Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

27 sept. 2019

Dans la cité

Un soir tard dans la nuit, je suis sur le chemin du retour d'une soirée chez des amis. J'ai l'esprit un peu embrumé par les vapeurs d'alcool de la soirée. L'éclairage public est éteint depuis un bout de temps. Je ne suis pas du tout rassuré.

Le chemin que je dois prendre doit me faire traverser est une cité très chaude où quelques tam-tams africains se font entendre ici et là. Un timide clair de lune éclaire cette cité.

Alors que je passe sous un porche d'immeuble, j'entends une voix résonnante et grave à me figer le sang. Elle est toute près de moi. Au lieu de déguerpir à toute vitesse, je reste sur place. Cette voix me demande si j'ai envie de m'amuser un peu.

Je réponds à cette voix que j’accepte bien volontiers. C'est alors que je sens une main ferme attraper la mienne pour aller toucher le devant d'un pantalon en cuir noir. Je n'arrive pas du tout à voir qui me parle. La seule chose que je peux à peine distinguer dans cette noirceur, c'est le blanc de ses yeux et de ses dents. Cette voix me demande si j'ai déjà vu un truc comme ça en me faisant tâter cette bosse protubérante de façon virile. Je lui répond que non. Il dégrafe les boutons pression d'une poche amovible de son pantalon et libère un truc si gros que je manque de m'évanouir. J'ouvre la bouche au max que je peux. Je n'arrive même pas à avaler son gland. Il me propose un autre truc. Il me force à baisser mon pantalon et à lui donner mon cul. J'ai aucune idée de sa réaction si je le déçois, je fais sans protester.

Il me fait plier en deux, m'attrape les fesses et me lèche l'anus. Puis, il se relève, prend une dosette grand format de gel lubrifiant et s'en enduit le gland et sur mon trou avant de s'introduire dedans. Il porte un cockring épais en métal. Je n'ose à peine crier, pour éviter de réveiller la cité, tellement il me fait mal avec son engin veineux étranglé par l'anneau. Il met sa grande main devant ma bouche pour étouffer mes cris de douleur. Je pleure de douleur. Il accélère le mouvement. Son pubis claque sur mes fesses. La douleur laisse place au plaisir petit à petit. Mon trou se détend plus facilement et accepte bien le diamètre de cette tige en action. Une bonne dizaine de minutes de levrette, il s'allonge sur le sol et me fait m'empaler à fond et que je prenne la relève pour faire travailler mon cul un bon quart d'heure encore. Il me fait remettre en levrette, mais là, il me fait plier davantage le dos. Au bout de cinq minutes, il arrête ses mouvements et aussitôt me remplit de sa semence crémeuse et tiède. Il se sépare de moi. Il se rhabille. Il me laisse là en plan, le cul en l'air, mon jean sur les chevilles.

Je me rhabille le cul bien humide. J'ai beaucoup de mal à marcher tellement j'ai mal au cul. Je n'ai même pas eu le temps de demander le prénom de ce mec en me disant si je suis le seul blanc passant par ce passage qu'il baise.

2 sept. 2019

Jean-Michel et Guillaume à l'hôtel

En plein coup de feu, Jean-Michel ne sait plus où donner de tête. Son téléphone portable n'arrête pas de vibrer dans sa poche de pantalon. C'est son Guillaume qui l'appelle. Les mains enfin libérées des assiettes, un peu exténué et agacé, il rappelle Guillaume. Guillaume lui dit qu'il est sur Paris et qu'il a une très grosse envie de le voir pour se soulager dans ses fesses très rapidement. Jean-Michel lui répond qu'il est très occupé au boulot et qu'il le rejoindra après son service.

Après son service, Jean-Michel sort du restaurant et file tout droit rejoindre Guillaume à l'hôtel où il a l'habitude de loger quand il est sur Paris. Comme Guillaume prend la même chambre, Jean-Michel monte direct sans passer par la Réception. Jean-Michel monte les escaliers 4 à 4. Il longe le long couloir et arrive à la porte de Guillaume. Il entre sans frapper. Il découvre Guillaume tout nu en train de jouer avec ses tétons durcis par le désir brûlant, de se caresser ses pecs et ses abdos avec une de ses mains. De l'autre main, Guillaume est en train de se caresser son gros sexe. Jean-Michel se déshabille entièrement et s'allonge a coté de Guillaume.

Sur le lit, Guillaume bande de plus en plus. Il est excité par l'arrivée de Jean-Michel à coté de lui.

Jean-Michel se penche en avant, se rapproche de la bite de Guillaume. Il laisse tomber de la salive sur le gland de Guillaume avant de le sucer en s'appliquant du mieux qu'il peut. Guillaume attrape l'arrière de la tête de Jean-Michel, comme pour forcer la fellation. Guillaume fait mettre Jean-Michel en position dite du « 69 ».

Pendant que Jean-Michel est occupé à sucer cette grosse bite, Guillaume cherche avec ses doigts l'anus épilé, déjà bien humide d'excitation, de Jean-Michel. Guillaume crache sur le trou de Jean-Michel et étale sa salive.

Le trou de Jean-Michel s'ouvre un petit peu pour dire à Guillaume qu'il est prêt à s'ouvrir davantage. Guillaume claque la fesse de Jean-Michel avec le plat de la main. Jean-Michel se met à califourchon sur Guillaume et s’assoit sur la grosse tige raide de Guillaume. Jean-Michel s'empale tout entier. Jean-Michel tourne du bassin, puis, monte et descend, pendant un bon quart d'heure, le long de cette grosse tige qui lui fouille le cul. Jean-Michel lui dit qu'il aime ça de se faire baiser comme ça. Au bout d'un quart d'heure, Guillaume demande à Jean-Michel de se relever et de se mettre à quatre pattes et à cambrer les reins. Guillaume attrape le bassin de Jean-Michel, présente sa bite à l'anus déjà bien ouvert de Jean-Michel. Guillaume pénètre Jean-Michel avec beaucoup de vigueur. Très peu de temps passe et Guillaume, ne pouvant plus se retenir, insère de toute sa longueur et jouit tout son jus au fond du cul de Jean-Michel. Après avoir bien joui, Guillaume se retire du trou et s'endort en chien de fusil sur lit. Jean-Michel est satisfait de ce que Guillaume a fait. Jean-Michel reste un peu sur le lit et attend que son sphincter anal se referme et emprisonner le Graal à l'intérieur de lui.

Jean-Michel se rhabille et sort de la chambre. Jean-Michel rentre chez lui en pleine forme, revigoré. Il a le sourire jusqu'aux oreilles et il est très heureux.