Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

22 mai 2020

Trou normand

À la fin du printemps, j'envoie un premier mail à Thierry pour lui demander son calendrier de séjour sportif qu'il organisera prochainement sur la côte normande. Il me répond le lendemain, avec en pièces jointes, une fiche d'inscription, le contenu du programme, les tarifs et les modalités de règlement.

Je reçois une réponse mail de Thierry, dans lequel il liste les activités. Parmi ces activités, il y a un module intitulé « Air Soft ». J'ignore ce que c'est. Je lui renvoie un autre mail pour lui dire que j'aimerais bien découvrir l' Air Soft que je connais pas.

Je fais donc une réservation pour un week-end. Thierry me confirme que mon inscription et enregistrée. Concernant le règlement, n'étant pas très riche, je propose à Thierry de lui payer une première moitié à la réservation et l'autre moitié, à la fin du week-end. Il accepte. Je lui mets par écrit pour éviter tous problèmes ultérieurs.

Une semaine avant le séjour, Thierry me rappelle au téléphone si je suis toujours partant pour ce séjour normand. Il me donne l'adresse du lieu du séjour.

Je réserve mon billet de train et d'autocar de manière à arriver sur place le vendredi en fin d'après-midi.

Le jour dit, je prends mon sac à dos contenant mes affaires de toilette, un change et un vêtement de pluie.

Le voyage se passe bien. À destination, je descends du train pour monter dans l'autocar pour un trajet de trois-quart d'heure environ. Arrivé enfin, je descends du car avec mon sac. Je prends mon téléphone et appelle Thierry. Il me répond qu'il est occupé avec un groupe arrivé depuis le début de semaine et qu'il ne peut vraiment pas se libérer. Je dois alors marcher jusqu'au lieu de campement dont il me redonne l'adresse précise et des indications de localisation.

Après cette longue marche interminable, j'arrive enfin au campement où je trouve Thierry entouré de plusieurs personnes face une haute dune de sable. Une cible en carton était adossée et abritée du vent de mer. Thierry porte un t-shirt en coton de couleur kaki et un pantalon de treillis imprimé camouflage.

Je m'approche du groupe. Je dis bonjour à Thierry. Je lui dis que j'aimerais essayer. Je lui dis également que je ne sais pas comment me tenir correctement. Il me demande de lui montrer comment je fais. Il me tend l'arme. Il s'aperçoit que je suis raide comme un piquet (ou que j'ai un balai coincé quelque part). C'est alors, qu'il se colle derrière moi. Il me susurre à l'oreille d'assouplir mes jambes et me prend le bassin et me dit de me tenir bien droit. Je ne dis rien mais je sens quelque chose au creux de mes reins.

Avec ses conseils, j'arrive à viser correctement la cible en carton devant nous. Thierry ajoute qu'il me dispensera d'autres conseils personnalisés plus tard dans la soirée dans sa tente. Je fais un clin d’œil à Thierry pour lui signifier mon accord total sur sa proposition bien alléchante.

Le soir arrive. La lune est claire. Je rejoins Thierry dans sa tente . Il est nu. Il bande. Il me dit que je peux me mettre à l'aise. Je me déshabille entièrement et me retrouve tout nu aussi. Je m'allonge à coté de lui. Il est poilu de la poitrine, mais tondu au bas-ventre.

Je le caresse tendrement. Il aime ça. Avec une de ses mains, il me prend ma main pour la poser sur son bas-ventre. Il veut que je le masturbe. Je ne résiste pas et je le laisse me conduire. Thierry me tient la main, la pose sur son sexe dur, et me fait faire des doux et lents mouvements de haut en bas. Pour ne pas éveiller les soupçons chez les autres à coté, il me dit à voie normale, les conseils qu'il m'aurait dit devant le groupe.

Thierry en veut plus. Il me prend l'arrière du crâne pour l'approcher de son gland pour me forcer à le sucer. Je fais semblant de lui résister. Il aime qu'on lui résiste ce qui le rend encore plus chaud et désirable. Il me force davantage à m'approcher. Je garde ma bouche fermée. Il force enfin la bouche. Je passe ma langue sous son gland. Il ne veut pas et me donne une petite claque derrière la tête en signe de désaccord. Il me glisse les 9/10ème de son épaisse verge dans la bouche. Il glisse encore deux trois fois pour me faire bien saliver afin de le lubrifier. Il veut maintenant, me faire le cul.

Il me fait chevaucher son bas-ventre. Il me tient par les épaules et appuie pour me "forcer" à m'empaler jusqu'au bout.

Je prends un grand plaisir non dissimulé à m'empaler sur Thierry. Je tourne mon bassin. je monte et descend à différentes vitesses. J'aime bien.

Au bout d'un moment, il est prit de secousses de jouissance extrême. Il est en train de jouir en moi. Après avoir explosé, il reste en moi et restons comme ça toute la nuit.

Le lendemain matin, Thierry me réveille par un bon coup de queue bien viril.

Au réveil, Thierry et moi sortons de la tente. Je ne m'y attends pas du tout. Guillaume est là pour accompagner Thierry jusqu'au lendemain matin.

La journée se passe normalement. Le midi, Je déjeune à coté de Thierry et avec Guillaume en face de moi.

Le soir, je rejoins Thierry pour une nouvelle nuit dans sa tente. Tout commence comme la nuit précédente (masturbation, fellation) sauf que Guillaume réussit à entrer, lui aussi, dans la tente.

Dans la tente, Thierry est à terre sur le dos. Je m’assois sur Thierry face à la "porte" de la tente. Guillaume sort son sexe pour me le proposer à la pipe. Je lève les yeux vers Guillaume. Je commence à le sucer.

Pendant que je suis empalé sur Thierry, je fais des roulements de bassin pour m'élargir l'anus. J'ai envie de me faire une double.

J'essaie d'avaler la bite de Guillaume jusqu'au fond de gorge afin de favoriser la salivation.

Dès que Guillaume est bien lubrifié de ma salive, je lui fais comprendre qu'il peut me prendre tout de suite.

Toujours empalé sur Thierry, je présente mon trou à Guillaume. Il se met en position et commence à me pénétrer très doucement et entièrement.

Guillaume se met à coulisser dans mon conduit. Il éjacule sa semence bien au fond de moi, se retire doucement et laisse Thierry en plan. Thierry reste en moi. Guillaume sort de la tente de Thierry. Je demande à Thierry pourquoi Guillaume est parti, on s'amusait bien. Thierry m'annonce que Guillaume a rendez-vous avec un autre gars. Jean-Michel est un autre gars du groupe qui attend en jockstrap enfilé sur des fesses toutes rasées dans une tente voisine.

Durant la nuit, Thierry et moi, Guillaume et Jean-Michel émettent des bruits très suspects. Heureusement, il n'y a personne aux alentours. Je reste sur Thierry. Thierry et moi, nous nous couchons sur le coté (en mode cuillère). Nous entendons Guillaume et Jean-Michel dans la tente d’à côté en train de faire des galipettes endiablées. Jean-Michel gémit sous les coups de boutoirs virils de Guillaume. Ces bruits donne des idées à Thierry qui est encore en moi. Thierry se remet en action aussitôt. Son bassin me claque les fesses.

Guillaume et Thierry sont presque synchro. Ils atteignent le point de non-retour en même temps. Thierry jouit en moi. Guillaume jouit en Jean-Michel. Thierry et moi nous endormons, tandis que Guillaume et Jean-Michel restent à baiser toute la nuit. Thierry encore en moi, fait bouchon.

Le lendemain matin, il est temps pour moi de faire mon sac pour partir. J'embrasse Thierry. Je lui dis que j'essaierai de venir à son prochain séjour normand.

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