Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

21 déc. 2022

Le défi de Jean-Michel

En plein mois de décembre, Jean-Michel rend visite à son meilleur pote Guillaume pour trois-quatre jours. Jean-Michel émet le vœu de tester seul sa résistance au froid sur le Ventoux. Guillaume demande alors à Jean-Michel s’il est devenu fada. Jean-Michel réitère son vœu.

Guillaume organise, à la dernière minute, une réservation pour une nuitée dans une chambre double à l’auberge au pied du Ventoux. Justement, l’auberge est quasi vide en cette période hivernale. Guillaume a l’embarras du choix. Sur la dizaine de chambres composant l’auberge, deux chambres sont occupées par quatre gendarmes du P.G.H.M. Leur grand 4x4 rallongé est dans la cour, prêt à partir en intervention de secours.

Le surlendemain, Guillaume et Jean-Michel arrivent dans l’après-midi. Ils déposent leurs sacs dans la chambre. Jean-Marc s’habille en conséquence. Il oublie d’informer Guillaume qu’il a mis sur lui, un jockstrap et un maillot de coton blanc à bretelles sous la côte de ski. Par-dessus tout ça, il a un blouson fluo jaune. À ses pieds, Jean-Michel porte des grosses chaussures à crampons.

Jean-Michel embrasse furtivement Guillaume sur la bouche. Il lui dit qu’il va l’appeler quand son périple sera fini. Il part faire sa randonnée à pied. Il a installé sa lampe frontale sur la tête pour éclairer son chemin.

Plus tard, dans la soirée, Guillaume n’ayant pas de nouvelles de Jean-Michel, commence à s’inquiéter gravement. Il commence à se faire un film. Est-il tombé dans un ravin sur le bord de la route ? Est-il aux mains d’un pervers ? … Tout défile dans la tête. Il se résigne à alerter les gendarmes installés dans les chambres à proximité de la leur. Il sort de sa chambre affolé et très inquiet. Il leur dit que son ami Jean-Michel est parti seul effectuer une rando pédestre sur la route vers le Ventoux, et qu’il n’a pas donné signe de vie depuis plusieurs heures. Le gendarme Thierry, qui a ouvert la porte, réveille un de ses collègues. Thierry le rassure qu’il a très bien fait de les alerter. Thierry et son collègue descendent de l’auberge montent dans leur 4x4. Ils font monter Guillaume à l’arrière. Le 4x4 démarre. Le conducteur allume la rampe de lumières bleue et orange.

Au bout de deux bonnes heures de recherches, ils repèrent dans la lueur des phares, le blouson jaune fluo de Jean-Michel à terre sur le bas-côté. Ils s’arrêtent juste avant pour la protection. Thierry et Guillaume descendent du 4x4 et atteignent Jean-Michel. Ils s’aperçoivent que Jean-Michel tremble de partout. Il est en très grande hypothermie. Thierry demande à Guillaume de veiller que Jean-Michel ne s’endorme pas, le temps qu’il sorte le brancard à l’arrière du 4x4. Thierry arrive avec le brancard. Guillaume et Thierry prennent Jean-Michel et le pose sur ce brancard et ne tarde pas à le ramener à l’intérieur du véhicule.

Thierry annonce à Guillaume qu’il va falloir le réchauffer sans traîner. Le gendarme Thierry sort de son sac de secours, déploie une couverture de survie. Thierry suggère à Guillaume de se mettre complètement à poil et de se coller à Jean-Michel sous la couverture de survie. Guillaume ne veut pas perdre son ami. Sans réfléchir, Guillaume obéit au gendarme. Le gendarme Thierry dit au chauffeur installé au volant de démarrer et de redescendre vers l’auberge. Le gendarme se déshabille aussi et se colle à Jean-Michel. La chaleur de Guillaume, collé en peau à peau sur Jean-Michel, le fait monter en érection entre les fesses rasées de son ami. Le gendarme voit que Guillaume bande bien. Il lui dit qu'il a ordre de le pénétrer par le cul. Guillaume obtempère. Jean-Michel a maintenant la grosse bite de Guillaume dans son cul.

Les trépidations du 4x4 qui redescend vers l'auberge fait monter la pression. Guillaume est sur le point d'expulser cette grosse pression.

Thierry voit que Guillaume se retient tant qu'il peut. Il lui dit qu'il peut tout lâcher.

De voir Guillaume réchauffer Jean-Marc de cette manière, lui donne des idées. Thierry, armé de son « arme de sevice », décide de participer au réchauffage express aussi de Jean-Michel. Guillaume sort de sous la couverture de survie et se rhabille. Thierry se place sous la couverture et s'introduit dans Jean-Michel. Thierry n'attend pas longtemps et se libère dans les entrailles de Jean-Michel.

Le chauffeur du 4x4 appelle les deux autres gendarmes restés à l'auberge de descendre car le véhicule est sur le point d'arriver et qu'il vont avoir besoin d'aide pour monter une personne dans sa chambre.

Arrivés à l'auberge, les deux autres gendarmes ouvrent les portes arrières, tirent le brancard hors du véhicule. Ils portent à bout de bras Jean-Michel jusqu'au lit dans la chambre.

Guillaume remercie les gendarmes de l'avoir aidé aux recherches et au sauvetage de son ami Jean-Michel. Le gendarme Thierry dit à Guillaume que c'est leur mission de sauver des vies. Les gendarmes repartent dans leurs chambres un peu plus loin dans le couloir.

Jean-Michel est maintenant réchauffé et hors de danger. Guillaume demande s'il est devenu fou d'être sorti par ce froid de gueux. Jean-Michel lui répond que s'il a fait ça, c'est pour savoir jusqu'à quel point Guillaume l'aime.

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