Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

30 oct. 2019

La maison hantée

J'habite non loin d'une maison hantée dans une banlieue. Depuis plusieurs jours, je vois de très jeunes garçons (environ 16 ans) entrer dans cette propriété le soir dès la nuit tombée. Un vieux hibou hulule sous le clair de lune.

Une rumeur, persistante depuis de très longues années, raconte qu'un quinquagénaire aux cheveux d'argent et barbu s'amuse avec des garçons.

Un soir, donc, je vois un petit brun et un petit rouquin, main dans la main, passer devant chez moi en direction de cette vieille bâtisse abandonnée. Le rouquin porte un jean court coupé sous les fesses. Pour le brun, son jean est à jambières longues mais les poches arrières sont découpées.

Je me décide à les suivre sans me faire repérer. Les deux jeunes franchissent la clôture végétale, longent une allée. Ils montent quelques marches vers la porte d'entrée, ouvre la porte qui se met à grincer. Xavier (le brun) et Joël (le rouquin) passent la porte, entrent plus loin. Il fait noir. Seul la pleine lune éclaire l'intérieur.

Dans l'entrée, trois portes se présentent. Un souffle d'air froid se fait sentir et un semblant de voix de fait entendre :
"Choisissez une porte et connaîtrez le bonheur".

Xavier entre le premier, et referme derrière lui en laissant Joël dans l'entrée. Xavier a une sensation très bizarre. Il se sent observé. Cette voix dit de se mettre torse nu de se plier en deux, et d'attendre deux minutes.

Xavier sent maintenant un gros truc monstre lui chatouiller l'anus. Puis, un liquide huileux couler le long de sa raie des fesses. Le truc monstrueux est progressivement et entièrement introduit dans le trou de Xavier. Xavier crie de douleur tellement le truc est gros. Au bout d'un moment, Xavier pleure de plaisir. Il n'ose pas inquiéter Joël dans le couloir. Après un bon quart d'heure, Xavier est inondé dans son intérieur profond d'un jus chaud et abondant. Le truc est retiré lentement. Il se rhabille, sort de cette pièce et rejoint Joël.

[...]

27 sept. 2019

Dans la cité

Un soir tard dans la nuit, je suis sur le chemin du retour d'une soirée chez des amis. J'ai l'esprit un peu embrumé par les vapeurs d'alcool de la soirée. L'éclairage public est éteint depuis un bout de temps. Je ne suis pas du tout rassuré.

Le chemin que je dois prendre doit me faire traverser est une cité très chaude où quelques tam-tams africains se font entendre ici et là. Un timide clair de lune éclaire cette cité.

Alors que je passe sous un porche d'immeuble, j'entends une voix résonnante et grave à me figer le sang. Elle est toute près de moi. Au lieu de déguerpir à toute vitesse, je reste sur place. Cette voix me demande si j'ai envie de m'amuser un peu.

Je réponds à cette voix que j’accepte bien volontiers. C'est alors que je sens une main ferme attraper la mienne pour aller toucher le devant d'un pantalon en cuir noir. Je n'arrive pas du tout à voir qui me parle. La seule chose que je peux à peine distinguer dans cette noirceur, c'est le blanc de ses yeux et de ses dents. Cette voix me demande si j'ai déjà vu un truc comme ça en me faisant tâter cette bosse protubérante de façon virile. Je lui répond que non. Il dégrafe les boutons pression d'une poche amovible de son pantalon et libère un truc si gros que je manque de m'évanouir. J'ouvre la bouche au max que je peux. Je n'arrive même pas à avaler son gland. Il me propose un autre truc. Il me force à baisser mon pantalon et à lui donner mon cul. J'ai aucune idée de sa réaction si je le déçois, je fais sans protester.

Il me fait plier en deux, m'attrape les fesses et me lèche l'anus. Puis, il se relève, prend une dosette grand format de gel lubrifiant et s'en enduit le gland et sur mon trou avant de s'introduire dedans. Il porte un cockring épais en métal. Je n'ose à peine crier, pour éviter de réveiller la cité, tellement il me fait mal avec son engin veineux étranglé par l'anneau. Il met sa grande main devant ma bouche pour étouffer mes cris de douleur. Je pleure de douleur. Il accélère le mouvement. Son pubis claque sur mes fesses. La douleur laisse place au plaisir petit à petit. Mon trou se détend plus facilement et accepte bien le diamètre de cette tige en action. Une bonne dizaine de minutes de levrette, il s'allonge sur le sol et me fait m'empaler à fond et que je prenne la relève pour faire travailler mon cul un bon quart d'heure encore. Il me fait remettre en levrette, mais là, il me fait plier davantage le dos. Au bout de cinq minutes, il arrête ses mouvements et aussitôt me remplit de sa semence crémeuse et tiède. Il se sépare de moi. Il se rhabille. Il me laisse là en plan, le cul en l'air, mon jean sur les chevilles.

Je me rhabille le cul bien humide. J'ai beaucoup de mal à marcher tellement j'ai mal au cul. Je n'ai même pas eu le temps de demander le prénom de ce mec en me disant si je suis le seul blanc passant par ce passage qu'il baise.

2 sept. 2019

Jean-Michel et Guillaume à l'hôtel

En plein coup de feu, Jean-Michel ne sait plus où donner de tête. Son téléphone portable n'arrête pas de vibrer dans sa poche de pantalon. C'est son Guillaume qui l'appelle. Les mains enfin libérées des assiettes, un peu exténué et agacé, il rappelle Guillaume. Guillaume lui dit qu'il est sur Paris et qu'il a une très grosse envie de le voir pour se soulager dans ses fesses très rapidement. Jean-Michel lui répond qu'il est très occupé au boulot et qu'il le rejoindra après son service.

Après son service, Jean-Michel sort du restaurant et file tout droit rejoindre Guillaume à l'hôtel où il a l'habitude de loger quand il est sur Paris. Comme Guillaume prend la même chambre, Jean-Michel monte direct sans passer par la Réception. Jean-Michel monte les escaliers 4 à 4. Il longe le long couloir et arrive à la porte de Guillaume. Il entre sans frapper. Il découvre Guillaume tout nu en train de jouer avec ses tétons durcis par le désir brûlant, de se caresser ses pecs et ses abdos avec une de ses mains. De l'autre main, Guillaume est en train de se caresser son gros sexe. Jean-Michel se déshabille entièrement et s'allonge a coté de Guillaume.

Sur le lit, Guillaume bande de plus en plus. Il est excité par l'arrivée de Jean-Michel à coté de lui.

Jean-Michel se penche en avant, se rapproche de la bite de Guillaume. Il laisse tomber de la salive sur le gland de Guillaume avant de le sucer en s'appliquant du mieux qu'il peut. Guillaume attrape l'arrière de la tête de Jean-Michel, comme pour forcer la fellation. Guillaume fait mettre Jean-Michel en position dite du « 69 ».

Pendant que Jean-Michel est occupé à sucer cette grosse bite, Guillaume cherche avec ses doigts l'anus épilé, déjà bien humide d'excitation, de Jean-Michel. Guillaume crache sur le trou de Jean-Michel et étale sa salive.

Le trou de Jean-Michel s'ouvre un petit peu pour dire à Guillaume qu'il est prêt à s'ouvrir davantage. Guillaume claque la fesse de Jean-Michel avec le plat de la main. Jean-Michel se met à califourchon sur Guillaume et s’assoit sur la grosse tige raide de Guillaume. Jean-Michel s'empale tout entier. Jean-Michel tourne du bassin, puis, monte et descend, pendant un bon quart d'heure, le long de cette grosse tige qui lui fouille le cul. Jean-Michel lui dit qu'il aime ça de se faire baiser comme ça. Au bout d'un quart d'heure, Guillaume demande à Jean-Michel de se relever et de se mettre à quatre pattes et à cambrer les reins. Guillaume attrape le bassin de Jean-Michel, présente sa bite à l'anus déjà bien ouvert de Jean-Michel. Guillaume pénètre Jean-Michel avec beaucoup de vigueur. Très peu de temps passe et Guillaume, ne pouvant plus se retenir, insère de toute sa longueur et jouit tout son jus au fond du cul de Jean-Michel. Après avoir bien joui, Guillaume se retire du trou et s'endort en chien de fusil sur lit. Jean-Michel est satisfait de ce que Guillaume a fait. Jean-Michel reste un peu sur le lit et attend que son sphincter anal se referme et emprisonner le Graal à l'intérieur de lui.

Jean-Michel se rhabille et sort de la chambre. Jean-Michel rentre chez lui en pleine forme, revigoré. Il a le sourire jusqu'aux oreilles et il est très heureux.

21 mars 2019

Essayage

Alors que je faisais ma promenade dans une boutique spécialisée dans le sous-vêtement masculin. Au fond de cette boutique, je m'arrête au rayon des jockstraps. Un modèle jaune fluo à ceinture large siglé « AD » vert vif attire mon regard. Je demande au vendeur si je peux l'essayer en cabine. Le vendeur me répond affirmativement. Aussitôt dit, je me dirige vers la cabine et me déshabille.

J'enfile ce jockstrap jaune fluo. J'ajuste la poche devant et en un dixième de seconde, comme par magie, je me retrouve sur une plage déserte sur une île mystérieuse. Je me rends vite compte que cet endroit paradisiaque n'est pas aussi désert que ça puisque je vois quatre beaux blacks bien musclés et très bien gâtés par Mère Nature, avec à leurs pieds, un grand bocal à confiture rempli au ¾ d'un gel lubrifiant.

L'un d'eux, Pheonix vient d'un pas assuré vers moi et m'attrape les fesses à pleines mains. Il s'agenouille derrière moi et me lécher le trou. Pendant qu'un autre, Liam se place devant moi et me met son pénis chocolat contre mes lèvres pour me forcer à la fellation, Pheonix plonge quelques secondes sa bite dans le bocal et s'insère entièrement pour me pilonner avec vigueur l'arrière-train. Au bout de quelques minutes de va-et-viens, Pheonix m'inonde le conduit. Liam se retire de ma bouche, plonge son machin dans le bocal et prend la relève de Pheonix. Dans ma bouche, une autre bite marron me chatouille les amygdales . C'est au tour de DeAngelo. Sous le coup de l'excitation, je réussis tant bien que mal à avaler DeAngelo jusqu'à ce qu'il soit remplacé par Jacen, arrivé entre-temps dans ce lieu plombé par le soleil. DeAngelo, passe derrière moi. Il plonge lui aussi dans ce bocal et me fourre son truc dans le cul avec une facilité déconcertante. Après un long moment, DeAngelo m'honore de sa semence mes entrailles. C'est au tour de Jacen de me pilonner après avoir lubrifié sa grosse tige.

Et enfin, Max arrive directement derrière moi. DeAngelo lui tend à bonne hauteur, le bocal de lubrifiant. Max y plonge, sans mettre les mains, entièrement son gros bâton de pèlerin avant de la glisser dans mon cul bien ouvert et tout mouillé de lubrifiant et de sperme. Max en un râle, explose en moi.

Ce n'est que le vendeur, ne me voyant pas ressortir de la cabine, rentre dans la cabine, me tape sur les fesses et me sort de ce songe. Je me sens tout bizarre et tout péteux en découvrant que j'ai mouillé ce jockstrap jaune fluo pas encore payé.

J’essaie d'expliquer au vendeur comment je peux faire pour pouvoir aller régler mon achat sans problème. Ce vendeur me dit qu'il va me trouver un sac opaque blanc pour enfermer hermétiquement. Je n'aurais qu'à laisser dépasser l'antivol pour qu'il puisse l’ôter ainsi que le code-barres du sac et qu'il se chargera lui-même de l'encaissement.

Lors du règlement, ce vendeur me demande si je possède la carte de fidélité de la boutique. Je lui réponds que non.