Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

22 oct. 2020

Louka chez les bretons, partie 2

Partie 1 de ce texte... ICI


Louka arrive à la gare de St Pancras de Londres. Max attend sur le bout du quai tenant un carton sur lequel est écrit « LOUKA ». Max est un mec de trente-huit ans environ, plus grand, plus massif que Louka. Il est blond-roux, bilingue.

Louka descend du train et s'avance sur le quai. Il voit Max avec son panneau de carton devant lui. Il s'approche de Max. Max et Louka se serrent la main. Max demande à Louka s'il a fait bon voyage. Max prend le gros sac de Louka jusqu'à la voiture. Il le pose sur la banquette arrière et fait monter Louka à l'avant coté gauche de la voiture. Max monte à l'avant-droite. Max envoie un SMS à Marek par lequel Louka est bien arrivé à Londres.

En chemin vers son domicile, Max questionne Louka sur la raison de ses lacunes en anglais. Louka lui répond qu'il n'a pas pu retenir beaucoup de choses au lycée à cause d'une vieille professeure coincée dont les cours étaient inintéressants et très « ennuyeux ».

Max voit tout de suite le problème. Il dit alors à Louka que le vrai travail commencera le lendemain matin et qu'il ne va pas l'embêter à peine arrivé.

Ce que Louka ne sait pas encore, c'est que Max a une méthode de choc, très personnelle et très efficace pour aider à la mémorisation de la langue de Shakespeare.

Vu l'heure tardive, Sandy (la femme de Max) est en train de dormir car elle doit se lever aux aurores pour son travail à l’hôpital. Max explique dans les grandes lignes qu'il aura dès le lendemain matin, un appareil sur lui, tout le temps de ces quinze jours. Cet appareil intelligent couplé en Bluetooth avec un smartphone (verrouillé par Max et porté à la ceinture) contenant tout le dictionnaire Harrap's anglais et que si ce smartphone détecte une erreur de vocabulaire ou de grammaire, l'appareil délivre une micro-décharge électrique. Bien sûr, l'intensité de la décharge sera proportionnelle à cette faute. Max ne dévoile pas encore sous quelle forme prend ce fameux outil.

Max et Louka vont se coucher chacun de leurs cotés. Max emmène Louka dans la chambre d'invités qui est mitoyenne de celle du couple. Max indique à Louka qu'il viendra le réveiller de bonne heure le lendemain matin pour commencer sa première leçon d'anglais. Louka se déshabille entièrement pour passer sa première nuit londonienne.

À SUIVRE ...

15 oct. 2020

JM et les coupeurs de cannes

Par une fin de matinée estivale, JM s'habille léger en prenant son maillot à bretelles bleu, son jean coupé sous les fesses et ses baskets. Il dit à sa mère qu'il ne déjeune pas à la maison et qu'il va se balader un moment. Il prépare dans son sac à dos, un casse-croûte, un fruit et une gourde d'eau.

Il sort de chez lui et tranquillement avec son appareil photo autour du cou, prêt à immortaliser la faune et la flore le long de son parcours. Pendant sa progression, il remarque de jolis endormis et des papillons colorés qu'il prend aussitôt en photo.

Loin des habitations, pour faire corps avec la nature, il enlève tout ce qui ressemble de près ou de loin à du tissu. Néanmoins, il garde que ses baskets, ses lunettes de soleil et sa casquette « camouflage » estampillée « AD ». Il met ses affaires dans son sac à dos.

Il sait que, pas très loin, il y a une plantation de cannes à sucre. À cette période de l'année, une bonne quinzaine de saisonniers sont employés par l'exploitant agricole pour couper ces cannes de manière très artisanale à l'aide de grands coupe-coupes très bien aiguisés.

Après une bonne demie heure de marche, il arrive à proximité de cette exploitation agricole. Il ralentit sa marche. Il s'arrête même. Il pose son sac à terre. Comme il est l'heure du déjeuner, il décide de prendre son casse-croûte. Il se penche en avant pour prendre son déjeuner en faisant dos au champs de cannes tout en prenant son temps pour offrir son sillon fessier au soleil.

JM remarque deux ouvriers en salopettes de jean sans même porter de t-shirt. L'un d'eux est de type indien, la trentaine, pas très grand, cheveux noirs, un poitrail velu. L'autre est un black, brun, plus grand que l'autre, musclé et rasé. JM remarque aussi que ces deux ouvriers sont très complices entre eux. Il réfléchit un peu pourquoi ces deux-là sont aussi proches. Est-ce le fait qu'ils travaillent à la plantation depuis un bout de temps ensemble ? JM veut en avoir le cœur net.

Donc, JM s'assoit à terre en faisant face au chantier de coupe de cannes, en écartant les jambes, cette fois-ci. Entre le casse-croûte et le fruit, il est excité par la vue d'eux et entame un tripotage insistant en espérant d'être repéré par ces deux mecs.

Ces deux beaux ouvriers en salopettes amples sont en train de déjeuner non loin de JM. Il va découvrir plus tard, que ces deux gars ne portent absolument rien sous leurs habits.

Ne les voyant pas bouger, il se lève et va passer devant eux, tout nu. Il se permet de la secouer un petit peu pour leur faire passer un message. Ces deux ouvriers en salopette ne sont absolument pas choqués. Ils semblent même très intéressés par le spectacle que leur offre JM.

JM revient vers son sac et attend. Une minute plus tard, Pascal et Vikash viennent à coté de JM. Ils s'assoient tous les deux en face de JM. JM reprend une session de tripotage en fixant Pascal, le black. Dans son regard, JM veut que Pascal lui présente son cul pour qu'il le lui lèche. Pascal défait sa salopette entièrement et plaque ses fesses duveteuses sous le nez de JM. Vikash, lui est bien excité par ce qu'il voit et enlève lui-aussi sa salopette. Vikash se place sous Pascal, qui est courbé en avant avec JM affairé à lui bouffer le cul. Vikash se met à sucer le gros zizi noir de Pascal. Vikash tente d'avaler ce truc mais n'y arrive pas. Alors, Pascal dit à Vikash que s'il n'arrive pas à avaler par la bouche, il va le manger par ses fesses. Pascal fait lever Vikash et le prend virilement par la taille. Pascal touche avec son gland, l’œillet poilu de Vikash. D’un coup, Pascal pousse du bassin et pénètre Vikash qui résiste à l'envie de gueuler pour éviter d'alerter les autres ouvriers, beaucoup moins ouverts d'esprit. Pascal jette un œil vers JM. Il consent à recevoir dans son anus, le sexe dur comme du bois de JM.

Pendant un bon moment, JM, Pascal et Vikash se donnent du plaisir ensemble. JM est sur le point de jouir. Il ne se retient pas et lâche sa jute dans le cul black. Il se retire et vient devant Vikash, qui lui est sur le point de jouir aussi. JM ouvre la bouche et tire la langue pour effleurer le dessous du gland indien. Les mouvements saccadés de coups de boutoirs de Pascal font accélérer la jouissance de Vikash qui explose toute sa jouissance dans la bouche de JM. Pascal, lui explose sa semence crémeuse et vitaminée dans les profondeurs anales de Vikash. JM veut plus de vitamines pour son déjeuner. Il fait déplacer Pascal pour plaquer son bouche sur l'anus velu de Vikash et ainsi récolter le précieux nectar.

Pascal et Vikash, redescendus de leurs nuages, renfilent leurs salopettes respectives et repartent à leur travail, des étoiles pleins les yeux car ils espèrent revoir JM très bientôt.

26 juil. 2020

Jean-Michel et Guillaume

Depuis pas mal de temps, Jean-Michel fantasme sur le site de Guillaume. Guillaume est un coach sportif super sexy qui propose des séjours de remise en forme à la campagne. Ce n’est pas très loin de chez Jean-Michel et l’idée de se payer un week-end avec ce beau mec et de suer avec lui l’excite vraiment. 

A la fin du printemps, Jean-Michel se décide et envoie un mail à Guillaume pour lui commander un séjour privé en indiquant ses disponibilités. Quelques jours plus tard, Guillaume lui répond qu'il a une date à la mi-juillet.

Jean-Michel et Guillaume prennent RDV pour un vendredi soir jusqu'au lundi matin de bonne heure pour le week-end du 14 juillet et conviennent du tarif.

Jean-Michel attend impatiemment ce week-end. Il regarde sur son compte bancaire s'il a l'argent pour payer Guillaume. C’est un peu cher, c’est vrai, mais il en a vraiment envie. Ce week-end lui fera le plus grand bien.

Le fameux jour arrive enfin. La veille, il a préparé son sac sans trop savoir quoi prendre… Ils n’ont pas trop discuté de ce qu’ils allaient faire. Il met ses fringues de sport, prend quelques sous-vêtements de réserve, et un jockstrap car il aime faire du sport confortablement. Il hésite à prendre des capotes, mais se dit, finalement, qu’il n’y va pas pour baiser…

En fin d’après-midi, Jean-Michel se rend à la gare et achète un aller-retour pour se rendre chez Guillaume.

Le train arrive en gare, il monte dans la rame et s'installe en se demandant vaguement s’il a bien fait. Dehors, il commence à faire vraiment chaud.

Après trois bonnes heures de trajet, Jean-Michel arrive à destination.

Guillaume l'attend dans le hall de la gare. Il est encore plus canon que sur les photos. En débardeur et en shorts, il détonne un peu dans la gare, mais son sourire accueillant détend tout de suite Jean-Michel.

Guillaume et Jean-Michel se serrent la main et Guillaume accompagne Jean-Michel jusqu'à sa belle voiture cabriolet.

En chemin, Guillaume demande à Jean-Michel si tout va bien, s’il est prêt pour trois jours de sport. N’osant pas trop le regarder, Jean-Michel répond que oui, qu’il est super content d’être là. Avec le beau temps et cette chaleur, tout se passera bien. En vrai, il est plus que ravi ! Guillaume respire la force et le bien-être. Rien que de voir ses cuisses dégagées par son petit short l’excite énormément.

Ils arrivent chez Guillaume et descendent de voiture. Jean-Michel prend son sac sur la banquette arrière et suit Guillaume dans la maison.

Le soir, Guillaume prend une carte touristique du coin pour étudier un parcours.

Il annonce qu’ils partiront le lendemain au lever du soleil pour une rando.

Guillaume a installé Jean-Michel dans la chambre d'amis. C’est simple et propre, avec un grand lit en bois comme à la campagne.

La nuit a été très chaude et juste avant le lever du soleil, Guillaume vient réveiller Jean-Michel. Il entre dans la chambre et s'arrête net en voyant que Jean-Michel dort torse nu et en jockstrap.

Le voyant allongé ainsi sur ce lit, Guillaume se dit que Jean-Michel est quand même un beau mec avec un beau cul.

Et que, peut-être, il essaiera de lui faire l'Amour.

Guillaume réveille Jean-Michel en lui faisant une petite claque sur les fesses.

Jean-Michel se réveille un peu difficilement, tellement il était bien dans son lit et dans ses rêves.

Guillaume lui dit qu'il va être l'heure de partir et qu'il ne faut pas trop traîner car il y avait aussi quelques endroits à visiter.

Guillaume et Jean-Michel passent à la cuisine et prennent un petit déj rapide. Guillaume est déjà habillé, mais Jean-Michel n’a pas eu le temps de passer quoi que se soit. Il prend son café en jock pendant que Guillaume termine de préparer son sac. En un quart d'heure, ils chaussent les chaussures de marche et partent sur les chemins escarpés repérés sur la carte la veille au soir.

C'est Guillaume qui ouvre la marche, suivi de près par Jean-Michel. Jean-Michel s'aperçoit que Guillaume ne porte rien qu'un short moulant sous un pantalon de survêt.

Au cours de la matinée, ils s’arrêtent pour boire de l'eau. En lui passant sa gourde, Guillaume lui demande si tout va bien, même avec cette chaleur.

De voir Guillaume en maillot, Jean-Michel commence à être excité. Ses épaules larges et bronzées brillent sous le soleil. Ses bras sont hyper développés et ses biceps tout ronds, comme ses fesses contenues dans le satin du mini short. Jean-Michel se dit qu’il pourrait marcher des heures comme ça à suivre ce cul moulé.

Vient l'heure du midi.

Ils mangent les deux casse-croûtes jambon tomate et les deux pommes que Guillaume avait préparé avant de partir.

Guillaume est toujours très attentionné. Il est intarissable sur le coin qu’ils traversent. Il prend aussi son temps pour expliquer à Jean-Michel à mieux gérer sa respiration, à économiser ses jambes dans les descentes et à bien appréhender les montées.

Après le déjeuner, ils reprennent leur chemin et Guillaume propose à Jean-Michel de prendre la carte et de marcher devant. C'est un test pour voir s’il était capable de se diriger dans la nature avec une simple carte.

Jean-Michel est maintenant devant et Guillaume le suit à environ 1 mètre derrière.

Jean-Michel s’amuse d’imaginer qu’à son tour Guillaume lui mate le cul et qu’il ne sait pas, qu’il n'a pas quitté le jockstrap qu'il portait cette nuit.

Durant la marche, les fesses remontées de Jean-Michel se balancent sous son short en synthétique. Au début, il faisait bien attention à bien bomber les fesses, mais progressivement, la marche devient de plus en plus difficile et la chaleur est de plus en plus forte.

Guillaume lui répond qu'il peut se mettre plus à l'aise, que personne fréquente cet itinéraire.

Jean-Michel ne se laisse pas démonter et enlève son short synthétique un peu ridicule. Il se retrouve cul nu et en jockstrap sur le chemin.

Derrière, Jean-Michel est en en train de délirer intérieurement. Guillaume a vraiment un beau cul ! A chaque pas, ses fesses glissent l’une contre l’autre, remontant légèrement la large ceinture du jock. C’est assez hypnotique ce mouvement régulier huilé par la sueur dans les poils.

Il sait que, tout compte fait, une expérience charnelle et purement sexuelle avec un garçon, ça n'a jamais fait de mal !

L’après-midi avance. Le soleil tape de plus en plus fort. La fatigue se fait sentir, mais Guillaume et Jean-Michel marchent encore.

La marche a été très longue et Guillaume dit qu'ils méritent bien une nuit à la belle étoile.

Jean-Michel répond que dormir à la belle étoile ne le dérange pas du tout, mais demande comment ils vont faire, sans matériel ni rien.

Guillaume lui annonce qu’il a pensé à tout et sort de son sac une couverture. Il ajoute qu’en effet, les nuits peuvent être fraîches. Mais que, s'il est d'accord, il se colleront ensemble pour garder la chaleur corporelle. Mais que, s'il est d'accord, il se colleront ensemble pour garder la chaleur corporelle. Sans se démonter, Jean-Michel répond que ça ne le dérange pas et que même, parfois, il aime beaucoup ça, que quelqu'un se colle à lui…

Guillaume étale la couverture au sol. Jean-Michel, épuisé, s'allonge sur le côté montrant son cul orné du jockstrap et Guillaume s'allonge à son tour et se colle à Jean-Michel, qui s’est endormi comme une masse.

Le fait de se rapprocher comme ça, Guillaume se met à bander. Il frotte son sexe en train de durcir le long de la raie de Jean-Michel.

Jean-Michel, ayant le sommeil un léger, ouvre un œil. Il sent quelque chose de cylindrique contre ses fesses.

Il se rend compte que Guillaume va le pénétrer par derrière. Il se laisse faire ; il laisse Guillaume le sodomiser.

Guillaume crache un peu de salive sur des doigts et enduit l'anus imberbe de Jean-Michel avant de s'enfoncer délicatement et entièrement. Jean-Michel ne dit rien.

Il se détend parce que le sexe de Guillaume est d'un assez beau gabarit. Guillaume se retire un très court instant et remet de la salive pour s'insérer de nouveau.

Jean-Michel semble aimer ce que Guillaume lui fait. Guillaume enlace Jean-Michel qui sent ses biceps se durcir contre ses épaules. Il commence un va-et-vient dans son cul. Il s'y enfonce comme dans du beurre tellement Jean-Michel est détendu. Puis, Guillaume augmente la cadence de ses coups de bassins.

Jean-Michel couine de plaisir, il dit à Guillaume qu'il peut y aller à fond, il est prêt à tout recevoir, il aime tellement ce qu’il lui fait !

Alors, Guillaume pousse plus fort et plus vite. Il s’accroche encore plus fort aux épaules de Jean-Michel. Il sent venir. Il ralentit un instant, puis repart de plus belle. Il râle dans la nuque de Jean-Michel qui sent son corps se tendre contre le sien et se détacher, puis revenir le frapper de toutes ses forces. La queue de Guillaume le déchire, s’avance toujours plus loin dans son cul, dilatant son anus à chaque passage de sa queue veineuse. Sachant que personne ne les entendra, il crie de toutes ses forces son plaisir d’être pénétré comme ça.

Guillaume n'en peut plus. Encouragé par enthousiasme de Jean-Michel, il ne se retient plus et jouit tout ce qu'il peut dans Jean-Michel qui ressent toute la décharge de Guillaume jusqu’au fond de son ventre. Il est inondé de l’intérieur, réchauffé de l’intérieur.

Une fois redescendu sur terre, Guillaume se retire de l'orifice de Jean-Michel qui resserre son anus pour ne pas perdre une goutte du sperme de Guillaume.

Ils s'endorment paisiblement collés en chien de fusil. Guillaume a passé ses bras autour de Jean-Michel, a collé sa main sur sa bite comme pour la garder au chaud.

Mais le contact de la paume de Guillaume sur sa queue le fait bander immédiatement. Guillaume le sent bien et commence à le branler, lentement d’abord…

A son tour, Jean-Michel décharge un jet de sperme monumental. Le corps tendu contre celui de Guillaume, il se déverse de toute l’excitation de la journée.

La couverture est maculée. D’un geste tendre, Guillaume la ramène sur leur corps endormis et le sperme de Jean-Michel les recouvre pour la nuit.

22 mai 2020

Trou normand

À la fin du printemps, j'envoie un premier mail à Thierry pour lui demander son calendrier de séjour sportif qu'il organisera prochainement sur la côte normande. Il me répond le lendemain, avec en pièces jointes, une fiche d'inscription, le contenu du programme, les tarifs et les modalités de règlement.

Je reçois une réponse mail de Thierry, dans lequel il liste les activités. Parmi ces activités, il y a un module intitulé « Air Soft ». J'ignore ce que c'est. Je lui renvoie un autre mail pour lui dire que j'aimerais bien découvrir l' Air Soft que je connais pas.

Je fais donc une réservation pour un week-end. Thierry me confirme que mon inscription et enregistrée. Concernant le règlement, n'étant pas très riche, je propose à Thierry de lui payer une première moitié à la réservation et l'autre moitié, à la fin du week-end. Il accepte. Je lui mets par écrit pour éviter tous problèmes ultérieurs.

Une semaine avant le séjour, Thierry me rappelle au téléphone si je suis toujours partant pour ce séjour normand. Il me donne l'adresse du lieu du séjour.

Je réserve mon billet de train et d'autocar de manière à arriver sur place le vendredi en fin d'après-midi.

Le jour dit, je prends mon sac à dos contenant mes affaires de toilette, un change et un vêtement de pluie.

Le voyage se passe bien. À destination, je descends du train pour monter dans l'autocar pour un trajet de trois-quart d'heure environ. Arrivé enfin, je descends du car avec mon sac. Je prends mon téléphone et appelle Thierry. Il me répond qu'il est occupé avec un groupe arrivé depuis le début de semaine et qu'il ne peut vraiment pas se libérer. Je dois alors marcher jusqu'au lieu de campement dont il me redonne l'adresse précise et des indications de localisation.

Après cette longue marche interminable, j'arrive enfin au campement où je trouve Thierry entouré de plusieurs personnes face une haute dune de sable. Une cible en carton était adossée et abritée du vent de mer. Thierry porte un t-shirt en coton de couleur kaki et un pantalon de treillis imprimé camouflage.

Je m'approche du groupe. Je dis bonjour à Thierry. Je lui dis que j'aimerais essayer. Je lui dis également que je ne sais pas comment me tenir correctement. Il me demande de lui montrer comment je fais. Il me tend l'arme. Il s'aperçoit que je suis raide comme un piquet (ou que j'ai un balai coincé quelque part). C'est alors, qu'il se colle derrière moi. Il me susurre à l'oreille d'assouplir mes jambes et me prend le bassin et me dit de me tenir bien droit. Je ne dis rien mais je sens quelque chose au creux de mes reins.

Avec ses conseils, j'arrive à viser correctement la cible en carton devant nous. Thierry ajoute qu'il me dispensera d'autres conseils personnalisés plus tard dans la soirée dans sa tente. Je fais un clin d’œil à Thierry pour lui signifier mon accord total sur sa proposition bien alléchante.

Le soir arrive. La lune est claire. Je rejoins Thierry dans sa tente . Il est nu. Il bande. Il me dit que je peux me mettre à l'aise. Je me déshabille entièrement et me retrouve tout nu aussi. Je m'allonge à coté de lui. Il est poilu de la poitrine, mais tondu au bas-ventre.

Je le caresse tendrement. Il aime ça. Avec une de ses mains, il me prend ma main pour la poser sur son bas-ventre. Il veut que je le masturbe. Je ne résiste pas et je le laisse me conduire. Thierry me tient la main, la pose sur son sexe dur, et me fait faire des doux et lents mouvements de haut en bas. Pour ne pas éveiller les soupçons chez les autres à coté, il me dit à voie normale, les conseils qu'il m'aurait dit devant le groupe.

Thierry en veut plus. Il me prend l'arrière du crâne pour l'approcher de son gland pour me forcer à le sucer. Je fais semblant de lui résister. Il aime qu'on lui résiste ce qui le rend encore plus chaud et désirable. Il me force davantage à m'approcher. Je garde ma bouche fermée. Il force enfin la bouche. Je passe ma langue sous son gland. Il ne veut pas et me donne une petite claque derrière la tête en signe de désaccord. Il me glisse les 9/10ème de son épaisse verge dans la bouche. Il glisse encore deux trois fois pour me faire bien saliver afin de le lubrifier. Il veut maintenant, me faire le cul.

Il me fait chevaucher son bas-ventre. Il me tient par les épaules et appuie pour me "forcer" à m'empaler jusqu'au bout.

Je prends un grand plaisir non dissimulé à m'empaler sur Thierry. Je tourne mon bassin. je monte et descend à différentes vitesses. J'aime bien.

Au bout d'un moment, il est prit de secousses de jouissance extrême. Il est en train de jouir en moi. Après avoir explosé, il reste en moi et restons comme ça toute la nuit.

Le lendemain matin, Thierry me réveille par un bon coup de queue bien viril.

Au réveil, Thierry et moi sortons de la tente. Je ne m'y attends pas du tout. Guillaume est là pour accompagner Thierry jusqu'au lendemain matin.

La journée se passe normalement. Le midi, Je déjeune à coté de Thierry et avec Guillaume en face de moi.

Le soir, je rejoins Thierry pour une nouvelle nuit dans sa tente. Tout commence comme la nuit précédente (masturbation, fellation) sauf que Guillaume réussit à entrer, lui aussi, dans la tente.

Dans la tente, Thierry est à terre sur le dos. Je m’assois sur Thierry face à la "porte" de la tente. Guillaume sort son sexe pour me le proposer à la pipe. Je lève les yeux vers Guillaume. Je commence à le sucer.

Pendant que je suis empalé sur Thierry, je fais des roulements de bassin pour m'élargir l'anus. J'ai envie de me faire une double.

J'essaie d'avaler la bite de Guillaume jusqu'au fond de gorge afin de favoriser la salivation.

Dès que Guillaume est bien lubrifié de ma salive, je lui fais comprendre qu'il peut me prendre tout de suite.

Toujours empalé sur Thierry, je présente mon trou à Guillaume. Il se met en position et commence à me pénétrer très doucement et entièrement.

Guillaume se met à coulisser dans mon conduit. Il éjacule sa semence bien au fond de moi, se retire doucement et laisse Thierry en plan. Thierry reste en moi. Guillaume sort de la tente de Thierry. Je demande à Thierry pourquoi Guillaume est parti, on s'amusait bien. Thierry m'annonce que Guillaume a rendez-vous avec un autre gars. Jean-Michel est un autre gars du groupe qui attend en jockstrap enfilé sur des fesses toutes rasées dans une tente voisine.

Durant la nuit, Thierry et moi, Guillaume et Jean-Michel émettent des bruits très suspects. Heureusement, il n'y a personne aux alentours. Je reste sur Thierry. Thierry et moi, nous nous couchons sur le coté (en mode cuillère). Nous entendons Guillaume et Jean-Michel dans la tente d’à côté en train de faire des galipettes endiablées. Jean-Michel gémit sous les coups de boutoirs virils de Guillaume. Ces bruits donne des idées à Thierry qui est encore en moi. Thierry se remet en action aussitôt. Son bassin me claque les fesses.

Guillaume et Thierry sont presque synchro. Ils atteignent le point de non-retour en même temps. Thierry jouit en moi. Guillaume jouit en Jean-Michel. Thierry et moi nous endormons, tandis que Guillaume et Jean-Michel restent à baiser toute la nuit. Thierry encore en moi, fait bouchon.

Le lendemain matin, il est temps pour moi de faire mon sac pour partir. J'embrasse Thierry. Je lui dis que j'essaierai de venir à son prochain séjour normand.