Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

22 oct. 2020

Louka chez les bretons, partie 2

Partie 1 de ce texte... ICI


Louka arrive à la gare de St Pancras de Londres. Max attend sur le bout du quai tenant un carton sur lequel est écrit « LOUKA ». Max est un mec de trente-huit ans environ, plus grand, plus massif que Louka. Il est blond-roux, bilingue.

Louka descend du train et s'avance sur le quai. Il voit Max avec son panneau de carton devant lui. Il s'approche de Max. Max et Louka se serrent la main. Max demande à Louka s'il a fait bon voyage. Max prend le gros sac de Louka jusqu'à la voiture. Il le pose sur la banquette arrière et fait monter Louka à l'avant coté gauche de la voiture. Max monte à l'avant-droite. Max envoie un SMS à Marek par lequel Louka est bien arrivé à Londres.

En chemin vers son domicile, Max questionne Louka sur la raison de ses lacunes en anglais. Louka lui répond qu'il n'a pas pu retenir beaucoup de choses au lycée à cause d'une vieille professeure coincée dont les cours étaient inintéressants et très « ennuyeux ».

Max voit tout de suite le problème. Il dit alors à Louka que le vrai travail commencera le lendemain matin et qu'il ne va pas l'embêter à peine arrivé.

Ce que Louka ne sait pas encore, c'est que Max a une méthode de choc, très personnelle et très efficace pour aider à la mémorisation de la langue de Shakespeare.

Vu l'heure tardive, Sandy (la femme de Max) est en train de dormir car elle doit se lever aux aurores pour son travail à l’hôpital. Max explique dans les grandes lignes qu'il aura dès le lendemain matin, un appareil sur lui, tout le temps de ces quinze jours. Cet appareil intelligent couplé en Bluetooth avec un smartphone (verrouillé par Max et porté à la ceinture) contenant tout le dictionnaire Harrap's anglais et que si ce smartphone détecte une erreur de vocabulaire ou de grammaire, l'appareil délivre une micro-décharge électrique. Bien sûr, l'intensité de la décharge sera proportionnelle à cette faute. Max ne dévoile pas encore sous quelle forme prend ce fameux outil.

Max et Louka vont se coucher chacun de leurs cotés. Max emmène Louka dans la chambre d'invités qui est mitoyenne de celle du couple. Max indique à Louka qu'il viendra le réveiller de bonne heure le lendemain matin pour commencer sa première leçon d'anglais. Louka se déshabille entièrement pour passer sa première nuit londonienne.

À SUIVRE ...

15 oct. 2020

JM et les coupeurs de cannes

Par une fin de matinée estivale, JM s'habille léger en prenant son maillot à bretelles bleu, son jean coupé sous les fesses et ses baskets. Il dit à sa mère qu'il ne déjeune pas à la maison et qu'il va se balader un moment. Il prépare dans son sac à dos, un casse-croûte, un fruit et une gourde d'eau.

Il sort de chez lui et tranquillement avec son appareil photo autour du cou, prêt à immortaliser la faune et la flore le long de son parcours. Pendant sa progression, il remarque de jolis endormis et des papillons colorés qu'il prend aussitôt en photo.

Loin des habitations, pour faire corps avec la nature, il enlève tout ce qui ressemble de près ou de loin à du tissu. Néanmoins, il garde que ses baskets, ses lunettes de soleil et sa casquette « camouflage » estampillée « AD ». Il met ses affaires dans son sac à dos.

Il sait que, pas très loin, il y a une plantation de cannes à sucre. À cette période de l'année, une bonne quinzaine de saisonniers sont employés par l'exploitant agricole pour couper ces cannes de manière très artisanale à l'aide de grands coupe-coupes très bien aiguisés.

Après une bonne demie heure de marche, il arrive à proximité de cette exploitation agricole. Il ralentit sa marche. Il s'arrête même. Il pose son sac à terre. Comme il est l'heure du déjeuner, il décide de prendre son casse-croûte. Il se penche en avant pour prendre son déjeuner en faisant dos au champs de cannes tout en prenant son temps pour offrir son sillon fessier au soleil.

JM remarque deux ouvriers en salopettes de jean sans même porter de t-shirt. L'un d'eux est de type indien, la trentaine, pas très grand, cheveux noirs, un poitrail velu. L'autre est un black, brun, plus grand que l'autre, musclé et rasé. JM remarque aussi que ces deux ouvriers sont très complices entre eux. Il réfléchit un peu pourquoi ces deux-là sont aussi proches. Est-ce le fait qu'ils travaillent à la plantation depuis un bout de temps ensemble ? JM veut en avoir le cœur net.

Donc, JM s'assoit à terre en faisant face au chantier de coupe de cannes, en écartant les jambes, cette fois-ci. Entre le casse-croûte et le fruit, il est excité par la vue d'eux et entame un tripotage insistant en espérant d'être repéré par ces deux mecs.

Ces deux beaux ouvriers en salopettes amples sont en train de déjeuner non loin de JM. Il va découvrir plus tard, que ces deux gars ne portent absolument rien sous leurs habits.

Ne les voyant pas bouger, il se lève et va passer devant eux, tout nu. Il se permet de la secouer un petit peu pour leur faire passer un message. Ces deux ouvriers en salopette ne sont absolument pas choqués. Ils semblent même très intéressés par le spectacle que leur offre JM.

JM revient vers son sac et attend. Une minute plus tard, Pascal et Vikash viennent à coté de JM. Ils s'assoient tous les deux en face de JM. JM reprend une session de tripotage en fixant Pascal, le black. Dans son regard, JM veut que Pascal lui présente son cul pour qu'il le lui lèche. Pascal défait sa salopette entièrement et plaque ses fesses duveteuses sous le nez de JM. Vikash, lui est bien excité par ce qu'il voit et enlève lui-aussi sa salopette. Vikash se place sous Pascal, qui est courbé en avant avec JM affairé à lui bouffer le cul. Vikash se met à sucer le gros zizi noir de Pascal. Vikash tente d'avaler ce truc mais n'y arrive pas. Alors, Pascal dit à Vikash que s'il n'arrive pas à avaler par la bouche, il va le manger par ses fesses. Pascal fait lever Vikash et le prend virilement par la taille. Pascal touche avec son gland, l’œillet poilu de Vikash. D’un coup, Pascal pousse du bassin et pénètre Vikash qui résiste à l'envie de gueuler pour éviter d'alerter les autres ouvriers, beaucoup moins ouverts d'esprit. Pascal jette un œil vers JM. Il consent à recevoir dans son anus, le sexe dur comme du bois de JM.

Pendant un bon moment, JM, Pascal et Vikash se donnent du plaisir ensemble. JM est sur le point de jouir. Il ne se retient pas et lâche sa jute dans le cul black. Il se retire et vient devant Vikash, qui lui est sur le point de jouir aussi. JM ouvre la bouche et tire la langue pour effleurer le dessous du gland indien. Les mouvements saccadés de coups de boutoirs de Pascal font accélérer la jouissance de Vikash qui explose toute sa jouissance dans la bouche de JM. Pascal, lui explose sa semence crémeuse et vitaminée dans les profondeurs anales de Vikash. JM veut plus de vitamines pour son déjeuner. Il fait déplacer Pascal pour plaquer son bouche sur l'anus velu de Vikash et ainsi récolter le précieux nectar.

Pascal et Vikash, redescendus de leurs nuages, renfilent leurs salopettes respectives et repartent à leur travail, des étoiles pleins les yeux car ils espèrent revoir JM très bientôt.