Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

18 févr. 2013

3 latinos


Je suis en voyage aux États-Unis pour un séjour linguistique à New York. J'ai envie de découvrir les rues de la « Big Apple ». Il est tard, le soir. Je me promène dans le quartier latino. Je marche dans une ruelle où les lampadaires sont tous cassés. Je ne suis pas rassuré du tout.

À mi chemin dans cette ruelle, je suis attaqué par trois mecs latinos avec leurs bandeaux rouges et leurs jeans serrés. Je me dis que je vais passer un mauvais quart d'heure et que je vais en ressortir salement amoché. Ils m'endorment avec du chloroforme.

Une bonne dizaine de minutes plus tard, Je me réveille dans une petite réserve d'une usine désaffectée sur le ventre ligoté à un sling en cuir qui pend. Seul un néon tremblotant éclaire la pièce. Le cul à l'air et abondamment lubrifié. Les trois kidnappeurs sont là aussi portants des harnais de torse en cuir clouté en se croisant les bras. Deux sont de chaque coté et le troisième en face de moi à un mètre.

J'entends une lourde porte s'ouvrir. Je ne peux pas voir qui arrive puisque je tourne le dos à cette porte. Je comprends que c'est un autre latino qui arrive derrière moi. Mes kidnappeurs l'appellent Tiger à cause d'un hypothétique tatouage sur ce mec. Il commence à me doigter le cul pendant deux minutes. Il dézippe son jean's, pose ses mains sur mon bassin. Je sens quelque chose de légèrement pointu tout dur touchant mon œillet. Je crains qu'il va me la mettre très vite. Eh ben non !! Il m'enfonce son gland tout doucement. Il reste comme ça pour que mon anus prenne forme autour de ce sexe déjà d'une bonne dimension, ma foi. Il prend alors mes hanches et pousse son bassin soigneusement et régulièrement jusqu'à ce que son pubis rencontre mes fesses. Il recule doucement, puis, ne m'attendant pas, il s'enfonce d'un seul coup violemment. Je crie de douleur. Il se retire et se renfonce de plus belle. Il me besogne comme ça pendant une bonne vingtaine de minutes. Au bout de ces vingt minutes, je sens qu'il n'en peut plus. Il explose en moi et me remplit mon cul de son sperme abondant et chaud. Il se retire sans dire un mot et sort de la pièce d'un pas pressant.

Trente secondes plus tard, la porte s'ouvre à nouveau. Je sens une autre paire de mains saisir mes hanches. Et un autre bout de chair me titiller l'anus. Celui-ci s'appelle Ricky. Je me rends compte que ce morceau de chair et de muscle est un peu plus gros que le précédent. D'un seul coup, il s'enselle dans mon cul tout dégoulinant de sperme de Tiger. Il me besogne aussi durement que Tiger à un tel point que je crie de nouveau de douleur. Au bout d'une autre vingtaine de minutes, il éclabousse tout mon intérieur. Il se retire aussi violemment qu'il est rentré et tourne les talons vers la sortie. À peine une minute plus tard, la porte s'ouvre. Une nouvelle paire de mains me tient fermement le bassin. Je sens quelque chose de très gros toucher mon trou gluant de sperme. Je sens le gland rentrer avec une force herculéenne. Je gueule encore un coup. Ce troisième homme pousse son sexe jusqu'à ce qu'il rentre tout entier dans mon cul. J'entends aussi mes kidnappeurs l'appelle Castro. Ce n'est qu'encore au bout d'une bonne vingtaine de minutes d'un assaut bestial que ce Castro se vide les couilles dans mon fondement déjà endolori des deux autres latinos.

Je reste ainsi comme ça pendant un bout de temps. Je sens un des deux kidnappeurs me lécher le cul et à laper le jus blanc et visqueux qui en sort. Je me rends compte que je ne pourrais pas m'asseoir sur une chaise pendant plusieurs jours.

Je suis libéré, rhabillé, et ramené dans cette ruelle où tout avait commencé. Je suis retrouvé par la police new-yorkaise. Sur le chemin du retour, ces agents me sermonnent de ne jamais s'aventurer dans les ruelles noires de New York.

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