Par une chaude journée à rouler en voiture en plein désert, sur la mythique "66 Road" aux États-Unis, un motard de la police routière me colle aux basques depuis un bout de temps, jusqu'à ce que ce motard allume tous ses feux pour me faire ranger sur le côté. Il descend de son cheval d'acier, vient vers moi.
C'est un mec latino, trentenaire bien musclé, bronzé, des Ray-Ban aux verres fumés sur le nez, un pantalon de cuir moulant sur des cuisses surdimensionnées. À ma hauteur, il me fait baisser la vitre latérale et me demande mes papiers. Je suis hypnotisé par la grosse bosse entre ses jambes. Je sais qu'il ne faut pas plaisanter avec la police américaine. Je lui présente mes papiers. Il recule et coince mon permis de conduire américain provisoire avec la pince de son stylo qui se trouve dans sa poche pectorale gauche de sa chemise, et fait le tour de la voiture. Il retourne vers sa moto et prend la radio pour demander une vérification dans les fichiers.
À peine dix secondes plus tard, il m'annonce que mon permis est en règle. Il me demande alors si j'ai une vague idée du pourquoi, il m'a mis sur le côté, en se prenant son paquet à pleine main. Que dois-je faire (marmonne-je intérieurement) ? Et puis, comme il a mon identité par le permis. Je ne peux qu'accéder à sa demande. Je devine que si je lui donne pas satisfaction sur le champ, il allait me dénoncer aux autorités fédérales et que mon retour en France serait très compromis. Il se colle à ma portière et me laisse déboutonner la braguette de son pantalon. Le bougre, il n'a pas de sous-vêtement. J'en sors un truc de ouf. C'est une épaisse tige de dix-neuf ou vingt centimètres (à vue d'œil). Je m'arrange pour positionner ma bouche à la hauteur de son sexe. J'ouvre la bouche aussi large que je peux. Il pousse son bassin. Je manque de m'étouffer avec. Il me donne même des conseils pour que la fellation (à peine forcée) se fasse sans douleur.
Au bout d'un bon quart d'heure, il se vide littéralement au fond de ma gorge.
Après avoir fini, il se reboutonne, me redonne mon permis et me laisse reprendre mon périple.
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