Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

28 déc. 2024

Un titre ?

Un garçon, la quarantaine, se promène tranquillement avec pour tout vêtement, un jockstrap couleur vert fluo. Il porte également en bandoulière, une pochette pour son smartphone et son justificatif d’identité, quand il se fait surprendre pour un simple contrôle par un gendarme trentenaire sportif du PGHM. Pour éviter la verbalisation, il propose son cul au gendarme. Le gendarme, semble être intéressé à se faire du bien, regarde rapidement autour de lui. Il fait mettre le garçon contre un arbre bien solide, prend ses menottes de l’étui. Il menotte une main du garçon, passe derrière l’arbre et menotte l’autre main. Il baisse son pantalon et sort de son slip blanc, un sexe rasé d'une taille trèèès acceptable et le pénètre.

Les coups de bassin du gendarme durent un bon quart d'heure. Le garçon essaie de ne pas crier. Sans prévenir, le gendarme se raidit et jouit à l’intérieur du garçon.

Une fois fait, le gendarme se retire. Le gendarme lui retire les menottes, les remet dans leur étui à la ceinture. Le garçon pense, à cet instant, qu'il va échapper à la sanction. Que nenni, le gendarme lui demande sa pièce d'identité. Tout péteux, le garçon lui donne sa carte d'identité. Le gendarme sort son smartphone et photographie la carte (recto et verso) et la rend au garçon. Le gendarme remercie le garçon d'avoir été très gentil.

Le garçon continue sa balade et rentre chez lui. Sur le chemin du retour, le garçon a du jus qui coule le long de long d’une jambe. Pour effacer toute trace, il passe sa main et se masse la jambe pour faire pénétrer cette crème.

Plusieurs jours après, le garçon va relever le courrier à la boîte. Une enveloppe siglée "République Française - Gendarmerie Nationale". Il ouvre cette enveloppe et découvre un mot manuscrit. Ce mot est signé par deux initiales “L. D.”. En lisant le mot, le garçon en déduit que ce sont les initiales du gendarme qu’il a rencontré il y a quelques jours pendant sa balade. Ce gendarme dit qu'il a bien aimé la rencontre de l'autre jour, et qu'il serait amené, très bientôt, à revenir dans le coin, à le revoir pour un autre moment. Le garçon, à cette minute précise, en a eu des sueurs froides.

6 déc. 2024

La pute du parking

C'est déjà l'hiver. La nuit vient juste de tomber. Je loge dans un immeuble de cité de 2-3 étages. Ma fenêtre de chambre donne sur un parking. Je ne fais pas vraiment attention jusqu'à ce que j'entende une porte latérale d'un utilitaire de chantier avec un logo et un QR code sérigraphiés d'une petite entreprise de maçonnerie, n'arrête pas de coulisser et de claquer depuis environ 1 heure. Ce vacarme m'intrigue. Je regarde par la fenêtre de la chambre. Je vois des allers et venues de personnes adultes avec la braguette ouverte et le matériel sorti. Cet utilitaire se balance et bouge. Je me dis qu'il faut que j'aille voir ça de plus près. Je m'habille chaudement, et je descends voir. Je sors de l'immeuble. J'observe sans me montrer. Des blancs, des blacks, des rebeus, des asiatiques, des jeunes et des moins jeunes défilent.

Certains viennent dans des voitures de luxe. Peut-être des grands patrons ? Chaque personne restent environ 10-15 minutes chacun. Je devine facilement qu'il se passe des choses dans cette camionnette. Je m'approche davantage, et me cache. Je me positionne à quelques mètres, du coté de la porte coulissante. Dans le cours laps de temps que la porte latérale est ouverte, j'aperçois un jeune mec brun d'une petite trentaine d'années, ligoté sur le dos, à une structure métallique. Le mec a un bandeau sur les yeux. Ce qui m'a semblé un peu bizarre, la patrouille de police nationale est passée et a laissé faire. J'ai réfléchi et j’en ai déduis que ces agents de police en question ont dû passer un peu de bon temps avec ce mec.

Au bout d'un moment, j'ai senti une odeur forte de sueurs et de spermes sortir par la porte. Ces allers-retours a duré une bonne partie de la nuit.

Au petit matin, un dernier mec, beaucoup plus agé, est monté par la porte latérale. J'en ai déduis que c'est quelqu'un qui a de l'autorité sur le gars. Peut-être que c'est son patron.

À travers la tôle, j'ai entendu ce mec dire à l'autre : "Ça y est ! Tu as pris ton pied, salope !" "Je vais te checker ta chatte si tu as été très bien rempli" "Écartes bien les cuisses" (un petit silence) "C'est bon pour cette nuit" "Tu as eu pour ce que tu mérites, sac à jus !" "Maintenant, je vais te mettre une couche. Tu attends que tout soit sorti, et après, tu la nettoies". Ensuite, ce mec est sorti de la camionnette après avoir libéré l'autre de la structure métallique. L'autre est sorti, habillé. Il est monté à la place du conducteur et parti du parking. Je remonte me coucher et m'endors après m'être bien branlé.

-- FIN --