Je suis employé, pour l'année scolaire seulement, au poste de surveillant de nuit dans un lycée professionnel dans un internat de garçons. Ma mission est de surveiller tout un palier comportant cinq chambres de chaque coté d’un long couloir dont le sol est revêtu de vieilles dalles grises. Dans chaque chambre, sont logés deux étudiants d’une vingtaine d’années. Il y a donc, deux lits, deux armoires, deux bureaux et une table en bois pas très grande.
Ma chambre est à l’une des extrémités de ce couloir. À l’autre extrémité, se trouve la chambre de Théo et d’Aurélien. Théo est un garçon sportif typé méditerranéen de vingt ans, brun. Aurélien, lui, a un an de plus, brun, un peu plus enveloppé que son colocataire.
J’ai su, en cours d’année scolaire, que Théo a une sexualité différente. Il aime beaucoup les garçons. Une rumeur court, que le soir très tard, après que je me sois bien endormi, Théo donne rendez-vous, à tour de rôle, à deux autres étudiants de ce couloir pour passer un bon moment ensemble. Les deux étudiants conviés ne font aucun bruit dans le couloir pour ne pas que je découvre leur petit manège nocturne et que je les dénonce et de risquer qu’il se fasse renvoyer de cet internat par le proviseur.
Un soir de juin, je me rends compte que la fin de l’année approche à grand pas. Il est grand temps pour moi de enfin savoir ce qu’il se trame à l’autre bout du couloir. Je me suis fait quand même ma petite idée. Il faut que j’en aie le cœur net. Je sais que Théo et Aurélien ne ferment jamais la porte à clé la nuit.
Par une nuit chaude, vers deux heures du matin, alors que tout le monde dormait, je décide d’ouvrir mon armoire renfermant un compartiment secret fermé par un solide cadenas. Je garde la clé de ce cadenas tout le temps sur moi, bien cachée. J’en sors sans bruit, un boxer moulant en latex épais. Dans le fond de ce boxer, est moulé dans la masse, un buttplug d’une bonne douzaine de centimètres de long et une circonférence de huit centimètres. Je prends le flacon de gel lubrifiant à la saveur chauffante qui se trouve dans cette cachette. Je presse ce flacon pour faire sortir une bonne dose pour l’étaler sur ce plug. J’enfile à la hâte le boxer en prenant soin de bien m’enfoncer à fond le plug bien lubrifié dans mon anus. J’enfile un harnais de torse en cuir avec des boutons pressions. Par-dessus ce harnais qui me moulait la poitrine, je mets un T-shirt noir et ample. J’enfile aussi un caleçon short. J’éteins la petite lampe de chevet et sors de la chambre. J’ai mis juste mes chaussettes pour ne pas réveiller tous ces étudiants qui dorment dans leurs chambres.
J’avance jusqu’à une première chambre tâtonnant les murs pour ne pas être obligé d’allumer les néons de ce couloir. J’ouvre doucement la porte sans la faire grincer. Sur le premier lit, dort sur les draps, cul nu, Karim, vingt ans, sportif. Je sais que Karim est hétéro mais je sais aussi qu’il a envie d’expérimenter une relation sexuelle avec un garçon. Dans cette même chambre, dort Benoît, fesses à l’air sur le lit. Il a vingt ans également, sportif aussi, châtains clairs avec des petites mèches blondes. Je réveille doucement ces deux mecs en leur demandant de se lever et de me suivre en silence. Je leur ordonne de ne rien mettre sur eux sauf leurs chaussettes. Ils m’interrogent sur le but de ce réveil nocturne. Je réponds à Karim qu’il a très bientôt avoir une relation sexuelle avec un mec. Karim et Benoît me suivent tout nus dans le couloir. Nous progressons doucement jusqu’à une autre chambre au milieu du couloir.
Je fais signe à Théo et Benoît de stopper la progression.
J’entre sans bruit dans cette chambre où dorment, entièrement nus, Farid et Félix. Ils ont rapproché l’un de l’autre leurs lits. Je passe ma main sur les cuisses musclées et les jolies fesses poilues de Farid. Je fais de même pour Félix. Félix a les fesses glabres. Je leur murmure de me suivre nus et en chaussettes dans le couloir. Félix et Farid rejoignent Karim et Benoît dans le couloir. Farid et Félix ont vingt trois ans.
Nous avançons, nous cinq, doucement et toujours en silence, vers cette mystérieuse chambre où semblent dormir profondément Théo et d’Aurélien.
Arrivés devant la porte, je fais mettre Benoît, Karim, Félix et Farid en file indienne en veillant que Karim soit en dernière position. Je leur fais comprendre par des gestes ce qu’ils vont devoir faire une fois la porte franchie. Ils doivent entrer en bandant très dur pour ramoner le petit trou serré et gourmand de Théo. Je branle Karim qui branle Félix qui branle Farid qui branle Benoît. Dès que ces membres sont prêts, nous arrêtons de branler et pénétrons dans cet antre de débauche. Je suis surpris de voir Aurélien, le nez enfoui dans la raie des fesses imberbes de Théo. Il semble adorer qu’Aurélien lui fouille amoureusement l’anus de sa langue experte. Aurélien a de très jolies fesses bombées et duveteuses. Cette merveilleuse vision nous émoustille de plus en plus. Je m’approche des fesses d’Aurélien. Je l’interrompt de sa tâche en lui caressant ses fesses et en promenant un doigt autour de son anus. Aurélien tourne la tête et voit ses quatre beaux manches tendus vers le ciel et qui commence à briller dû à l’excitation. Il comprend aussitôt le pourquoi de notre visite. Il se retire lentement du lit laissant Théo dans ses rêves. Théo porte un jockstrap blanc élastiqué.
Aurélien va branler Benoît un très court instant. J’interromps de nouveau Aurélien pour que Benoît puisse s’introduire dans le cul serré et lubrifié de Théo. Je vais m’asseoir sur la chaise juste en face du lit de Théo pour avoir la meilleure vue.
Benoît approche sa bite de la rosette qui s’offre à lui. Il s’y enfonce tout doucement et régulièrement jusqu’à ce que son pubis bien entretenu touche les fesses de Théo. Il reste un instant au fond puis se retire entièrement et y replonge de plus belle. Théo ne réalise toujours pas ce qu’il subit. Il est toujours dans ses rêves érotiques.
Benoît lui assène des coups réguliers tout en augmentant peu à peu la force. De temps en temps, Benoît dessine de larges cercles avec son bassin. Pendant ce temps, Aurélien donne quelques délicats coups de langue experte sur le sexe de Farid. Cette langue est juste destinée à maintenir en bonne forme dans la file d’attente. Benoît est si bien dans ce cul qui commence à chauffer. Il est pris de spasmes pour exprimer une jouissance extrême. Il est en train de jouir. Il reste en lui jusqu’à l’arrêt final de la charge car il ne veut pas gaspiller aucune goutte de ce précieux liquide. Farid se présente aussitôt après Benoît. Farid pointe l’œillet, et d’un seul coup, rentre complètement son pieu lisse et circoncis d’une bonne vingtaine de centimètres dans cet anus déjà bien chaud et humide.
Farid reste un instant puis ressort entièrement pour s’y renfoncer plus virilement. Farid entame une longue série de va-et-vient de telle sorte que les fesses imberbes de Théo claquent sous ses coups de pine. Farid fait, lui aussi de larges cercles avec son basin afin de détendre le sphincter anal de ce mec.
Au bout de cinq bonnes minutes, Farid grimace. J’en déduis qu’il lui remplit les boyaux d’une abondante crème. Théo ne bronche toujours pas aux assauts virils de Farid.
Pendant que Farid finit de besogner ce trou qui ne demande qu’à bien s’ouvrir, Aurélien s’affaire à maintenir Félix en forme.
Farid se retire lentement de cet orifice, se lève et va rejoindre Benoît. Farid bécote Benoît. Aurélien prend alors la décision d’emboucher alternativement les glands de Benoît et de Farid pour parfaire le nettoyage. Je vois Aurélien s’appliquer à cette tâche.
Félix grimpe alors sur le lit et présente son long dard épais chocolaté à l’entrée et poussa régulièrement dans le trou humide. Il se retire et hèle Aurélien pour qu’il envoie un énorme crachat sur l’œillet de Théo afin qu’il glisse mieux complètement son énorme épée dans ce fourreau si chaud. Aurélien s’exécute sans discuter. Félix se représente. Il pousse de nouveau sa chose virilement et commence un ballet incessant d’allers-retours de bassin. Je suis estomaqué de remarquer que Théo ne bouge pas d’un iota sous les coups de boutoirs de ce black qui lui ramone les entrailles sans ménagements. D’où je suis assis, je peux assister à la valse des deux gros œufs en chocolat que possède Félix entre ses belles cuisses musclées. Au bout d’un quart d’heure, Félix s’immobilise. Il est profondément ancré. Il éclabousse tout l’intérieur de Théo. Cette jouissance est le signal, une fois encore, à Aurélien de préparer le dernier prétendant. C’est Karim, l’arabe hétéro. Aurélien s’applique à lui passer la langue sur le gland circoncis de ce jeune novice. Karim apprécie ce qu’Aurélien lui fait. Il est temps que Karim monte sur le lit et se présente derrière Théo. Il semble maladroit à l’idée de pénétrer pour la première fois un mec. Je décide alors de l’aider. Je monte derrière sur le lit. Je me colle contre lui. Je m’arrange pour qu’il ne puisse plus reculer une fois son gland circoncis posé sur ce cratère anal que viennent de laisser Benoît, Farid et Félix. Je prends les deux mains de Karim et le lui fait poser de chaque coté du bassin de Théo. Je demande alors à Karim s’il est bien enfin prêt à faire le grand saut vers la pratique de la sodomie. Il me fait signe de la tête qu’il l’est.
Je saisis, moi aussi, le bassin de Théo. Je pousse alors le mien vers l’avant, ce qui a pour incidence la pénétration des premiers centimètres du sexe épais de Karim à l’intérieur de Théo. Je le force à rester un instant dans ce trou. Je le questionne sur ses premières impressions. Puis, je continue à contrôler les mouvements de bassin de Karim. Je le force à aller jusqu’au fond de ce trou. Il s’étonne que c’est si bon un cul de mec et que ça vaut la peine d’essayer ça. Il décide donc de continuer seul sans mon aide. Je me retire donc de derrière lui et descends du lit. Pendant que Karim baise Théo, Aurélien nettoie la grosse tige noire et brillante de Félix. Karim, n’ayant pas pu se retenir très longtemps, éjacule tout son jus dans le cul dégoulinant et chaud. Karim se retire et se présente à Aurélien pour qu’il le nettoie bien.
J’ordonne ensuite à ces baiseurs de regagner leurs chambres respectives en me faisant promettre de ne rien répéter à qui que ce soit. Chacun promet de rien ébruiter.
Une nouvelle idée vient de me titiller l’esprit. J’ai faim de vitamines. J’ordonne à Théo de s’asseoir sur ma bouche ouverte et de laisser couler tout ce sperme emmagasiné au chaud dans son intestin. J’avale ce cocktail de jus au fur et à mesure qu’il coule. Quand je suis sûr de tout avoir avalé, je me lève du lit et dis à Aurélien qu’il peut le nettoyer lui aussi. Je donne une claque de remerciement sur le cul de Théo et regagne ma chambre pour y finir la nuit qui est déjà bien avancée.
Le lendemain soir, en ouvrant ma porte de chambre, je découvre par terre, une enveloppe cachetée qu’un élève de ce couloir a glissé sous ma porte dans la journée. Je me demande : « Mais qui était-ce ? »
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