Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

30 déc. 2022

Dépucelage de David

David est un très jeune garçon pas encore pré-pubère qui n’a pas connu ses propres parents. Il est fils unique. Il est élevé par sa grand-mère qui possède plusieurs hôtels-restaurants. Cette grand-mère lui cède presque tout. David vit dans une des chambres d’hôtel.

Un jour, il fait connaissance avec Farid, un serveur du restaurant. Farid est plus âgé que David. Ils sympathisent, jouent, prennent des douches ensemble. Au fil du temps, Farid et David tissent des liens de plus en plus forts, si forts qu’il tombent amoureux l’un de l’autre. Ils jouent à des jeux de “touche-pipi” tous les deux comme deux enfants explorant leurs sentiments sexuels.

Il arrive à David de traverser l’hôtel en très petite tenue pour rejoindre Farid dans son lit les soirs d’orages pour se faire consoler.

Peu de temps plus tard, alors que Farid est sous la douche, David est dans la chambre. Il repère sur la table des revues porno gay très explicites. Farid sort de la douche nu avec sa serviette autour du cou. Il stoppe net et surprend David en train de regarder ces revues. David est émoustillé par ce qu’il voit sur ses images. David demande à Farid s’il veut être sa première fois avec lui. Farid est partant. Farid demande s'il veut faire ça maintenant. David acquiesce. Farid force la bouche de David qui se met à le sucer. David a un peu de mal à sucer tellement Farid est bien outillé. Pendant que David suce, Farid caresse les fesses toutes douces de David. Farid le fait mettre debout et lui demande d’écarter les jambes pour ouvrir l’orifice anal encore vierge de toute pénétration. Farid se penche, lèche et doigte avec attention le jeune anus afin de préparer au forçage qui va suivre. David ne peut plus attendre très longtemps. Farid redemande à David la confirmation de sa demande de dépucelage.

Farid rassure David comme un grand frère. Il va prendre grand soin de lui. Il va le pénétrer en douceur avec ses vingt-quatre centimètres épais, veineux et circoncis enfouis dans un épais buisson frisé. N’ayant pas de lubrifiant classique, Farid décide d’utiliser de la vaseline. Il va chercher le tube dans son armoire de toilette à son étroite salle de bains. Il revient avec le tube. Farid a une gaule d’enfer. Il fait mettre David sur le dos sur le canapé, les jambes en l’air. Farid crache de la salive sur sa bite. Il presse le tube de vaseline et en récupère une grosse noix, qu’il étale en massant, avec sa main gauche, le petit anus vierge pour qu’il s’ouvre. De sa main droite, il se masturbe.

L’instant fatidique arrive à grand pas. David croit être prêt. Il le fait savoir à Farid. Farid présente sa grosse tige à l’anus. Il pose son gland et commence à pousser hyper doucement. L’anus de David sous la pression de Farid cause de vives douleurs avec des sensations de déchirements. L'œillet refuse de s'ouvrir pour accepter le gros calibre. Farid insiste un peu en massant avec deux doigts le jeune sphincter. Farid recrache de sa salive et fait pénétrer un doigt en jouant avec l’anus. Au bout d’un moment, l’anus semble se détendre de mieux en mieux. Farid tente à nouveau de pénétrer David. Farid pousse son gland. Centimètres après centimètres, Farid demande si David va bien. David répond qu’il va bien. Il lui dit que le début est un peu douloureux.

Farid continue régulièrement jusqu’à ce que les vingt-quatre centimètres disparaissent dans le conduit anal. Arrivé au bout, Farid reste un moment pour finir d’ouvrir. David dit qu’il se sent mieux et qu’il a beaucoup moins mal. Farid décide alors d’aller plus loin dans le dépucelage anal. Il demande à David s’il peut commencer la baise proprement dite. Alors, Farid commence à faire coulisser son gros manche épais à l’intérieur. Farid essaie de se retenir du mieux qu’il peut. Farid est très excité du fait que l’anneau sphinterien enserre bien son sexe, ce qui le fait jouir rapidement.

Le point de non-retour est atteint. Farid expulse tout son sperme à l’intérieur de l’intestin de David. Il y reste jusqu'à la dernière goutte et se retire doucement. Farid veille à la bonne fermeture du sphincter sans douleur.

Après plusieurs minutes, Farid et David sont affalés sur le canapé. Farid est en sueur. Il demande comment il se sent. David répond qu’il se sent hyper bien et qu’il est prêt à recommencer. D’ailleurs, il le remercie très chaleureusement de lui offrir sa première fois.

David et Farim s’embrassent sur la bouche tendrement. David regagne sa chambre pour s’endormir avec l’espoir de recommencer cette mémorable baise qui restera dans les annales.

21 déc. 2022

Le défi de Jean-Michel

En plein mois de décembre, Jean-Michel rend visite à son meilleur pote Guillaume pour trois-quatre jours. Jean-Michel émet le vœu de tester seul sa résistance au froid sur le Ventoux. Guillaume demande alors à Jean-Michel s’il est devenu fada. Jean-Michel réitère son vœu.

Guillaume organise, à la dernière minute, une réservation pour une nuitée dans une chambre double à l’auberge au pied du Ventoux. Justement, l’auberge est quasi vide en cette période hivernale. Guillaume a l’embarras du choix. Sur la dizaine de chambres composant l’auberge, deux chambres sont occupées par quatre gendarmes du P.G.H.M. Leur grand 4x4 rallongé est dans la cour, prêt à partir en intervention de secours.

Le surlendemain, Guillaume et Jean-Michel arrivent dans l’après-midi. Ils déposent leurs sacs dans la chambre. Jean-Marc s’habille en conséquence. Il oublie d’informer Guillaume qu’il a mis sur lui, un jockstrap et un maillot de coton blanc à bretelles sous la côte de ski. Par-dessus tout ça, il a un blouson fluo jaune. À ses pieds, Jean-Michel porte des grosses chaussures à crampons.

Jean-Michel embrasse furtivement Guillaume sur la bouche. Il lui dit qu’il va l’appeler quand son périple sera fini. Il part faire sa randonnée à pied. Il a installé sa lampe frontale sur la tête pour éclairer son chemin.

Plus tard, dans la soirée, Guillaume n’ayant pas de nouvelles de Jean-Michel, commence à s’inquiéter gravement. Il commence à se faire un film. Est-il tombé dans un ravin sur le bord de la route ? Est-il aux mains d’un pervers ? … Tout défile dans la tête. Il se résigne à alerter les gendarmes installés dans les chambres à proximité de la leur. Il sort de sa chambre affolé et très inquiet. Il leur dit que son ami Jean-Michel est parti seul effectuer une rando pédestre sur la route vers le Ventoux, et qu’il n’a pas donné signe de vie depuis plusieurs heures. Le gendarme Thierry, qui a ouvert la porte, réveille un de ses collègues. Thierry le rassure qu’il a très bien fait de les alerter. Thierry et son collègue descendent de l’auberge montent dans leur 4x4. Ils font monter Guillaume à l’arrière. Le 4x4 démarre. Le conducteur allume la rampe de lumières bleue et orange.

Au bout de deux bonnes heures de recherches, ils repèrent dans la lueur des phares, le blouson jaune fluo de Jean-Michel à terre sur le bas-côté. Ils s’arrêtent juste avant pour la protection. Thierry et Guillaume descendent du 4x4 et atteignent Jean-Michel. Ils s’aperçoivent que Jean-Michel tremble de partout. Il est en très grande hypothermie. Thierry demande à Guillaume de veiller que Jean-Michel ne s’endorme pas, le temps qu’il sorte le brancard à l’arrière du 4x4. Thierry arrive avec le brancard. Guillaume et Thierry prennent Jean-Michel et le pose sur ce brancard et ne tarde pas à le ramener à l’intérieur du véhicule.

Thierry annonce à Guillaume qu’il va falloir le réchauffer sans traîner. Le gendarme Thierry sort de son sac de secours, déploie une couverture de survie. Thierry suggère à Guillaume de se mettre complètement à poil et de se coller à Jean-Michel sous la couverture de survie. Guillaume ne veut pas perdre son ami. Sans réfléchir, Guillaume obéit au gendarme. Le gendarme Thierry dit au chauffeur installé au volant de démarrer et de redescendre vers l’auberge. Le gendarme se déshabille aussi et se colle à Jean-Michel. La chaleur de Guillaume, collé en peau à peau sur Jean-Michel, le fait monter en érection entre les fesses rasées de son ami. Le gendarme voit que Guillaume bande bien. Il lui dit qu'il a ordre de le pénétrer par le cul. Guillaume obtempère. Jean-Michel a maintenant la grosse bite de Guillaume dans son cul.

Les trépidations du 4x4 qui redescend vers l'auberge fait monter la pression. Guillaume est sur le point d'expulser cette grosse pression.

Thierry voit que Guillaume se retient tant qu'il peut. Il lui dit qu'il peut tout lâcher.

De voir Guillaume réchauffer Jean-Marc de cette manière, lui donne des idées. Thierry, armé de son « arme de sevice », décide de participer au réchauffage express aussi de Jean-Michel. Guillaume sort de sous la couverture de survie et se rhabille. Thierry se place sous la couverture et s'introduit dans Jean-Michel. Thierry n'attend pas longtemps et se libère dans les entrailles de Jean-Michel.

Le chauffeur du 4x4 appelle les deux autres gendarmes restés à l'auberge de descendre car le véhicule est sur le point d'arriver et qu'il vont avoir besoin d'aide pour monter une personne dans sa chambre.

Arrivés à l'auberge, les deux autres gendarmes ouvrent les portes arrières, tirent le brancard hors du véhicule. Ils portent à bout de bras Jean-Michel jusqu'au lit dans la chambre.

Guillaume remercie les gendarmes de l'avoir aidé aux recherches et au sauvetage de son ami Jean-Michel. Le gendarme Thierry dit à Guillaume que c'est leur mission de sauver des vies. Les gendarmes repartent dans leurs chambres un peu plus loin dans le couloir.

Jean-Michel est maintenant réchauffé et hors de danger. Guillaume demande s'il est devenu fou d'être sorti par ce froid de gueux. Jean-Michel lui répond que s'il a fait ça, c'est pour savoir jusqu'à quel point Guillaume l'aime.

7 déc. 2022

Le bodybuilder

Dans une salle de sport aux murs orange et marron, il y a un sexagénaire habitué des lieux qui se maintient en forme après une carrière européenne de plus de vingt années de bodybuilding. Ce sexagénaire n'a aucune honte de montrer son corps vieillissant et glabre. Il se balade en jock usé en synthétique hyper moulant de couleur orange vif.

En fin d’après-midi, arrive un nouvel élève, se présente au guichet d’accueil, Simon, dix-neuf ans, désirant se mettre au sport pour perdre un peu de poids et prendre un peu de muscles. Arrive le coach Tobias, un mec de trente ou trente-cinq ans, un double tatouage tribal autour du bras. Tobias interroge Simon l’objet de sa venue à la salle. Lors d’un petit entretien, le coach récupère des informations (habitudes alimentaires et indice IMC). Tobias questionne le jeune sur son estime de son corps. Il lui explique ensuite que la "norme" vestimentaire de cette salle, c’est le torse nu et port du jockstrap en toute circonstance. C'est inscrit sur le règlement intérieur. Le jeune rouquin dit à Tobias qu’il n’a pas de jockstrap. Tobias lui répond qu’il peut lui en vendre un sans problème. Il lui faut juste sa taille. Tobias évalue en regardant Simon qu’il faut une taille S. Le coach Tobias part à la réserve pour deux minutes et revient à la salle avec un sachet plastique contenant un jockstrap en taille S en main. Il le tend au jeune en lui disant où se trouvent les vestiaires.

Le jeune part aux vestiaires pour se déshabiller. Pendant ce temps-là, Tobias va vers le sexagénaire pour lui proposer de prendre en main le jeune. Le jeune revient, comme stipulé dans le règlement, torse nu et jockstrap. Tobias fait les présentations au sexagénaire qui va s’occuper de Simon.

Le jeune se déplace vers celui qui va le faire souffrir pour se muscler. Le gamin est émerveillé de voir quelqu’un encore bien fait à son âge. Il demande pourquoi le jockstrap doit être porté dans cette salle.

Le sexagénaire répond qu'il le saura bien assez tôt. Il lui tend une corde à sauter et lui demande de sauter pendant dix minutes. Puis, le sexagenaire lui demande de le suivre jusqu’au tapis de marche. Il fait monter Simon sur la machine et programme une marche rapide de dix minutes. Simon commence à suer à grosses gouttes. Au bout de cette série de dix minutes, le sexagénaire demande à Simon de faire dix squats bien faits bien au-dessus de lui en précisant bien qu'il ne doit pas s'arrêter de "squatter" sous aucun prétexte que ce soit, le regard fixe devant soi. Le vieux s'allonge à terre. Simon fait ce que le vieux demande. C'est au sixième squat, que le gamin sent le nez du sexagénaire frôler son sillon interfessier légèrement velu.

Du huitième au dixième squat, le gamin sent une langue.

Après cette série de squats executés, le vieux libère Simon de cette première séance de torture. Il l’invite à aller se doucher. Simon part à la douche.

Tobias vient aux nouvelles auprès du sexagénaire. Le sexagénaire informe Tobias que le jeune écoute bien ce qu’on lui dit et il mérite de bien progresser.