Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

11 janv. 2021

Dans la cité, partie 2

Le récit fait suite à une première partie...


Quinze jours après, je retourne voir mes amis et reviens dans le même état que la dernière fois. L'alcool a eu, encore une fois, raison de moi. Je tiens encore debout mais les idées plus trop claires.

Je me décide à repasser par ce passage sous la barre d'immeubles dans la cité où jouent tam-tams et chants africains. L'éclairage public est éteint et il fait noir par l'absence de lune.

J'ai envie de revoir le rebeu de la dernière fois. J’arrive dans le souterrain. Je baisse mon pantalon sur les chevilles et garde mon jockstrap blanc à moitié usé. Je pose mes mains sur le mur, écarte les jambes, le dos cambré. J'attends. Je n'ai pas eu le temps de compter jusqu’à la minute quand je sens quelque chose d'énorme qui semble forcer l'arrière-train. Cette chose me pénètre lentement et entièrement. J'encaisse les vingt cinq centimètres, les uns après les autres, sans broncher. Je serre les dents. Au fond de moi, je me pose la question qui peut avoir un appendice sexuel aussi long et aussi gros. Je devine facilement que ce n'est pas le rebeu mais un africain d’Afrique centrale qui me déchire le cul. Cet africain d'âge moyen est hyper bien membré avec deux grosses boules lourdes. Sa tige est droite et légèrement veiné.

Cet africain commence alors son travail.. Il débute des mouvements de bassin lents et de faible amplitude. Plus le temps défile, les mouvements se font de plus en plus rapides et plus forts. Mon orifice anal prend cher. Il ne compte pas en rester là. Il décide de stopper une ou deux secondes au fond de moi avant de reprendre une baise plus intense. Cette fois-ci, il sort et rentre rapidement pendant de longues minutes. Mon anus chauffe et devient humide. Au bout de quinze minutes qui m'ont parues une éternité, il me pénètre presque violemment pour s'immobiliser au fond en ayant des spasmes de jouissance intense. Il est en train de se vider en moi. Pendant qu'il dépose sa semence, je le sens qu'il fait un mouvement comme si il ramasse quelque chose à terre tout en restant à l'intérieur de moi. Il se retire doucement de mon anus tout endolori. Aussitôt, je sens quelque chose de conique en silicone d'une bonne circonférence me pénétrer pour me boucher le conduit. Cet africain me susurre à l'oreille de rentrer très vite chez moi, d'enlever le plug et de récupérer la semence dans un verre et l'avaler jusqu'à le dernière goutte.

Je remonte mon jean et rentre chez moi aussitôt sans avoir pu lui demander si je dois lui rendre ou garder le plug, ni lui demander son patronyme.

F I N

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