe sur chaque fesse duveteuse. Aurélien n’en peut plus d’attendre. Il supplie son supplicier de le sodomiser à fond. Félix pose son gland et d’un coup, il le pénètre entièrement et alterne des coups lents et rapides.

Toute cette journée, moi aussi, j’ai le cul comblé. Je porte le boxer gode depuis la nuit précédente pour mater la soirée de Théo, puis celle d’Aurélien.

Félix lui lime le cul si bien qu’il ne sent pas venir et lui explose abondamment dans ses entrailles. Il ne se retire pas aussitôt. Il attend bien sa dernière cartouche de balle à blanc et se retire très doucement. Félix lui remet le plug dans son cul. Il se présente maintenant devant la bouche d’Aurélien pour bien qu’il le nettoie.

Félix se rhabille et sort de ma chambre.

Aurélien s’agenouille devant moi. Je bande dans mon boxer en latex. Je le supplie en haussant le ton de me dire ce qu’il veut faire maintenant. Je lui fais répéter plusieurs fois.

Je lui sors alors mon seize centimètres glabre de son écrin de latex. Aurélien frôle de sa langue experte mon gland. Une perle se forme. De mes mains, j’appuie sur l’arrière de sa tête pour le forcer à l’emboucher un peu davantage. Il s’applique si bien, le bougre. Il arrive de me la prendre entièrement jusqu’à la garde, et ce, par deux ou trois fois.

Je ne peux plus me retenir très longtemps. Il me fait beaucoup de bien. C’est alors que je lui explose dans sa bouche. Il n’essaie pas de recracher ce que je viens de lui offrir. Il le laisse couler au fond de sa gorge. Une fois qu’il a avalé, il me dit que c’est très bon et qu’il a aimé me sucer.

Aurélien se retourne et me présente son cul. Je lui dis alors qu’il peut garder le plug pour lui, que c’est un cadeau. Il m’embrasse sur la bouche pour me remercier de ce joli présent. Il se rhabille et sort de ma chambre. Il récupère ses valises dans la chambre et quitte cet endroit qu’il a occupé toute une année scolaire avec son colocataire Théo. L’année est bien finie et il faut bien quitter cet établissement.