Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

18 août 2023

Le bédouin d'Oman

J’étais écoeuré… j’avais encore vu mon mec me tromper encore une fois malgré ses promesses… certes il aimait baiser, se faire défoncer serait plus le terme… je pense qu’il m’aimait mais fallait qu’il aille voir ailleurs et se prenne toutes les bites qui passent…

Alors cette fois, plus d’ultimatum, j’ai pris le taureau par les cornes, je lui ai préparé ses valises et il les a trouvé dans l’entrée de l’appart… j’ai été intransigeant, je lui ai réclamé le double des clés et je l’ai foutu à la porte, je ne voulais plus le voir… il s’est mis à genoux devant moi, me suppliant, mais cette fois j’ai tenu bon et je l’ai laissé partir… j’en avais gros sur le coeur.. mais c’est ça qu’il me fallait pour revivre.

Certes, j’ai été abattu quelques temps, il y avait un vide à la maison, mais je n’avais pas envie de retrouver un mec de suite… je décidais de partir en vacances, il me restait des RTT à prendre… j’ai donc cassé ma tirelire… je suis allé dans une agence, et écouté les conseils du jeune mec qui vantait ses vacances clés en mains… c’est en me parlant du sultanat d’Oman que j’ai été attiré.. un voyage pour découvrir le pays en groupe de 12 personnes, avec bivouacs dans le désert… je pris donc cette option et trois semaines plus tard je m’envolais direction Oman. Seul.

Nous avons atterri à Mascate… différence de températures rapide… mais tout était magnifique.. nous étions 12 français, des couples et enfants, et moi. Nous avions un guide qui parlait le français. Il nous a fait découvrir la ville, et notre logement pour deux nuits… un palace… Ce fut un séjour très agréable et une visite inoubliable… mais le plus merveilleux arrivait.

Pour lire la suite, ... >>> C'EST ICI !

15 août 2023

Esteban, Partie 2

Le lendemain après-midi, Miguel est parti travailler. Dehors, le soleil tape aussi fort que la veille. Esteban est encore tout nu. L’autre ouvrier frappe à la porte pour demander un grand verre d’eau pour étancher sa soif.

L’autre ouvrier est un arabe, le même âge que le black de la veille, bien gâté par la nature. Esteban fait entrer l’arabe. Ils vont devant le placard des verres. Esteban balance une jambe sur le côté pour la poser sur le plan de travail. L'arabe regarde Esteban. Il est surpris de la grande souplesse du gamin.

Tout comme pour son collègue ouvrier black de la veille, l'arabe raisonne qu'étant bien hétéro, il peut aussi s'amuser un peu. Il ouvre le zip de son jean, il sort son sexe déjà bien bandant, et en rien de temps, l'arabe crache dans sa main et étale la salive sur l'anus. Il pénètre avec ses vingt-trois centimètres Esteban doucement mais sûrement. Esteban ne dit rien. Il laisse faire son nouvel ami du jour. Esteban encaisse bien les assauts virils du rebeu. Au bout d'un bon quart d'heure, le rebeu s'enfonce à fond et s'immobilise pour déposer toute sa semence épaisse. Le rebeu se retire. Dans la minute qui suit, le rebeu place sa bouche à la sortie de l'anus et récupère son jus pour ensuite le laisser couler dans la bouche d'Esteban. Esteban avale ce cadeau.

Esteban prend le grand verre dans le placard, fait couler l'eau du robinet et le donne au rebeu. Le rebeu boit son verre d'eau et repart travailler dehors.

Le soir, Miguel revient de son travail exténué. Il demande à Esteban si les ouvriers ont bien travaillé dehors. Esteban répond qu'il n'a qu'à regarder lui-même par la fenêtre. Esteban ne comprend pas bien le sens de la question de son père. Esteban s'interroge de savoir si cette question est à double lecture. Esteban, en se creusant les méninges, constate que ce sont les mêmes ouvriers qui s'occupent de la pelouse et des haies entourant la propriété.

Le lendemain, le black et le rebeu reviennent avec la facture des deux jours de travail. Sur cette facture, deux fois trois heures ont été comptées. Le chiffre du total écrit sur ce document indique un prix inférieur à la hauteur de quinze pour cents de ce qu'il se fait ailleurs. Les ouvriers, ayant eu connaissance de la situation financière de Miguel, ont consenti à cette remise exceptionnelle, sans évoquer la vraie raison.

Miguel paye cette facture, et les remercie très chaleureusement de ce geste.

Vous pouvez retrouver la Partie 1, ... ICI !!