Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

30 déc. 2022

Dépucelage de David

David est un très jeune garçon pas encore pré-pubère qui n’a pas connu ses propres parents. Il est fils unique. Il est élevé par sa grand-mère qui possède plusieurs hôtels-restaurants. Cette grand-mère lui cède presque tout. David vit dans une des chambres d’hôtel.

Un jour, il fait connaissance avec Farid, un serveur du restaurant. Farid est plus âgé que David. Ils sympathisent, jouent, prennent des douches ensemble. Au fil du temps, Farid et David tissent des liens de plus en plus forts, si forts qu’il tombent amoureux l’un de l’autre. Ils jouent à des jeux de “touche-pipi” tous les deux comme deux enfants explorant leurs sentiments sexuels.

Il arrive à David de traverser l’hôtel en très petite tenue pour rejoindre Farid dans son lit les soirs d’orages pour se faire consoler.

Peu de temps plus tard, alors que Farid est sous la douche, David est dans la chambre. Il repère sur la table des revues porno gay très explicites. Farid sort de la douche nu avec sa serviette autour du cou. Il stoppe net et surprend David en train de regarder ces revues. David est émoustillé par ce qu’il voit sur ses images. David demande à Farid s’il veut être sa première fois avec lui. Farid est partant. Farid demande s'il veut faire ça maintenant. David acquiesce. Farid force la bouche de David qui se met à le sucer. David a un peu de mal à sucer tellement Farid est bien outillé. Pendant que David suce, Farid caresse les fesses toutes douces de David. Farid le fait mettre debout et lui demande d’écarter les jambes pour ouvrir l’orifice anal encore vierge de toute pénétration. Farid se penche, lèche et doigte avec attention le jeune anus afin de préparer au forçage qui va suivre. David ne peut plus attendre très longtemps. Farid redemande à David la confirmation de sa demande de dépucelage.

Farid rassure David comme un grand frère. Il va prendre grand soin de lui. Il va le pénétrer en douceur avec ses vingt-quatre centimètres épais, veineux et circoncis enfouis dans un épais buisson frisé. N’ayant pas de lubrifiant classique, Farid décide d’utiliser de la vaseline. Il va chercher le tube dans son armoire de toilette à son étroite salle de bains. Il revient avec le tube. Farid a une gaule d’enfer. Il fait mettre David sur le dos sur le canapé, les jambes en l’air. Farid crache de la salive sur sa bite. Il presse le tube de vaseline et en récupère une grosse noix, qu’il étale en massant, avec sa main gauche, le petit anus vierge pour qu’il s’ouvre. De sa main droite, il se masturbe.

L’instant fatidique arrive à grand pas. David croit être prêt. Il le fait savoir à Farid. Farid présente sa grosse tige à l’anus. Il pose son gland et commence à pousser hyper doucement. L’anus de David sous la pression de Farid cause de vives douleurs avec des sensations de déchirements. L'œillet refuse de s'ouvrir pour accepter le gros calibre. Farid insiste un peu en massant avec deux doigts le jeune sphincter. Farid recrache de sa salive et fait pénétrer un doigt en jouant avec l’anus. Au bout d’un moment, l’anus semble se détendre de mieux en mieux. Farid tente à nouveau de pénétrer David. Farid pousse son gland. Centimètres après centimètres, Farid demande si David va bien. David répond qu’il va bien. Il lui dit que le début est un peu douloureux.

Farid continue régulièrement jusqu’à ce que les vingt-quatre centimètres disparaissent dans le conduit anal. Arrivé au bout, Farid reste un moment pour finir d’ouvrir. David dit qu’il se sent mieux et qu’il a beaucoup moins mal. Farid décide alors d’aller plus loin dans le dépucelage anal. Il demande à David s’il peut commencer la baise proprement dite. Alors, Farid commence à faire coulisser son gros manche épais à l’intérieur. Farid essaie de se retenir du mieux qu’il peut. Farid est très excité du fait que l’anneau sphinterien enserre bien son sexe, ce qui le fait jouir rapidement.

Le point de non-retour est atteint. Farid expulse tout son sperme à l’intérieur de l’intestin de David. Il y reste jusqu'à la dernière goutte et se retire doucement. Farid veille à la bonne fermeture du sphincter sans douleur.

Après plusieurs minutes, Farid et David sont affalés sur le canapé. Farid est en sueur. Il demande comment il se sent. David répond qu’il se sent hyper bien et qu’il est prêt à recommencer. D’ailleurs, il le remercie très chaleureusement de lui offrir sa première fois.

David et Farim s’embrassent sur la bouche tendrement. David regagne sa chambre pour s’endormir avec l’espoir de recommencer cette mémorable baise qui restera dans les annales.

21 déc. 2022

Le défi de Jean-Michel

En plein mois de décembre, Jean-Michel rend visite à son meilleur pote Guillaume pour trois-quatre jours. Jean-Michel émet le vœu de tester seul sa résistance au froid sur le Ventoux. Guillaume demande alors à Jean-Michel s’il est devenu fada. Jean-Michel réitère son vœu.

Guillaume organise, à la dernière minute, une réservation pour une nuitée dans une chambre double à l’auberge au pied du Ventoux. Justement, l’auberge est quasi vide en cette période hivernale. Guillaume a l’embarras du choix. Sur la dizaine de chambres composant l’auberge, deux chambres sont occupées par quatre gendarmes du P.G.H.M. Leur grand 4x4 rallongé est dans la cour, prêt à partir en intervention de secours.

Le surlendemain, Guillaume et Jean-Michel arrivent dans l’après-midi. Ils déposent leurs sacs dans la chambre. Jean-Marc s’habille en conséquence. Il oublie d’informer Guillaume qu’il a mis sur lui, un jockstrap et un maillot de coton blanc à bretelles sous la côte de ski. Par-dessus tout ça, il a un blouson fluo jaune. À ses pieds, Jean-Michel porte des grosses chaussures à crampons.

Jean-Michel embrasse furtivement Guillaume sur la bouche. Il lui dit qu’il va l’appeler quand son périple sera fini. Il part faire sa randonnée à pied. Il a installé sa lampe frontale sur la tête pour éclairer son chemin.

Plus tard, dans la soirée, Guillaume n’ayant pas de nouvelles de Jean-Michel, commence à s’inquiéter gravement. Il commence à se faire un film. Est-il tombé dans un ravin sur le bord de la route ? Est-il aux mains d’un pervers ? … Tout défile dans la tête. Il se résigne à alerter les gendarmes installés dans les chambres à proximité de la leur. Il sort de sa chambre affolé et très inquiet. Il leur dit que son ami Jean-Michel est parti seul effectuer une rando pédestre sur la route vers le Ventoux, et qu’il n’a pas donné signe de vie depuis plusieurs heures. Le gendarme Thierry, qui a ouvert la porte, réveille un de ses collègues. Thierry le rassure qu’il a très bien fait de les alerter. Thierry et son collègue descendent de l’auberge montent dans leur 4x4. Ils font monter Guillaume à l’arrière. Le 4x4 démarre. Le conducteur allume la rampe de lumières bleue et orange.

Au bout de deux bonnes heures de recherches, ils repèrent dans la lueur des phares, le blouson jaune fluo de Jean-Michel à terre sur le bas-côté. Ils s’arrêtent juste avant pour la protection. Thierry et Guillaume descendent du 4x4 et atteignent Jean-Michel. Ils s’aperçoivent que Jean-Michel tremble de partout. Il est en très grande hypothermie. Thierry demande à Guillaume de veiller que Jean-Michel ne s’endorme pas, le temps qu’il sorte le brancard à l’arrière du 4x4. Thierry arrive avec le brancard. Guillaume et Thierry prennent Jean-Michel et le pose sur ce brancard et ne tarde pas à le ramener à l’intérieur du véhicule.

Thierry annonce à Guillaume qu’il va falloir le réchauffer sans traîner. Le gendarme Thierry sort de son sac de secours, déploie une couverture de survie. Thierry suggère à Guillaume de se mettre complètement à poil et de se coller à Jean-Michel sous la couverture de survie. Guillaume ne veut pas perdre son ami. Sans réfléchir, Guillaume obéit au gendarme. Le gendarme Thierry dit au chauffeur installé au volant de démarrer et de redescendre vers l’auberge. Le gendarme se déshabille aussi et se colle à Jean-Michel. La chaleur de Guillaume, collé en peau à peau sur Jean-Michel, le fait monter en érection entre les fesses rasées de son ami. Le gendarme voit que Guillaume bande bien. Il lui dit qu'il a ordre de le pénétrer par le cul. Guillaume obtempère. Jean-Michel a maintenant la grosse bite de Guillaume dans son cul.

Les trépidations du 4x4 qui redescend vers l'auberge fait monter la pression. Guillaume est sur le point d'expulser cette grosse pression.

Thierry voit que Guillaume se retient tant qu'il peut. Il lui dit qu'il peut tout lâcher.

De voir Guillaume réchauffer Jean-Marc de cette manière, lui donne des idées. Thierry, armé de son « arme de sevice », décide de participer au réchauffage express aussi de Jean-Michel. Guillaume sort de sous la couverture de survie et se rhabille. Thierry se place sous la couverture et s'introduit dans Jean-Michel. Thierry n'attend pas longtemps et se libère dans les entrailles de Jean-Michel.

Le chauffeur du 4x4 appelle les deux autres gendarmes restés à l'auberge de descendre car le véhicule est sur le point d'arriver et qu'il vont avoir besoin d'aide pour monter une personne dans sa chambre.

Arrivés à l'auberge, les deux autres gendarmes ouvrent les portes arrières, tirent le brancard hors du véhicule. Ils portent à bout de bras Jean-Michel jusqu'au lit dans la chambre.

Guillaume remercie les gendarmes de l'avoir aidé aux recherches et au sauvetage de son ami Jean-Michel. Le gendarme Thierry dit à Guillaume que c'est leur mission de sauver des vies. Les gendarmes repartent dans leurs chambres un peu plus loin dans le couloir.

Jean-Michel est maintenant réchauffé et hors de danger. Guillaume demande s'il est devenu fou d'être sorti par ce froid de gueux. Jean-Michel lui répond que s'il a fait ça, c'est pour savoir jusqu'à quel point Guillaume l'aime.

7 déc. 2022

Le bodybuilder

Dans une salle de sport aux murs orange et marron, il y a un sexagénaire habitué des lieux qui se maintient en forme après une carrière européenne de plus de vingt années de bodybuilding. Ce sexagénaire n'a aucune honte de montrer son corps vieillissant et glabre. Il se balade en jock usé en synthétique hyper moulant de couleur orange vif.

En fin d’après-midi, arrive un nouvel élève, se présente au guichet d’accueil, Simon, dix-neuf ans, désirant se mettre au sport pour perdre un peu de poids et prendre un peu de muscles. Arrive le coach Tobias, un mec de trente ou trente-cinq ans, un double tatouage tribal autour du bras. Tobias interroge Simon l’objet de sa venue à la salle. Lors d’un petit entretien, le coach récupère des informations (habitudes alimentaires et indice IMC). Tobias questionne le jeune sur son estime de son corps. Il lui explique ensuite que la "norme" vestimentaire de cette salle, c’est le torse nu et port du jockstrap en toute circonstance. C'est inscrit sur le règlement intérieur. Le jeune rouquin dit à Tobias qu’il n’a pas de jockstrap. Tobias lui répond qu’il peut lui en vendre un sans problème. Il lui faut juste sa taille. Tobias évalue en regardant Simon qu’il faut une taille S. Le coach Tobias part à la réserve pour deux minutes et revient à la salle avec un sachet plastique contenant un jockstrap en taille S en main. Il le tend au jeune en lui disant où se trouvent les vestiaires.

Le jeune part aux vestiaires pour se déshabiller. Pendant ce temps-là, Tobias va vers le sexagénaire pour lui proposer de prendre en main le jeune. Le jeune revient, comme stipulé dans le règlement, torse nu et jockstrap. Tobias fait les présentations au sexagénaire qui va s’occuper de Simon.

Le jeune se déplace vers celui qui va le faire souffrir pour se muscler. Le gamin est émerveillé de voir quelqu’un encore bien fait à son âge. Il demande pourquoi le jockstrap doit être porté dans cette salle.

Le sexagénaire répond qu'il le saura bien assez tôt. Il lui tend une corde à sauter et lui demande de sauter pendant dix minutes. Puis, le sexagenaire lui demande de le suivre jusqu’au tapis de marche. Il fait monter Simon sur la machine et programme une marche rapide de dix minutes. Simon commence à suer à grosses gouttes. Au bout de cette série de dix minutes, le sexagénaire demande à Simon de faire dix squats bien faits bien au-dessus de lui en précisant bien qu'il ne doit pas s'arrêter de "squatter" sous aucun prétexte que ce soit, le regard fixe devant soi. Le vieux s'allonge à terre. Simon fait ce que le vieux demande. C'est au sixième squat, que le gamin sent le nez du sexagénaire frôler son sillon interfessier légèrement velu.

Du huitième au dixième squat, le gamin sent une langue.

Après cette série de squats executés, le vieux libère Simon de cette première séance de torture. Il l’invite à aller se doucher. Simon part à la douche.

Tobias vient aux nouvelles auprès du sexagénaire. Le sexagénaire informe Tobias que le jeune écoute bien ce qu’on lui dit et il mérite de bien progresser.

30 oct. 2022

Le contrôle d'identité d'Alex

Alex rentre chez lui, à pied, depuis la gare. Il était allé voir quelqu'un plus tôt dans la journée. Une voiture de police s'arrête à côté de lui. Alex commence à s'inquiéter. Le policier, passager de cette voiture, descend. C'est un beau policier, musclé de partout, tête rasée. Une oreillette avec un fil sort de sa tenue. L'agent de police dit à Alex de ne pas s'inquiéter, ce n'est qu'un simple contrôle d'identité. Alex sort sa carte d'identité de son portefeuille. Il la tend au policier.

Le policier remarque que la date de validité est dépassée de quelques jours.

Voulant faire un peu de zèle, le policier fait monter Alex à l'arrière du véhicule pour une vérification au poste de police.

L'agent emmène Alex dans son bureau, affiche la pancarte « NE PAS DÉRANGER, EN AUDITION », et ferme la porte. Alex se retrouve seul avec le policier, qui retire son gilet pare-balles, range son arme de service dans le tiroir fermant à clé.

La chemise de l'agent est trop juste pour contenir des pecs très bien musclés. Alex remarque aussi que cet agent possède une arme discrète et puissante entre ses cuisses.

Le policier tape le nom inscrit sur la carte d'identité avec le clavier de son ordinateur dans le fichier de l'administration. Il ressort sans incident. L'agent lui fait la leçon de la nécessité de faire le renouvellement de cette carte dans les plus brefs délais, sans quoi, il ira frapper à sa porte pour régler le problème.

Peut-être une semaine après cette arrestation, Jordan se rend encore une fois chez Alex, tard le soir, après son service. Jordan rentre chez lui en tenue de service.

Il sonne avec insistance. Alex fait entrer Jordan.

Jordan demande s'il a fait les démarches auprès de l'administration pour le renouvellement de la carte d'identité. Alex répond qu'il a oublié. Il explique que sa mère est parfois insupportable, et demande des efforts chronophages.

Jordan se fâche. Il déboutonne son pantalon et sort son arme secrète de son étui. Alex est contraint de baisser son pantalon et son boxer.

Jordan se place derrière Alex. Il lui immobilise les deux mains dans le dos, met sa bite au bord du trou et pousse entièrement, commence à faire des va et vient. Jordan gueule à Alex : "Tu vas les faire, tes papiers!" tout en le cognant avec virilité.

Alex sent bien les 18 cm passer.

Alex promet à Jordan qu'il ira à la Mairie pour ses papiers dès le lendemain. Jordan est aux anges. Tout à coup, Jordan ne se sent plus, il jouit abondamment dans les fesses de Alex.

Jordan se retire. Jordan annonce en remettant son pantalon qu'il passera la semaine suivante pour vérifier s'il a le récépissé de dépôt de dossier.

Jordan sort de la maison et repart chez lui.

Alex est en sueur. Le jus de Jordan coule à terre. Alex est obligé de nettoyer. Pendant qu'il nettoie, Alex se dit qu'il va faire exprès d'oublier pour se faire cogner encore une fois.

16 oct. 2022

Le Boucher

Nouveau départ, dans une nouvelle ville pour moi. Suite à un déménagement récent, j’ai dû prendre de nouvelles habitudes... de nouveaux commerces à fréquenter… Et voici l’histoire gay avec mon boucher.

Chaque semaine, je passais régulièrement à la boucherie du coin, et j’étais très souvent servi par le même boucher.. ils étaient trois.

Jeune gars, très charmant, sur le début de la trentaine, avec une peau halée, un sourire à faire craquer n’importe qui…

Au fil du temps, et voyant que je venais de manière fréquente, une familiarité s’installa entre nous, et j’ai appris qu’il s’appelait Guillaume.

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La GayLife.fr

11 oct. 2022

JM aux champs...

Par une chaude fin d'après-midi, JM fait sa marche quotidienne avec son jockstrap fétiche bleu pour tout vêtement. Il a juste son sac à dos et ses baskets sur lui. Il longe un champ de cannes à sucre où des ouvriers se démènent pour couper et ramasser les cannes pour la coopérative sucrière. JM s'approche d'un peu trop près des ouvriers. L'un d'eux remarque JM en jock. Cet ouvrier fixe du regard ce joli petit cul dans ce jock en se pinçant les lèvres. Il se dit qu'une petite pause récréative lui ferait du bien.

L'ouvrier est torse nu. Il sent la sueur du travail. Cette odeur peut faire fuir certains, mais contrairement aux autres, elle excite JM. Son jock bleu gonfle, qui ressemble maintenant à un chapiteau de cirque. L'ouvrier, en voyant ce cul, bande. Il s'approche de JM. Il baisse sa cote de travail. Il ne porte pas de sous-vêtement. JM se met à genoux. L'ouvrier se tourne et offre à JM son anus glabre. JM se met à mettre son nez et sa langue autour du trou pour lubrifier. L'ouvrier est très agréablement surpris par ce que lui fait JM.

Au bout de quelques minutes, JM présente son sexe entre les fesses de l'ouvrier. Sans que l'ouvrier ne dise mot, JM s'introduit dans les fesses de son crush de l'instant. JM balance son bassin d'avant, en arrière, et ce plusieurs fois. Il atteint l'extase et ... lui inonde l'arrière-train. L'ouvrier dit à JM, que maintenant, c'est à lui de recevoir. JM, dans l'instant, ne comprend pas bien. L'ouvrier fait tourner JM pour qu'il lui rende la pareille. La stupeur de JM a grimpé en flèche quand il a aperçu l'outil de l'ouvrier.

L'ouvrier est prévoyant. Quand il va travailler aux champs, il prend soin d’emporter dans ses poches, un flacon de lubrifiant.

JM cambre un peu les reins, écarte les cuisses. L'ouvrier s'accroupit et lèche longuement le trou de JM qui semble très bien apprécier le travail de l'ouvrier. L'ouvrier se relève, prend le flacon de lubrifiant dans sa poche, en étale bien sur son sexe et sur l'anus de JM. Très vite, JM sent quelque chose de bien dur se poser sur son œillet. L'ouvrier pousse un peu et reste un instant. L’œillet s'ouvre sans grande difficulté. L'ouvrier reprend sa poussée. JM n'a pas mal.

Maintenant, l'ouvrier est intégralement introduit. Il demande à JM si ça va bien. JM répond qu'il va bien. L'ouvrier commence alors des mouvements effrénés de va-et-viens dans les fesses de JM. Au bout de cinq ou dix longues minutes d'ébats, l'ouvrier ne se sent plus et explose abondamment au fond de la cavité de JM. L'ouvrier se retire doucement pour ne pas que JM ne soit blessé si l'ouvrier doit se retirer brusquement.

Juste après que l'ouvrier redescende de son "nuage", il demande à JM s'il est d'accord pour revenir dans le coin un autre jour pour lui permettre d'évacuer ce stress de la coupe des cannes.

JM accepte bien volontiers.

L'ouvrier remonte sa cote de travail et retourne vers ses collègues afin de terminer la coupe des cannes de la parcelle. JM, lui continue sa marche. Pendant qu'il marche, des gouttes de jus lui coule le long de jambes.

Heureusement, dans son sac à dos, il prend un paquet de mouchoirs jetables. Il sort un mouchoir et s'essuie régulièrement avant de rentrer chez lui dans son jockstrap bleu qu'il n'a pas quitté.

9 sept. 2022

Alex sous les orages...

Alex est en t-shirt et jockstrap kaki, devant sa télé pour regarder le journal d’informations. Le bulletin météo en fin de journal est un peu alarmiste. Un orage violent est sur le point d’arriver sur la région. Le présentateur météo recommande de ne pas sortir, sauf nécessité absolue.

Alex, tout grand gaillard qu’il est, ne se contrôle plus car il a peur des orages. Il prend son smartphone et appelle son meilleur copain Jordan qui répond qu’il arrive dans les dix minutes.

Dix minutes passent. Jordan, un beau militaire hétéro, trentenaire, musclé, blond, yeux clairs, et célibataire, frappe à la porte de l’appartement. Alex vient ouvrir à Jordan. L’orage commence à gronder au loin et n’est pas encore là, que Alex est déjà en panique. Jordan entre et referme la porte à clé.

Comme Jordan et Alex se connaissent depuis longtemps, Jordan propose à Alex de passer la nuit ensemble. Alex est d’accord. Alors, Jordan lui suggère de débrancher tous les appareils électriques sensibles aux surtensions et coupures de courant. Alex éteint et débranche tout le petit électroménager, la télé, l’ordinateur portable et la box internet pendant que Jordan ferme les volets de l’appartement.

Jordan demande à Alex si ça va aller comme ça. Alex lui demande s’il veut bien dormir à côté de lui dans le lit. Jordan accepte. Alex va à la salle de bains pour se laver un peu et aller se coucher tout nu. Alex soulève la couette et s’y glisse.

Un premier tonnerre se fait entendre. Alex sursaute et se met en transe. Il tremble. Jordan se déshabille entièrement et rejoint Alex sous la couette. Jordan se colle à lui. Il se trouve que Jordan est bien viril.

Un deuxième coup de tonnerre vient. Alex demande à Jordan de mieux se coller à lui. Avec la peur de l’orage, Alex sue de partout. Cette odeur de sueur vient aux narines de Jordan et l’excite. L’entrejambe de Jordan durcit et grossit à vue d'œil. Le sillon interfessier d’Alex s'humidifie. Jordan est surpris de cette humidification. Alex dit à Jordan que ça lui arrive presque souvent aux événements de stress, et plus particulièrement aux orages.

Jordan est rassuré sur ce fait, mais pas complètement. Alex rêve en secret que son pote Jordan le sodomise. Alex demande alors à Jordan s’il est prêt à tout faire pour l'aider à passer une très bonne nuit paisible. Jordan veut bien l’aider. Alors, Jordan frotte lentement son sexe d’un beau gabarit entre les fesses d‘Alex. L’anus duveteux d’Alex s’ouvre. Jordan pose son gland et le pousse lentement et complètement dans l’anus.

Jordan enserre Alex avec ses bras musclés en guise de protection.

Jordan, toujours excité, commence à remuer du bassin. Alex sent les va-et-viens de Jordan dans son conduit. Son rêve secret se réalise enfin. Jordan baise le cul d’Alex en alternant force et douceur.

Au bout d’un moment, Jordan est pris de spasmes. Jordan se met à jouir au plus profond d’Alex.

Les deux garçons s’endorment paisiblement, collés l’un dans l’autre jusqu’au petit matin.

Au réveil, l'orage s'est éloigné. Jordan est tout honteux en découvrant ce qu’il venait de faire subir à son meilleur pote, qui le rassure que ce n’est pas grave.

Alex et Jordan se lèvent, nus, pour aller prendre une douche afin d’éliminer cette odeur de sueur et de sexe.

Une fois la douche prise, Alex et Jordan s'habillent et vont à la cuisine pour prendre leur petit déjeuner, après avoir rebranché la bouilloire et la cafetière. Jordan est encore tout confus. Il ne comprend pas. Il avoue même que pénétrer un anus n'est pas si dégueulasse que ça et que, peut-être, si un autre orage dans l'avenir venait à arriver, il reviendra lui tenir compagnie.

Alex n’en croit pas ses oreilles de cette proposition très alléchante. Il l’accepte.

Jordan prend alors sa veste et part.

Une fois que Jordan s’est éloigné dans la rue. Alex ferme le poing et prononce avec conviction un “Yesss” comme s’il venait remporter un défi.

3 sept. 2022

Rencontre au parc...

Ce matin, j'ai eu de l'inspiration soudaine en voyant un dessin sur un compte Twitter.
Voici l'image en question ...

ANG dessin gars nu pneu balançoire

et mon récit...


C’est l’histoire d’un père quarantenaire, brun, qui va au parc avec son fils de onze ans. Ce père est assis sur un banc en train de surveiller son fils en train de jouer aux jeux du parc. Ce père s’assoupit un instant et ne voit pas que son fils s’est éloigné.

Le fils revient vers son père. Il le secoue et l’appelle en état de stress. Le père se réveille en sursaut et lui demande ce qu’il y a. Le fils répond qu’il a vu un homme tout nu sur une balançoire un peu plus loin.

Le père, choqué, dit à son fils de rester assis sur le banc et de ne pas bouger. Il va vers cet homme trentenaire tout nu. Il gueule son agacement que c’est une honte de se balader tout nu dans un parc où jouent des enfants. Le papa remarque discrètement que ce trentenaire est déjà bien outillé au repos.

En deux secondes à peine de réflexion, il se ravise d’appeler la Police. Il revient rapidement vers son fils sur le banc. Il prend un bout de papier, griffonne un numéro de portable et l’insère dans un de ces oeufs surprise en plastique jaune très apprécié des jeunes enfants et qu’il enveloppe de cellophane pour le rendre étanche. Puis il retourne vers ce monsieur. Arrivé à la hauteur de cet homme, il lubrifie de salive l’œuf de plastique et l’insère dans l’anus de l’homme. Le père donne une petite fessée sur le cul du monsieur en faisant jurer de quitter le parc sur le champ et qu’il ne doit plus apparaître tout nu, sans quoi il appelle la Police et porte plainte pour exhibitionnisme aggravé.

Ce père et son fils reviennent chez eux. C’est l’heure du dîner. La femme et mère du gamin part travailler puisqu’elle est infirmière de nuit à l’hôpital à une demie heure de voiture de chez elle. Mais avant de partir, elle emmène son fils au lit, lui souhaite une bonne nuit en l’embrassant tendrement.

La mère s’éloigne de son domicile.

Le père se couche, tout nu, dans le lit conjugal. Tout à coup, le portable du père vibre plusieurs fois. Il regarde son écran. Ce numéro affiché lui est inconnu. Il finit par décrocher. C’est le trentenaire exhib rencontré plus tôt dans le parc.

Le père explique au téléphone qu’il ne s’attendait pas à ce qu’il rappelle aussi vite. Il s’explique sur la raison du 06 sur le bout de papier. Il dit qu'il a toujours eu envie d’expérimenter la sodomie passive, depuis son adolescence, sans avoir eu d’occasion pour passer à l’oeuvre. Et c’est en le voyant tout nu dans le parc, qu'il s'est dit que ce sera lui qui le déflore son anus. Le jeune homme demande pourquoi sa femme ne le lui fait pas, car il existe des accessoires de type “gode-ceintures” que le femmes peut mettre autour de la taille pour enculer leur partenaire masculin. Le père répond qu’il n’a jamais osé lui demander de peur qu'elle ne comprenne pas.

Le trentenaire comprend cette situation. Il en est honoré de cette requête. Il dit au père qu’il accepte volontiers de lui faire cet immense honneur de le dépuceler son trou du cul. Ensuite, il demande quand il peut le faire. Le père demande s’il est libre rapidement. Le trentenaire répond qu’il habite la ville et qu’il peut venir de suite.

Le père renseigne l’adresse de son domicile. C’est un quartier calme. Il précise bien qu’il ne doit pas faire de bruit en arrivant pour éviter de réveiller son fils, et ainsi que ce secret ne soit dévoilé à sa femme.

Un quart d’heure plus tard, le jeune homme tout nu gratte ses ongles sur la vitre dépolie de la porte d’entrée. La porte s’ouvre toute seule car le père l’a entrouverte en l’attendant. Le trentenaire entre. Le père arrive nu dans l’entrée. Les deux hommes se serrent la main. Le jeune s’appelle Michael. Michael et le père descendent au sous-sol pour procéder au dépucelage anal tant attendu. Michael se met devant l’évier, les jambes peu écartées. Le père se met à genoux, prend le sexe à la main et le porte à ses lèvres. Il ouvre la bouche et passe la langue sur le bout du gland. Michael soupire d’aise. Il aime ça. Le père continue sa suce, un peu maladroitement. Michael le guide en silence en lui posant une main derrière la tête. Michael commence à être bien excité. Il bande bien. Michael lui annonce que ça être LE moment. Michael fait mettre le père face à l’évier et écarte les jambes. Michael se baisse, plonge son nez entre les fesses et commence à lécher le trou rasé du père. Michael se délecte de cet anus vierge. Une fois bien lubrifié de salive, Michael se redresse et présente son gros gland à l’orifice. Michael redemande s’il est prêt. Le père accélère sa réponse en prenant à la main la grosse bite de dix-neuf centimètres bien épais et se l'insère lui-même dans son cul.

Michael commence alors une baise de plus en plus chaude. Le père est extasié de voir un si jeune garçon faire aussi bien l’amour avec un homme.

Au bout d’un moment, Michael sent son jus monter en lui. Il est sur le point d'inonder le cul serré du père. Michael en un dixième de secondes libère un jus très abondant au fond du conduit. Après avoir tout expulsé, Michael se retire doucement pour permettre à l’anus du père de se refermer doucement afin d’emprisonner cette crème vitaminée.

Michael et le père remontent dans l’entrée de maison. Ils échangent leurs sentiments respectifs via l'envoi de plusieurs sms. Michael sort de la maison, la queue entre les jambes, tout joyeux.

Le père se triture un instant les méninges comment il va garder le numéro de Michael pour un hypothétique futur rendez-vous nocturne. Il a beaucoup aimé les coups de reins de Michael.

Le père va chercher un grand verre à la cuisine. Il le présente à son trou, et récupère la semence de Michael. Il l’avale. Il prend maintenant le gant de toilette sur le corps et sur son trou. Il prend ensuite la serviette de bain pour se sécher.

Il part se coucher et s’endort facilement.

FIN

14 juil. 2022

Taram Boyle

Taram est un écrivain français de récits gays tout droit issus de son imagination débordante.

Il a publié plusieurs livres.

bannière site Taram BillyBrandt

Il y a plusieurs semaines déjà, j'ai reçu en cadeau un exemplaire de "L'amant merveilleux".

Voici la couverture...

6 juin 2022

Virée aux States

Par une chaude journée à rouler en voiture en plein désert, sur la mythique "66 Road" aux États-Unis, un motard de la police routière me colle aux basques depuis un bout de temps, jusqu'à ce que ce motard allume tous ses feux pour me faire ranger sur le côté. Il descend de son cheval d'acier, vient vers moi.

C'est un mec latino, trentenaire bien musclé, bronzé, des Ray-Ban aux verres fumés sur le nez, un pantalon de cuir moulant sur des cuisses surdimensionnées. À ma hauteur, il me fait baisser la vitre latérale et me demande mes papiers. Je suis hypnotisé par la grosse bosse entre ses jambes. Je sais qu'il ne faut pas plaisanter avec la police américaine. Je lui présente mes papiers. Il recule et coince mon permis de conduire américain provisoire avec la pince de son stylo qui se trouve dans sa poche pectorale gauche de sa chemise, et fait le tour de la voiture. Il retourne vers sa moto et prend la radio pour demander une vérification dans les fichiers.

À peine dix secondes plus tard, il m'annonce que mon permis est en règle. Il me demande alors si j'ai une vague idée du pourquoi, il m'a mis sur le côté, en se prenant son paquet à pleine main. Que dois-je faire (marmonne-je intérieurement) ? Et puis, comme il a mon identité par le permis. Je ne peux qu'accéder à sa demande. Je devine que si je lui donne pas satisfaction sur le champ, il allait me dénoncer aux autorités fédérales et que mon retour en France serait très compromis. Il se colle à ma portière et me laisse déboutonner la braguette de son pantalon. Le bougre, il n'a pas de sous-vêtement. J'en sors un truc de ouf. C'est une épaisse tige de dix-neuf ou vingt centimètres (à vue d'œil). Je m'arrange pour positionner ma bouche à la hauteur de son sexe. J'ouvre la bouche aussi large que je peux. Il pousse son bassin. Je manque de m'étouffer avec. Il me donne même des conseils pour que la fellation (à peine forcée) se fasse sans douleur.

Au bout d'un bon quart d'heure, il se vide littéralement au fond de ma gorge.

Après avoir fini, il se reboutonne, me redonne mon permis et me laisse reprendre mon périple.

8 mai 2022

La pute du régiment

C’était à une époque où le Service National était encore en vigueur.

Je suis convoqué devant le colonel. Le colonel me confie une mission très spéciale.

Le colonel me dit que le moral d'une de ses sections baisse dangereusement. Avec son subalterne direct, il a arrangé un coin avec une de ces cantines en métal recouverte d'une couverture roulée et d’une grande bâche. Je dois me faire attacher les mains et les pieds solidement à la grosse et lourde cantine avec des mousquetons et des chaînes. Je dois me soumettre aux assauts bestiaux de toute une section de cinquante soldats sans parler. L'idée me séduit. Je demande quand cette mission débute.

Le colonel me répond que ça commence dès après avoir quitté le bureau. Je dois aller attendre tout nu en jockstrap kaki dans un coin de la caserne, proche du stand de tir.

C’est l’après-midi, le colonel convoque la section en question dans la cour d’honneur. Il leur ordonne, d’une main de fer, de se déshabiller entièrement sur le champ, de se diriger nus vers le stand de tir en ordre serré et en rythme. Ils doivent seulement avoir leurs armes respectives en bandoulière. Bien qu’un peu estomaqués d’un tel ordre venant du colonel, ils obéissent.

Une fois déshabillés, et remis en formation, ils marchent nus d’un pas cadencé vers le stand de tir.

Arrivés à proximité du stand de tir, ils me voient cul nu en jockstrap kaki. Le sergent-chef de section les fait stopper net. Il place la section au garde à vous et leur relaye ce que veut le colonel. Le sergent-chef se rapproche de mon cul. Il crache abondamment sur mon trou glabre. Il étale bien sa salive et repart vers le groupe. Le sergent-chef s’agenouille et suce la bite du premier de section.

Le premier soldat sait maintenant ce qu’il lui incombe. Il approche, la bite dure. Il s’insère facilement en moi. Il commence à me baiser doucement. Le sergent-chef dit de se dépêcher. La section n'a pas que ça à faire. Donc, ce soldat me pilonne l’anus avec grande vigueur. Après avoir bien joui en moi, il revient prendre sa place dans la section. Le deuxième soldat derrière lui attend ce qu’il doit faire. Le sergent-chef lui ordonne de faire demi-tour sur place et s'agenouiller pour le faire bander. Une fois en forme, le deuxième soldat sort des rangs sur le gauche, vient vers moi et me pénètre tout aussi virilement. Le deuxième, fait son affaire et jouit en moi. Il repart vers les autres, se replace dans les rangs. Il s’agenouille et suce la bite du soldat derrière lui. Le troisième, en forme, vient me secouer le cul pendant cinq bonnes minutes. Il me remplit de son jus. Il se retire et revient dans la section. Il suce la bite de derrière lui. Ce petit défilé dure un moment jusqu’à ce que je sente un gros sexe dur et plus agé. Je ne me retourne pas. Je réalise que la section est partie au stand de tir pour tirer leurs séries de cartouches.

Je m’interroge qui est en train de me baiser. Cette personne ne dit aucun mot et ne me touche pas.

Après plusieurs coups de bassins, mon conduit anal se remplit encore un peu plus. Il est à la limite de déborder. Cette personne se retire et repart aussi silencieusement qu’elle est arrivée.

Plusieurs minutes passent, je réalise enfin que je viens de me faire remplir par le colonel.

Le sergent-chef de la section, lui aussi, se vide dans mes entrailles. Ce sergent est un beau black très très bien outillé. Il a un truc de malade, un monstre de vingt-cinq centimètres. Une fois l’affaire faite, il me dit de garder la pose pour que mon cul se referme bien.

J'obéis avec attention.

Le soir même, peu avant le dîner au réfectoire, le colonel me rappelle dans son bureau.

Je me présente à sa porte. Elle n’est pas fermée. Il me demande de rentrer et de fermer le verrou. Le colonel a le pantalon sur les chevilles. Son commandant est affairé sous le bureau, entre les cuisses du colonel.

Le colonel donne congé à son commandant. Il me dit de passer à mon tour sous le bureau. Mes soupçons de l’après-midi se confirment.

Le colonel me demande de le sucer. Je me mets à l'œuvre. Le colonel saisit ma tête et me force le passage de ma gorge. Il jouit au fond de ma bouche, ses poils pubiens gris me chatouillent les narines. Il me force à avaler.

Il relâche la tête après avoir joui de sa dernière goutte. Je me relève et me mets au garde à vous. Le colonel me lance, que lorsque je viens le voir seul le soir, je n'ai pas le devoir de me mettre au garde à vous. Je n’ai juste qu’à me faire annoncer par le commandant.

Il me fait promettre de garder le secret comme si c’est un dossier “SECRET DÉFENSE”.

Je tourne les talons et sort du bureau.

Je me dirige vers le réfectoire pour aller manger.

(À SUIVRE ...)