Un garçon, la quarantaine, se promène tranquillement avec pour tout vêtement, un jockstrap couleur vert fluo. Il porte également en bandoulière, une pochette pour son smartphone et son justificatif d’identité, quand il se fait surprendre pour un simple contrôle par un gendarme trentenaire sportif du PGHM. Pour éviter la verbalisation, il propose son cul au gendarme. Le gendarme, semble être intéressé à se faire du bien, regarde rapidement autour de lui. Il fait mettre le garçon contre un arbre bien solide, prend ses menottes de l’étui. Il menotte une main du garçon, passe derrière l’arbre et menotte l’autre main. Il baisse son pantalon et sort de son slip blanc, un sexe rasé d'une taille trèèès acceptable et le pénètre.
Les coups de bassin du gendarme durent un bon quart d'heure. Le garçon essaie de ne pas crier. Sans prévenir, le gendarme se raidit et jouit à l’intérieur du garçon.
Une fois fait, le gendarme se retire. Le gendarme lui retire les menottes, les remet dans leur étui à la ceinture. Le garçon pense, à cet instant, qu'il va échapper à la sanction. Que nenni, le gendarme lui demande sa pièce d'identité. Tout péteux, le garçon lui donne sa carte d'identité. Le gendarme sort son smartphone et photographie la carte (recto et verso) et la rend au garçon. Le gendarme remercie le garçon d'avoir été très gentil.
Le garçon continue sa balade et rentre chez lui. Sur le chemin du retour, le garçon a du jus qui coule le long de long d’une jambe. Pour effacer toute trace, il passe sa main et se masse la jambe pour faire pénétrer cette crème.
Plusieurs jours après, le garçon va relever le courrier à la boîte. Une enveloppe siglée "République Française - Gendarmerie Nationale". Il ouvre cette enveloppe et découvre un mot manuscrit. Ce mot est signé par deux initiales “L. D.”. En lisant le mot, le garçon en déduit que ce sont les initiales du gendarme qu’il a rencontré il y a quelques jours pendant sa balade. Ce gendarme dit qu'il a bien aimé la rencontre de l'autre jour, et qu'il serait amené, très bientôt, à revenir dans le coin, à le revoir pour un autre moment. Le garçon, à cette minute précise, en a eu des sueurs froides.