Je vivais depuis presqu’un an dans un appartement dépourvu d’appareils électroménagers. Jusqu’à maintenant, j’allais laver mon linge sale au lavomatic du coin. La ventilation de ce lavomatic laissait à désirer car ça sentait trop la lessive et le linge mouillé.
Un beau jour, mon patron a l’idée, dans un jour de bonté, d’augmenter substantiellement mon salaire. Je décide alors d’aller chez BUT™ pour acheter un lave-linge.
Arrivé au magasin, je me dirige vers le rayon des lave-linge. Il y a beaucoup de marques et de modèles différents. Comment vais-je faire pour choisir une machine à laver qui me convient ? Je me lance alors à la recherche d’un vendeur. Un vendeur, me voyant un peu perdu, s’approche vers moi. C’est un beau garçon d’une petite trentaine d’années, des cheveux courts et châtains, aux yeux clairs, d’allure athlétique. Mon cœur bat la chamade au fur et à mesure qu’il s’avance vers moi. Il me demande s’il peut m’aider. Je lui réponds par l’affirmative. Je vois son badge épinglé sur la poche de sa chemise blanche. Il s’appelle William. En dessous de son prénom, il est marqué sa fonction. Il est le gérant de ce magasin.
Je lui explique que je cherche un lave-linge pas trop cher, de qualité et économique. Après quelques minutes de questionnement, mon choix s’arrête sur un modèle avec un hublot en façade. Je le suis jusqu’à un poste informatique pour savoir s’il y en a encore en stock. Il tape la référence sur le clavier. Pendant qu’il tape ces chiffres, je vois qu’il ne porte pas d’alliance à son doigt. Intérieurement, je m’interroge pourquoi un si bel homme comme lui n’a pas d’alliance. Il m’annonce, un peu dépité, que le modèle n’est pas en stock actuellement. Une commande pour réapprovisionnement du stock est en attente et que je dois attendre quelques jours encore.
Pour parer ce petit désagrément pour le retard de livraison, William me propose de me livrer lui-même la machine chez moi gratuitement. Mon sang ne fait qu’un tour. Je ne veux pas croire qu’il me fasse une telle proposition. Je suis forcé d’accepter. Il me questionne sur l’heure il pourra me livrer. Je lui demande si le soir vers 18 h ou 19h lui convient. Il me dit alors que ça ne le dérange pas, bien au contraire, puisqu’en écrivant mon adresse sur le bon de livraison, il me dit que j’habite sur le chemin entre son domicile et le magasin. Il s’arrête chez moi le soir en rentrant chez lui après le service pour me livrer.
Je décide alors de régler une première partie, qui représente les 3/5ème de la facture. Le restant, je lui réglerai à la livraison.
Plusieurs jours passent. Le jour dit, dans l’après-midi, je reçois sur mon portable, un appel d’une personne du magasin me disant que la machine est arrivée et qu’elle m’allait être livrée dans la soirée par le patron en personne conformément à la consigne sur le bon de livraison. Je prends note et remercie cette personne de m’avoir prévenue.
Le soir de la livraison, je rentre chez moi après ma journée au bureau. Alors que je prends une bonne douche chaude et réparatrice, j’entends frapper à la porte. Je ne prends même pas le temps de me rincer correctement, j’enfile à la hâte sans refermer mon peignoir et va ouvrir la porte. C’est William qui me livre. Il a pu rentrer dans l’immeuble puisque je lui a donné mon digicode sur un bout de papier lors de la commande. Je le fais entrer et referme derrière lui. Il pousse le diable chargé jusqu’à l’arrière-cuisine où se trouvent l’arrivée et l’évacuation d’eau et la prise électrique. Je vois que son regard peser sur moi. Je referme mon peignoir. Il m’arrête dans mon élan. Je comprends alors qu’il est gay.
Il est en train de me regarder tout le temps depuis son arrivée dans l’appartement. Il me demande si j’occupe seul cet appartement ou si j’ai quelqu’un dans ma vie. Je lui réponds que je suis seul. Il me demande ensuite s’il peut se laver un peu une fois la machine installée. Je lui réponds affirmativement. Bien entendu, dans ma tête, c’est indescriptible.
Une fois la machine installée et branchée, il me demande si j’ai besoin d’explications pour l’utilisation de cette machine. J’ai toujours mon peignoir ouvert. William a du mal à se concentrer sur la mise en route la machine. Il y parvient tant bien que mal. Comme promis plus tôt, il me demande la salle de bains pour se laver. Il me précise qu’il a besoin de prendre une douche. Sa journée était épuisante. Sa chemise commence à sentir. À peine passé la porte de la salle de bains, il déboutonne sans se presser sa chemise de travail laissant apparaître un joli torse musclé et imberbe. Se déshabiller devant moi ne le dérange absolument pas. Il continue son effeuillage en enlevant son jean. William ne porte rien en dessous. Dés qu’il dézippe sa fermeture éclair, j’ai, là, devant moi, une très belle bite qui commence à durcir. Il a un pubis très entretenu taillé comme un ticket de métro. De belles couilles lisses et rasées pendent sous cette belle bite.
Il ouvre la porte en verre et rentre dans le bac à douche et commence à ouvrir les robinets d’eau pour la mettre à température. Il ne doit pas attendre longtemps puisque j’y étais juste avant qu’il arrive. Il se mouille entièrement, se saisit de la bouteille de shampooing, en versant une dose dans sa main, et commence à se frotter ses cheveux courts. Ensuite, il prend le flacon de gel douche et s’en étale partout sur son torse, sur ses abdos bien dessinés, ses bras, ses jambes, ses fesses et son sexe. Je le regarde avec délectation se doucher. Je le vois se tortiller les épaules pour se nettoyer le haut du dos. Il n’arrive pas à le faire. Je me décide à l’aider. Sans lui dire, j’enlève mon peignoir et rentre dans la douche. Il reste encore un peu de place pour se bouger. Je prends le flacon de gel douche et le presse au-dessus de épaules de William. Le gel douche coule sur sa peau douce et mate. Je me suis mets à lui laver les endroits qu’il ne peut atteindre. Je continue plus bas. Un instant, je me surprends à lui laver ses fesses bien rondes et fermes. Je vais même jusqu’à glisser un ou deux doigts dans la fente fessière. Je retire mes mains de son cul pommelé. Il me lance tout excité de reprendre sous prétexte d’adorer ça. Sous l’effet de mes caresses, il se met à bander. Je dis alors à William qu’il ne peut pas rentrer comme ça chez lui avec cette bosse dans le jean. Je lui dis qu’il n’y a qu’une seule solution pour « gommer » ce délicat problème. Il rit. Nous finissons de nous rincer. William ferme les robinets et nous sortons de la douche. Après s’être séchés mutuellement, je m’accroupis devant lui. Je me saisis du « bâton de gendarme » qui s’offre à moi. J’y approche mes lèvres. Je passe ma langue sur mes lèvres et j’ouvre à peine la bouche. William pose le bout de son gland et transperce très doucement le trou formé de mes lèvres humidifiées de salive. Il es saisi d’un sursaut de bien-être dès que son gland soit entièrement rentré dans mon orifice buccal. Je lui chatouille son gland de ma langue experte. Soudain, je sens ses mains se poser de chaque coté de ma nuque. Il pousse sans à-coups sa bite lisse dans ma bouche.
Au bout d’un moment, William retire ma bouche de sa bite. Il m’embrasse sur la bouche. Il y glisse sa langue. Sa langue y fait un tour, deux tours. Puis, il me susurre à l’oreille de lui lécher son anus. J’obéis à son ordre. Je m’allonge sur le tapis de la salle de bains. William reste debout au dessus de moi. Il place un pied de chaque coté de ma tête. Je lève les yeux et vois sa fente fessière glabre. Il approche cette vue en s’accroupissant tout doucement vers mon visage. Plus il s’accroupit, plus son œillet rose s’ouvre. William s’épile aussi l’anus. Son anus couvre ma bouche. Ça fait même ventouse. Je sors ma langue et commence à humidifier le bord de sa rosette. De mes mains, je lui caresse le galbe de ses fesses toutes lisses. Puis lentement, j’introduis ma langue dans ce trou qui s’offre à moi. Il a un goût délicieux et chaud. William apprécie beaucoup ce traitement spécial.
Pendant que je suis à l’œuvre, je me demande à quoi pouvait servir cette petite faveur que m’a demandée William. Veut-il que ce soit moi qui le baise ? Je n’en sais fichtrement rien. Pendant ce rituel, il bande toujours aussi dur comme un roc.
Au bout d’un instant, dès qu’il sent prêt, il me hurle presque de me relever, de me pencher en avant. Et, d’un coup, il me pénètre le cul aussi facilement comme dans du beurre. J’ai du mal une seconde ou deux. Il se retire, enfourne une nouvelle fois son pieu jusqu’au plus profond de ma tuyauterie, et y reste de façon que mes sphincters anaux épousent bien le membre durci de mon livreur. Il commence à aller et venir. Il accélère progressivement la cadence et l’intensité de son pilonnage. Je m’aperçois que je n’ai pas été baisé de la sorte depuis des lustres. William continue à me baiser le cul virilement.
Soudainement, j’entends William pousser un autre ton de gémissements que ceux de mon pilonnage. J’en déduis qu’il est dans un « état proche de l’Ohio ». Je sens que tout son corps a tous les spasmes de la jouissance. Dans la seconde qui suit, il s’affale sur moi. Je sens quelque chose de chaud et abondant se répandre en jets saccadés dans mon intérieur. Il m’a bel et bien inondé mes entrailles de son élixir d’amour. Une fois que William a fini, il se retire doucement et se renverse sur le dos à coté de moi. Il est en nage. Il reprend une dernière douche très rapide pour faire disparaître l’odeur de stupre.
Il se sèche, se rhabille. Il me dit que si j’envisage de faire d’autres achats au magasin, que je dois l’appeler personnellement. Il sera très enchanté de me livrer à nouveau un appareil électroménager.
Cette proposition qu’il vient de me faire me satisfait tout à fait. J’accepte cette proposition. Je lui dis que je vais le revoir pour acquérir un autre appareil.
Il reprend son diable, repasse la porte dans l’autre sens et disparaît dans le couloir.
2 commentaires:
un mec qui a un super beau derrière
Un gérant très sexy. Moi aussi je veux une livraison personnelle.
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