J'avais commandé un séjour privé "Détente-Relaxation" avec Guillaume. J'arrive par le train. Guillaume est venu me chercher à la gare. Il m'attend à côté de son cabriolet rouge. Il est exactement comme sur les photos de son site. Brun, une barbe de trois jours, naturellement bronzé au soleil du sud. Il porte un débardeur en maille d'abeille qui lui moule bien les pecs et un short Nike flottant.
Après une bonne demi-heure de route, nous arrivons dans une belle et grande villa, pour nous deux seuls.
La propriété est bordée de haies bien hautes, envahie seulement par le chant des grillons. C'est la fin d'après-midi. Il fait encore bien chaud et sec. Dans un coin du terrain, se trouve une piscine.
Je décide seul de me déshabiller entièrement et de sauter dans la piscine. J'invite Guillaume à me rejoindre. Il se met à poil. Il est entièrement bronzé, sauf la marque du maillot de bain qui lui dessine parfaitement les fesses.
Dans l’eau, nous nous amusons un peu. Il est bien meilleur nageur que moi. Je le vois traverser toute la longueur de la piscine sous l’eau, ses fesses blanches brillant sous le soleil. En revenant vers moi, il sort la tête de l’eau en la secouant pour écarter ses cheveux, comme un chien.
Puis, nous sortons de l'eau. J'attrape la grande serviette préparée et pliée là sur une chaise.
J’essuie Guillaume avec attention. Je commence par les épaules et le dos. Je sens sous le coton qu’il se crispe un peu, mais il se laisse faire. Il est raisonnablement musclé avec le dos bien en V, sans être exagéré. La natation sans doute. Je descends ensuite vers le bas du dos et je sens le creux de ses reins au-dessus de ses fesses rebondies. Le vélo sans doute !
Puis je passe devant lui et plaque la serviette sur ses pecs. Là aussi, ils sont larges et rebondis mais pas trop. Il a les tétons durs sous le coton. Puis, mes doigts passent sur ses abdos. Il a le ventre hyper sec. La nourriture saine !
Je m’accroupis pour lui essuyer les cuisses, puis les mollets. Je n'oublie aucun cm carré de son corps !
Je remonte lentement en haut des cuisses et recouvre son sexe avec la serviette. Je passe dessus une main rapide avant de m’attarder sur le pubis poilu. Puis, je reviens sur sa queue et j’essuie ses couilles et la soulevant un peu, toujours avec la serviette.
Ça a pour effet de lui faire affluer le sang vers cette partie intime de son anatomie. Ce que je vois en repassant la serviette sur ses jambes. Devant mon nez, son sexe a commencé à gonfler et le bout de son gland apparaît entre son prépuce.
Un peu gêné, Guillaume s’excuse pour ce « petit désagrément ». Mais il ne bouge pas. Je lui dis de me faire confiance et il me laisse faire.
Toujours à genoux devant lui, j'ouvre suffisamment grand la bouche pour que mes lèvres enveloppent les contours de son sexe, en entier.
Puis, je passe ma langue sur son gland après l’avoir décalotté. Guillaume soupire d'aise. Sa queue, qui avait l’air normale au repos, me remplit maintenant toute la bouche et j’ai du mal à l’avaler en entier sans m’étouffer. Ma salive le lubrifie. Je le branle gentiment tout en titillant son gland avec ma langue. En quelques minutes, il s'aperçoit que de se faire faire une gâterie par un homme n'est pas si mauvais que ça.
Je continue. Je m'applique. Je monte, je descends, tout en le branlant d’une main. Et, au bout d'un moment, je le sens se raidir à fond. Les soubresauts de sa bite me disent qu’il est rapidement sur le point de jouir. Je retire ma main et laissent mes lèvres masser sa tige.
Je le regarde dans les yeux en lui faisant comprendre qu'il peut tout lâcher, de ne pas se retenir. En un instant, il m'inonde la bouche de son abondant jus protéiné.
Je garde quelques secondes encore, histoire de récupérer les dernières gouttes, et j’avale tout. Je me retire doucement et me relève.
Je retourne dans la piscine, sans un mot, pour une dizaine de minutes encore, avant de passer à table pour un petit repas équilibré dont Guillaume a le secret.
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