Je m’ennuie grave depuis quelques mois après mon retour de l’île mystérieuse. Le garçon que j’ai connu là-bas continue à hanter mes jours et mes nuits. La distance qui nous sépare était immense. Il faut pourtant me résoudre à rencontrer quelqu’un de plus proche de chez moi. Je prends une grande carte de la France. Je prends aussi une fléchette. J’accroche la carte au mur. Je recule de quelques mètres. Je ferme les yeux et lance la fléchette. Elle va se planter en Rhône-Alpes.
J’attends donc une occasion de me rendre là-bas à moindre frais. Jusqu’au jour où cette même radio fait gagner un séjour de quelques jours dans un grand hôtel dans cette région.
Je gagne donc, par hasard, ce séjour dans ce coin de France que je ne connais pas.
Deux semaines environ, je reçois un billet de train. Arrivé en milieu d’après-midi, un groom m’attend dans le hall d’arrivée de la gare avec un
écriteau portant mon nom. Il prend alors ma valise. Et me conduit vers cet hôtel dans une immense limousine blanche aux vitres fumées. Durant le trajet, je demande au groom où je peux trouver un centre nautique à proximité de l’hôtel. Arrivés dans le hall de l’hôtel, le groom et moi nous dirigeons vers le concierge pour remplir la petite fiche d’admission. Il me donne une carte magnétique me donnant accès à ma chambre. Je ne sais alors comment va être ma chambre. Le groom monte ma valise. Je déplie ma valise, m’assois quelques instants dans le fauteuil confortable près du mur en face du grand lit. Je fais le tour de la chambre.
Un peu plus tard, je sors de l’hôtel et me dirige vers le Centre Nautique de la Ville en suivant les indications du groom. J’entre donc dans cette piscine, m’acquitte du droit d’entrée. Je me déshabille, mets le slip de bain réglementaire. Le caleçon de bain étant proscrit. Je rentre alors dans le bassin de 25 m et commence à effectuer quelques longueurs. Au bout d’une bonne demie heure, Je me décide à sortir du bassin. Je passe sous la douche pour m’enlever l’odeur de chlore que j’ai sur moi. Dans ces douches collectives, se trouve un charmant, jeune et bel homme d’une vingtaine d’années. Il est, lui aussi, à coté de moi en train de se laver. Ce garçon mesure environ 1 mètre 85. Il a des cheveux châtains clairs et des yeux si bleus. Je suis ébloui par la beauté de ce jeune mec. Au bout d’un petit instant, il me demande de lui rendre service. Il m’explique, malgré qu’il soit sportif, il n’arrive pas à se savonner certains endroits de son dos. Je suis également surpris de cette demande si particulière émanant de ce si beau mec. Je remarque, en le savonnant, qu’il a une peau si douce. Je ne fais juste ce qu’il demande puisque nous sommes dans un lieu public. Je ne veux en aucun cas faire les gros titres des journaux dans la rubrique «faits divers».
Nous finissons donc cette douche, nous séchons, et nous habillons dans chacune des cabines. Par le plus pur des hasards, il est dans la cabine mitoyenne de la mienne. Nous sortons ensemble de cet établissement. Je lui dit que je suis dans le coin pour quelques jours et que je suis descendu au Grand Hôtel. Je lui propose de venir au bar de l’hôtel pour boire un verre. Nous discutons. Il s’appelle Bastien. Il me également raconte qu’il est étudiant à la fac, m'avoue également qu’il a fait exprès de ne pas pouvoir se laver le dos à la piscine, qu’intérieurement il a beaucoup aimé. C’était un prétexte pour rencontrer des hommes comme moi.
L’heure du dîner vient. Je demande à Bastien s’il est d’accord pour être mon guide pour la soirée. Je veux aller au cinéma le soir même. Il accepte. Je lui donne rendez-vous à Bastien plus tard un peu avant l’heure de la première séance.
Comme je ne sais pas où se situe le cinéma, je lui demande de me servir de guide. Je me dirige donc vers le restaurant, m’asseyant à une table, commande une tartiflette, un fromage et un dessert.
À l’heure dite, Bastien se présente à l’entrée de l’hôtel. Il m’emmène vers le cinéma. Regardant l’affiche, je me décide pour une comédie fantastique. Je paye donc une place à Bastien. Lui et moi, trouvons deux places où nous serons tranquilles. Une fois les lumières éteintes, Bastien me fait comprendre d’un regard qu’il veut quelque chose. Je commence par lui caresser les cuisses. Il me laisse continuer. Au bout d’un moment, Bastien dézippe son jean et laisse apparaître quelque chose d’une taille assez impressionnante sous son boxer en élasthanne blanc. Je ne veux pas aller plus loin sous peine d’être repéré par d’autres personnes qui sont dans la salle.
Nous nous arrêtons à ce stade de l’exploration. Nous regardons le film. Pendant la durée du film, je touche à travers son boxer blanc son sexe qui réclame le grand air. Je me demande mentalement si le gentil Bastien habite chez ses parents ou s’il a un studio en ville. Au bout de presque deux heures, les lumières se sont rallumées. Bastien a tout juste le temps de remonter son jean. Nous sortons de la salle de ciné. Enfin dehors, il me raccompagne jusqu’à mon hôtel. En chemin, il m’avoue qu’il aimerait que nous continuons ce que nous avons commencé au ciné. Il me propose de revenir le lendemain soir, après son entraînement de foot en fin d’après-midi. Il doit s’en aller car le lendemain, il a cours et il doit se lever de bonne heure pour aller à la fac. Il me dit qu’il a un studio loué par ses parents pour ses études. Il me également dit qu’il vient aussitôt son
entraînement fini. Je lui réponds que cela ne me gêne pas.
Chacun repart de son côté vers son lit respectif. Je me fais déjà un film de ce qu’il va se passer le lendemain soir.
La nuit se déroule sans problèmes.
Le lendemain soir, en fin d’après-midi, le concierge m’appelle au téléphone et m’annonce qu’un jeune homme s’appelant Bastien désire me voir. Je réponds qu’il peut monter. Le concierge lui indique le numéro de ma chambre. Cinq bonnes minutes après, Bastien frappe à ma porte. Je vais donc ouvrir. Il commence à sentir la sueur. Je sors l’écriteau « NE PAS DÉRANGER » sur la clenche de la porte et ferme la porte à clé derrière lui, je lui propose de commencer à se dévêtir dans la chambre. Il s’exécute.
Il enlève ses baskets, ses chaussettes, son sweat, son pantalon de sweat, son T-shirt. Il pose un instant pour que j’admire son corps à demi-nu travaillé avec de nombreuses heures de musculation. Il tortille du bassin. Je me déshabille aussi entièrement. Je me serre contre lui. Je l’embrasse. Je l’emmène donc à la salle de bains. J’ouvre le robinet d’eau chaude de la douche. Nous commençons à nous laver en nous bécotant. Je lui frotte ses épaules, son dos musclé, ses fesses imberbes, avec du savon parfumé. Il se retourne et me présente un sexe d’une belle taille, qui doit faire autour de vingt centimètres, qui commence à durcir sous l’effet combiné de l’excitation et de la chaleur de la douche. Il me supplie de s’occuper de son sexe. Au fond de moi, je n’attends qu’il me le demande. Nous finissons de nous laver, de nous sécher.
Nous dirigeons vers ce grand lit. Il s’allonge sur le dos, les jambes ouvertes. J’approche ma bouche de ce si beau sexe qui m’appelle. J’ouvre doucement ma bouche. Je sors ma langue et je commence à effleurer son gland. Bastien est saisi du plaisir que je lui procure. Je goûte son sexe centimètre par centimètre dans ma bouche jusqu’à ce que mes lèvres rencontrent son buisson pubien. Bastien gémit de plus belle. Je descends et remonte plusieurs fois le long de ce sexe que Bastien m’offre. Au bout d’un moment, je sens que Bastien commence à se contracter. Je retire ma bouche afin d’admirer le beau feu d’artifices.
Il m’annonce qu’il commence à avoir faim. J’appelle le restaurant de l’hôtel pour réserver un autre couvert à ma table. J’annonce que c’est un invité. Il n’est pas tout à fait l’heure du dîner. Nous causons de nos vies respectives.
À l’heure du repas, Bastien et moi, descendons au restaurant et allons nous placer à la table que j’ai réservée. Nous commandons notre dîner. Nous prenons un steak avec des haricots verts. Au dessert, nous prenons une crème glacée vanille nappée d’un coulis caramel.
Le repas fini, Bastien rentre chez lui. Il me demande s’il peut revenir un autre jour. Bastien m’éblouit tellement par sa beauté physique. Je suis presque forcé d’accepter. Il me propose de revenir deux jours après.
Le lendemain, je visite la ville avec le plan qui est édité par l’Office du Tourisme de la ville à disposition dans le hall de l’hôtel. Durant cette journée, je me demande pourquoi Bastien désire me revoir. J’ai quand même une toute petite idée de ce qu’il désire.
Le jour dit, en fin d’après-midi, Bastien monte directement à ma chambre. Il frappe à ma porte. Je lui ouvre la porte en peignoir que je laisse ouvert exprès. Je vois que, dans son jean, son sexe tout dur ne demande qu’à sortir au grand air. Je l’aide à se libérer. J’embrasse Bastien sur la bouche. Je m’agenouille pour sucer ce sexe qui est là à me supplier. Bastien me fait comprendre qu’il désire glisser son double décimètre entre mes fesses duveteuses. Je n’ose pas lui dire clairement, je devine ce qu’il désire faire. J’enlève donc doucement mon peignoir pour préparer Bastien. Je me mets à quatre pattes sur le sol de la chambre. Il sort de sa poche un préservatif lubrifié. Il crache dans sa main et me lubrifie l’anus, il y glisse deux doigts pour me préparer le sphincter à l’assaut. Il présente son sexe à l’entrée de mon anus. Je sens son gland toucher ma rosette. Sans effort, il s’enfonce dans mon cul. Il doit avoir l’habitude de sodomiser, le bougre. Il s’y prend comme un dieu. Je prends un réel plaisir à l’accueillir tout au fond de moi-même. Il va et vient dans mon cul qui chauffe sous l’action de Bastien. Au bout d’une quinzaine de minutes, je sens que Bastien n’en peut plus et qu’il va libérer sa semence. Il se retire, quitte rapidement son préservatif et explose abondamment sur mes reins. À l’aide de son sexe, il étale, sur mes fesses, sa semence.
Quelques instants après, j'embrasse de nouveau Bastien sur la bouche.
Le lendemain, je dois repartir chez moi. Je rassemble mes affaires pour remplir ma valise.
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