Un soir tard dans la nuit, je suis sur le chemin du retour d'une soirée chez des amis. J'ai l'esprit un peu embrumé par les vapeurs d'alcool de la soirée. L'éclairage public est éteint depuis un bout de temps. Je ne suis pas du tout rassuré.
Le chemin que je dois prendre doit me faire traverser est une cité très chaude où quelques tam-tams africains se font entendre ici et là. Un timide clair de lune éclaire cette cité.
Alors que je passe sous un porche d'immeuble, j'entends une voix résonnante et grave à me figer le sang. Elle est toute près de moi. Au lieu de déguerpir à toute vitesse, je reste sur place. Cette voix me demande si j'ai envie de m'amuser un peu.
Je réponds à cette voix que j’accepte bien volontiers. C'est alors que je sens une main ferme attraper la mienne pour aller toucher le devant d'un pantalon en cuir noir. Je n'arrive pas du tout à voir qui me parle. La seule chose que je peux à peine distinguer dans cette noirceur, c'est le blanc de ses yeux et de ses dents. Cette voix me demande si j'ai déjà vu un truc comme ça en me faisant tâter cette bosse protubérante de façon virile. Je lui répond que non. Il dégrafe les boutons pression d'une poche amovible de son pantalon et libère un truc si gros que je manque de m'évanouir. J'ouvre la bouche au max que je peux. Je n'arrive même pas à avaler son gland. Il me propose un autre truc. Il me force à baisser mon pantalon et à lui donner mon cul. J'ai aucune idée de sa réaction si je le déçois, je fais sans protester.
Il me fait plier en deux, m'attrape les fesses et me lèche l'anus. Puis, il se relève, prend une dosette grand format de gel lubrifiant et s'en enduit le gland et sur mon trou avant de s'introduire dedans. Il porte un cockring épais en métal. Je n'ose à peine crier, pour éviter de réveiller la cité, tellement il me fait mal avec son engin veineux étranglé par l'anneau. Il met sa grande main devant ma bouche pour étouffer mes cris de douleur. Je pleure de douleur. Il accélère le mouvement. Son pubis claque sur mes fesses. La douleur laisse place au plaisir petit à petit. Mon trou se détend plus facilement et accepte bien le diamètre de cette tige en action. Une bonne dizaine de minutes de levrette, il s'allonge sur le sol et me fait m'empaler à fond et que je prenne la relève pour faire travailler mon cul un bon quart d'heure encore. Il me fait remettre en levrette, mais là, il me fait plier davantage le dos. Au bout de cinq minutes, il arrête ses mouvements et aussitôt me remplit de sa semence crémeuse et tiède. Il se sépare de moi. Il se rhabille. Il me laisse là en plan, le cul en l'air, mon jean sur les chevilles.
Je me rhabille le cul bien humide. J'ai beaucoup de mal à marcher tellement j'ai mal au cul. Je n'ai même pas eu le temps de demander le prénom de ce mec en me disant si je suis le seul blanc passant par ce passage qu'il baise.
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