Il y a plusieurs décennies, j’étais un jeune gendarme de vingt cinq ans, en région parisienne. Mon supérieur direct me donne une feuille “Ordre de Mission” sur laquelle est indiquée une adresse en province proche, où je dois me rendre afin de récupérer un papier chez un militaire en arrêt de travail pour lui éviter une procédure disciplinaire pour absence irrégulière.
Je consulte quel véhicule sérigraphié est disponible. Je regarde une carte routière où se trouve cette adresse en question. Je me mets en route.
Arrivé devant l’adresse, je descends de voiture, remet mon képi en place. Je ferme la voiture à clé. Juste avant de sonner, je colle une oreille sur la porte. j’entends des bruits bizarres venant de l’intérieur. Je sonne. Les bruits cessent. Quelques dizaines de secondes plus tard, la porte s'ouvre. Un jeune arabe avec les boutons de la braguette ouverte du jean, d’une petite vingtaine d'années, se présente. J’explique que je dois voir une personne prénommée Salim. Le premier arabe qui ouvre la porte s’appelle Abdel. Il dit qu’un gendarme est là et qu’il voudrait le voir pour récupérer un document d’arrêt de travail, s’il ne veut pas avoir de problème avec l’Armée. J’entends Salim dire, depuis la pièce derrière, de me faire entrer. J’entre. Sur la télé, est figée une image de porno gay venant d’une cassette vidéo VHS. L’image est abîmée dûe sans doute au nombre de fois incalculables de lectures et relectures. Salim et Abdel semblent être mal à l’aise face à la situation d’être surpris. Je les rassure que je ne dirais rien du tout. Je ne le montre pas encore, avoir sous les yeux, deux belles bites arabes dressées, commencent sagement à m'exciter.
Salim est nu sur le canapé. Son jean est sur les chevilles. Il ne porte pas de slip. S’afficher nu devant un uniforme ne le dérange pas. Bien au contraire, ça l’excite bien, et se met à bander.
Je tente d'expliquer à Salim que les services de l’Armée n'ont pas reçu le papier de son arrêt de travail. Je le responsabilise en lui disant que s'il ne donne pas suite à leur demande, il sera considéré comme absent irrégulier. Je poursuis à l’informer qu’il risque de faire l’objet d’un rapport, une autre équipe de gendarmes viendra le chercher, lui passer les menottes, pour qu’il s’explique avec ses supérieurs et de passer quelques semaines aux arrêts, dans la cellule de sa caserne. Salim me supplie en secouant son organe en érection, qu’il est prêt à tout faire pour éviter ça. Il m’avoue que s’il est aux arrêts, Abdel sera loin de lui et son cul va lui manquer. Je comprends ce qu’il me dit. Salim demande à Abdel de me montrer son cul. Je suis obligé de convenir que le cul légèrement velu d’Abdel est très beau.
Abdel est juste à côté de lui qui se caresse son engin aussi. Je propose à Abdel de le sucer. Salim, déjà bien excité par ma suce sur Abdel, se lève et se place derrière moi. Salim se colle à moi pour se frotter. je me relève de la suce et dégrafe ma ceinture portant mes menottes et mon arme de service. Je pose ma ceinture sur une chaise à proximité afin de l‘avoir toujours à portée de mon regard. Je reviens à ma suce sur Abdel. Salim commence à me chauffer le trou par une bonne lèche baveuse. On ne le devine pas comme ça, mais un rebeu, ça sait très bien faire. Après quelques minutes, qui ont paru bien longues, Salim se relève et présente son gros sexe sur mon anus. D’un seul coup, il pousse à fond. Il entame des mouvements bien virils. Ce n'est pas courant qu’un rebeu se paie le cul d’un gendarme.
Pendant que Salim me pilonne le cul, je continue la pompe d’Abdel. Les coups de bassin réguliers de Salim sur mon cul me font faire des trucs sur la qualité de la fellation.
Au bout d’un moment, je sens que Abdel est sur le point de jouir, Salim est lui aussi de m’inonder le cul, mes deux rebeus se regardent et lâchent simultanément et puissamment leurs doses dans ma gorge et dans mon cul.
J’avale le jus d’Abdel et je lui nettoie sa bite. Quant à Salim, il se retire doucement pour que je puisse refermer mes sphincters correctement et d'emprisonner au fond de moi, les petits soldats de Salim.
Je me relève, remet mon pantalon et remet en place mon ceinturon.
Salim va chercher le papier que je lui avais demandé tout à l’heure. Il me le donne. Je le remercie. À partir de maintenant, il devrait plus avoir de soucis avec sa caserne. Abdel me donne un verre d’eau pour me rincer la bouche. Je bois. Salim me dit qu’il sera à mon service si j’ai besoin de lui.
Je remets mon képi et je sors.
Je prends mes clés de voiture et reviens à ma brigade.