Un vendredi début d'après-midi, je fais du stop pour me rendre dans la région de Tours. Une voiture italienne rouge au cheval cabré s'arrête à ma hauteur. La vitre électrique coté passager se baisse. Le jeune conducteur me demande ma destination. Je lui réponds que je vais rendre visite à un couple d'amis dans le pays tourangeau. Il me dit alors de monter.
J'ouvre la porte et entre. Je m’assois confortablement dans le siège de forme « baquet » et boucle ma ceinture. Nous reprenons la route. Le conducteur est un jeune cadre d’une start-up. Il est roux, grand, aux yeux marron clair, 28-29 ans environ. Il porte une chemise blanche et un pantalon de toile.
En route, nous échangeons quelques banalités et nos prénoms. Il s'appelle Samuel. Je lui demande s'il utilise souvent cette nationale. Il me répond qu'il la prend tous les lundis et les vendredis.
Après une bonne dizaine de kilomètres sur une route nationale un peu ennuyeuse, Samuel décide prendre l'autoroute. Il n'y paraît pas comme ça, ce type de voiture, ça a besoin de libérer ses chevaux. À peine fait quelques kilomètres sur cette autoroute, il appuie un peu plus sur le champignon. Je me sens collé au siège passager. Bien caché, un motard de la gendarmerie autoroutière fait un contrôle de vitesse avec un radar Laser dernier cri. Évidemment, le motard enfourche sa moto pour une interception en règle. La poursuite est très brève. La moto se porte sur la file de gauche à notre hauteur et fait signe de le suivre à la prochaine aire de service pour établir le procès-verbal.
À la sortie, le parking est désert. Le motard descend de son engin motorisé et sérigraphié. Le motard est moyen grand, des pecs bien formés, des cuisses un peu épaisses, des poils qui sortaient de la chemise bleue, un pantalon de moto bien moulant de partout. Samuel ne remarque pas le physique avantageux du militaire. Mais moi, en temps que passager, si. J'ai remarqué que le gendarme a un entre-jambes d'une taille peu commune. Je me demande même comment il peut faire de la moto avec « ça ».
Samuel baisse sa vitre. Le militaire lève la visière de son casque intégral, salue de la main et s'annonce appartenir à la Brigade autoroutière et qu'il a relevé une vitesse bien excessive sur cette portion d'autoroute. Il demande alors de couper le contact, de mettre la clé sur le tableau de bord près du pare-brise, de présenter les papiers du véhicule ainsi que son permis de conduire. Samuel s’exécute sans broncher. Samuel sait que les motards de la gendarmerie ne sont pas tendres avec les contrevenants au Code de la Route. Samuel se penche afin d'ouvrir le compartiment devant moi où se trouvent ses papiers. En tendant ses papiers au gendarme, il lui demande s'il existe un moyen pour qu'il ne prenne pas tous ses points, qu'il est prêt à tout faire pour éviter le retrait de points. Le gendarme lui demande de répéter et de confirmer s'il est vraiment prêt à tout faire pour ses points. Samuel confirme franchement par un OUI.
C'est alors que le militaire dégrafe la boucle de sa ceinture, se déboutonne son pantalon et sort son sexe épais de son pantalon. Samuel, toujours assis dans sa petite italienne rouge, a maintenant l'attribut viril du gendarme sous son nez. Samuel dé-clique sa ceinture de sécurité et s'avance un peu. Il essaie d'ouvrir grand la bouche, afin de donner satisfaction au militaire.
Je remarque que Samuel n'est pas vraiment un novice en la matière. Il s'applique si bien que le motard pousse un peu plus fort son sexe épais et poilu au fond de la gorge de Samuel.
Ayant le sexe du motard en bouche, Samuel produit davantage de salive.
Après plusieurs minutes, le motard jouit dans la bouche experte de Samuel. À la dernière goutte, le militaire passe sous le cou de Samuel pour l'obliger à avaler tout le jus.
Le motard se retire de la bouche et dit qu'il passe l'éponge sur le retrait de points mais qu'il retient la grande vitesse. Il recevra quand même l'avis de contravention minorée par courrier. Le militaire remonte en moto et repart vers son point de contrôle pour attraper d'autres chauffards de la route.
Je vois Samuel tout gêné avec sa main cachant une belle bosse dans son pantalon de toile. Aussitôt, je propose gentiment d'arranger ça. Il accepte. Il défait son bouton de braguette et sort son sexe épilé. Je détache ma ceinture de sécurité et me penche vers le bas-ventre de mon rouquin. Le levier de vitesses entre les deux sièges rend la scène pas très confortable. Je réussis malgré cet obstacle à m'occuper de la belle érection de Samuel. Il est aux anges. Au bout de quelques minutes, il expulse une très belle dose de son bon sperme au goût doux-amer dans ma bouche.
J'avale et j'essuie les lèvres d'un revers de manche. Samuel remballe son matériel.
Samuel reprend la clé sur le tableau de bord, la glisse dans la serrure du démarreur et tourne la clé. Nous reprenons la route.
Le pays tourangeau approchant, Samuel fouille dans sa poche de chemise et en sort une carte de visite qu'il me tend. Il me dit qu'il est disponible pour mon chemin de retour. Il sort de l'autoroute et me dépose sur le parking d'un hypermarché de Tours. Samuel et moi, nous serrons les mains.
Samuel remet les gaz pour reprendre le grand ruban jusqu'à Bordeaux.
J'appelle le couple d'amis pour leur dire où je me trouve afin de m'expliquer comment les rejoindre. C'est Antoine qui décroche et qui me dit qu'il sera là dans un bon quart d'heure. Je lui réponds que je ne bouge pas et que je l'attends.