Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

23 janv. 2023

La lope

Un soir, très tard, je me balade dans des ruelles étroites et peu éclairées du quartier. Au détour d’une rue, je vois un jeune mec, typé européen, complètement nu, en baskets et une casquette blanche “à la virgule”. Ce gars se balade, lui aussi. Nous nous croisons une fois. Il n’a aucune gêne à se dépoiler dehors. Je me dis qu’il cherche de la compagnie, dans la façon de se déplacer et à mettre son postérieur bien en évidence. Il passe une seconde fois devant moi. Il me dit se prénommer Marc.

Au loin, des sirènes se font entendre de plus en plus proches. Le deux-tons ne semblent pas du tout effrayer Marc. Ça semble même l’exciter au plus haut point. Je me suis planqué dans un petit coin pour observer ce jeune mec exhib pas du tout complexé. Peu de temps après, une voiture de patrouille sérigraphiée de la BAC passe au ralenti une première fois. Elle ne s’arrête pas. Cinq bonnes minutes passent, une deuxième voiture passe au bout de la ruelle. Trois hommes en descendent. Ils viennent vers ce jeune gars d’un pas très assuré en enfilant leurs brassards “POLICE” orange. Marc se tourne face au mur et écarte les jambes en cambrant bien les reins.

Le premier policier, un black, lui demande à Marc ce qu’il fait là et s’il a une pièce d’identité sur lui. Le jeune répond qu’il a rien sur lui. Le deuxième, un rebeu, lui fait la palpation de sécurité et un troisième policier, un blanc plus âgé que les deux autres, lui, ne fait rien. Il fige les lieux pour que le contrôle ne dérape pas et assure que Marc ne fausse pas compagnie aux flics.

Le black et le rebeu se regardent en se mordillant les lèvres et en secouant leurs engins dans leurs pantalons. Le black ouvre le zip de son pantalon, sort sa grosse et lourde matraque noire de vingt centimètres. Le black fait un deal. Marc a le choix de lui pomper sa bite ou de passer le reste de la nuit au poste pour exhibitionnisme aggravé. Il fait retourner le jeune Marc qui se met aussitôt à genoux. Le black force la bouche de Marc. Le flic rebeu se place derrière Marc, crache sur sa grosse bite de dix-huit centimètres, circoncise et l’enfonce dans le petit cul blanc offert. Marc est en transe. Il a une queue dans la bouche et une autre dans le cul. Le rebeu sodomise Marc avec vigueur. Le black pousse la sienne dans la gorge de Marc. En deux minutes, la sensibilité du gland du black le fait jouir abondamment en fond de gorge. Le black ordonne maintenant à Marc d’avaler le jus. Pendant ce temps, le rebeu est toujours à l'œuvre dans le cul de Marc. Le cul de Marc est presque chauffé à blanc, tellement le rebeu met du coeur à l’ouvrage.

De ma cachette, je ne peux pas louper une seule miette de ce qui se passe devant mes yeux. C’est la fête dans mon boxer. Je ne peux pas bouger au risque de me dévoiler, et de finir au poste moi aussi.

Le rebeu est sur le point d’exploser. Il se retire rapidement et fait mettre à genoux la petite pute Marc pour recevoir sa faciale d’un soir. Une fois fini, le rebeu fait nettoyer sa grosse bite.

Le troisième flic, celui qui n’a rien fait jusqu’ici, se dit qu’il aurait bien participé à cette petite fête improvisée. Il dit à Marc de rester à genoux. Il sort son sexe et se met à pisser sur le visage de Marc, comme pour pour rincer toutes traces ADN du délit sexuel. Marc est ravi de la tournure de cette soirée.

Marc se relève. Il rentre chez lui prendre une douche bien chaude et se met au lit pour la nuit.