Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

29 mars 2024

Ma première séance de sauna.

Alors que je viens de finir de me faire bien défoncer le cul par un Rachid, arabe, la bonne quarantaine, de beaux pecs rasés et une teub de vingt-quatre centimètres bien épais. Il me demande si je suis déjà allé dans un sauna. Je lui dis que je ne suis jamais allé dans un sauna. Il est très surpris de ma réponse. Il me dit de prendre juste un shampooing-douche et une serviette pour m’essuyer après la douche. je ferme mon logement et je le suis jusqu'à sa voiture.

Il m’emmène dans sa grosse berline BMW de luxe, noire, intérieur cuir et vitres fumées. En chemin, il appelle le sauna et annonce qu’il amène un novice.

Après une demie heure de trajet, nous arrivons et s'arrêtons pile poil devant le sauna. Un voiturier vient m'ouvrir la porte passager. Je descends. Le jeune voiturier rebeu en costume m’accueille et salue Rachid en le nommant “Boss”.

Je devine aussi que je suis donc en compagnie du propriétaire de ce sauna, qui plus est, exclusivement destiné à la communauté gay masculine. Je le devine puisque, sur la façade, figure un immense drapeau arc-en-ciel accolé au drapeau de la communauté nord-africaine (Algérie, Maroc et Tunisie).

J’entre. Un large hall éclairé s’offre à moi. Un comptoir d’accueil se trouve à droite. Rachid m’accompagne tout au long de ce cheminement. Le rebeu de l'accueil porte une djellaba blanche. Le tissu est très léger et presque transparent. Ce tissu laisse deviner que ce rebeu est tout nu dessous. Il porte même une cage de chasteté à cadenas dont seul Rachid possède la clé passe-partout. Cette cage a juste pour utilité de permettre à son porteur de se soulager seulement la vessie. J’apprends par Rachid que tous ses employés portent une cage de chasteté à cadenas. Il y a que Rachid qui n’en porte pas.

Le rebeu de l’accueil me tend une serviette blanche aux dimensions peu communes. La serviette est longue d’un mètre environ et large de vingt-cinq ou trente centimètres de large. Je m’interroge. Rachid me rassure et me dit que je vais comprendre très bientôt.

Rachid m’invite à rentrer dans une cabine de déshabillage avec lui. Il se déshabille aussi. Il ne prend pas la peine de porter de serviette autour de la taille. Sa nudité n’a plus aucun secret pour tout le personnel et quelques habitués, triés sur le volet.

Me voila, ne portant que cette petite serviette blanche à la taille, qui avance aux côtés de Rachid. Plus j’avance, plus la lumière disparaît. Je n’en mène pas large. Rachid plonge sa main sous la serviette et me prend par la bite. Il m’emmène dans une pièce à l’atmosphère chaude. La pièce est aveugle. Seule luminosité que je peux voir, ce sont deux LED encadrant la poignée. Là, il me demande de poser ma serviette sur le banc.

Rachid ressort de la pièce en me laissant et en me disant de me relaxer, qu’il reviendra me chercher dans une heure. Un silence règne. Enfin, pas un silence de mort. Je perçois quelques respirations humaines et d’innombrables cliquetis de gourmettes.

Au bout d’un temps, je sens des perles de sueur couler de mon corps nu. Je sens des grosses mains me frôler les cuisses.

Je sens une main me saisir la mienne pour la poser sur un bel engin orné d’un piercing au gland. Une autre main me saisit la tête pour me forcer à sentir une aisselle bien fournie en poils bruns et odorants. Je prends une bonne inspiration et je perds la raison. Je me penche et commence à prendre dans ma bouche cette bite percée. Pendant que je suce cette bite, je sens un doigt vouloir me fouiller l’anus. Je n’ose pas résister au risque d’offusquer mes voisins de sauna. Ce doigt s’insère un très court instant et ressort. Une voix arabe se fait entendre. Je ne comprends rien à ce qu'il dit. J’ose deviner que mon cul va prendre très cher dans pas longtemps et que j’allais devenir leurs vide couilles.

J’ai bien deviné mon sort puisque deux mains me prennent les jambes pour les écarter. Je sens la bite avec le Prince Albert me pénétrer profondément. Au bout de dix minutes, je sens mon cul se remplir. Ce mec se retire. Un autre le remplace, un autre prend la suite, jusqu’à ce que mon cul soit bien chauffé à blanc. Après mon compte à 6, je m’arrête de compter. La dernière bite, mon sphincter s’en souvient encore. C’est un monstre ! Il s'insère un peu difficilement, malgré toutes celles passées juste avant. Heureusement, j’ai gardé toutes les doses de jus au fond de moi pour permettre une excellente lubrification de la dernière baise. Cette dernière se retire doucement afin que mon sphincter se referme bien. Rachid ne revient pas les mains vides. Il insère dans mon cul, un plug semi-rigide d’assez bonne taille. Il me susurre à l’oreille de le garder. C'est un cadeau offert par la maison. Rachid me prend la main et me sort de la pièce. Il me demande si j’ai pu me relaxer et me détendre. Je lui réponds que oui. Je prends mes affaires et ma serviette, vais à la douche chaude pour enlever cette odeur de sueurs et de spermes et me rhabiller.

Dans le hall de ce sauna, je demande gentiment à Rachid s’il accepte de m’appeler un taxi ou de me ramener chez moi. Il me répond aussi sec : “Non ! Tu es ma pute !”.

Je sors sur le trottoir. Tout à coup, mon portable sonne pour une notification de texto. C’est Rachid qui me dit : “Ne m’en veux pas ! Notre relation doit rester très discrète pour ses employés. Si je peux patienter un petit peu, je te ramènerai chez toi. – Ton Rachid”.

À ces mots, je suis rassuré. Je patiente sur ce trottoir.

Une bonne demie-heure après, la grosse berline luxueuse de Rachid s’arrête à ma hauteur. Je monte par la porte arrière. Rachid me ramène chez moi. Tout le long du trajet, mes boyaux chantent. Faut dire que je n’ai pas été à la noce. En arrivant devant ma porte, je descends et prends mes clés pour ouvrir ma porte d’entrée. La berline s'éloigne.

J’entre chez moi, je me déshabille dans ma chambre et file à la douche. À peine déshabillé que la porte d’entrée sonne. Nu, je vais ouvrir. C’est Rachid, la braguette ouverte avec son oiseau sorti, qui est revenu passer la soirée avec moi. Il entre. Il bande. Je sais ce qu’il veut. Je m’allonge sur le fauteuil du salon. Il me retire le plug et me baise pendant un bon quart d’heure. La baise avec Rachid, ça peut durer cinq minutes comme une demie heure ou une heure, il me fait ça bien.

J’aime mon Rachid. Lui, il n’est pas comme la majorité des rebeus, il prend soin de moi et de mon cul.

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