Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

4 mai 2024

Les marins de Toulon.

Un soir d'été, je descends dans le sud de la France. Je suis curieux de savoir ce que peuvent faire les marins quand ils sont à quai, entre deux missions de six mois en mer.

Je suis vêtu d'un pantalon de cuir ouvert derrière afin d'offrir mon cul gourmand à la vue de tout le monde. Le devant est fermé. Je me dirige donc vers la base militaire où le Charles de Gaulle est stationné pour une relève du personnel navigant et les palettes pour l’intendance. Le soleil tombant, je m'approche du mieux que je peux sans que la police militaire du port soit alertée. J'avais pris soin de me procurer une paire de jumelles pour les observer monter et descendre par cette passerelle de métal.

Au travers de ces jumelles, j'aperçois en train de débarquer, deux beaux marins, la quarantaine, bruns et torses nus, bien musclés, imberbes. Chacun arbore une belle bosse sous leurs pantalons de toile. Au milieu d'eux trois, se trouve un jeune mousse avec une bosse beaucoup moins impressionnante que les deux autres. L'un des militaires semble tenir le plus jeune par la taille. En les voyant, mon cerveau ne fait qu'un tour. Je pense fortement que le blondinet leur sert de vide-couilles pendant leur mission à haut risque dans l'Atlantique.

Je me demande, moi aussi, si je peux me faire remarquer par ces trois militaires pour qu'ils se vident en moi. Comme j'ai préparé mon coup. Je sors de mon sac un gros plug métallique et lumineux que je peux faire clignoter une puissante LED arc-en-ciel comme bon me semble par l’intermédiaire d’une application sur mon smartphone. Je lubrifie efficacement mon anus et y glisse ce plug alimenté par la chaleur corporelle interne. Je m’allonge sur le dos et dirige ce rayon de lumière vers le navire en espérant que ces trois bombes me remarquent au loin. Je n'attends pas très longtemps. Dans les dix minutes qui suivent, je les vois arriver vers moi. Ils ont sorti leurs grosses queues veineuses et rasées hors du pantalon.

L’un d'eux se rapproche de ma bouche pendant que l’autre me prépare bien par un bon léchage de mon trou imberbe. Il force le passage de mes lèvres. Il pousse lentement son gland décalotté au fond de ma gorge pour me faire saliver. Une minute après, il se poste derrière moi. Il retire le plug et s’insère facilement dans mon anus. Il me baise comme un pro. Le deuxième, se place devant moi et me fait ouvrir la bouche et s’insère au fond de ma gorge. Les coups de reins bien frappés dans mon cul du premier me provoquent des soubresauts de mes lèvres sur la bite du deuxième. La bite du deuxième perle sur ma langue. Le premier me pilonne toujours le cul. Le deuxième est sur le point de m’inonder la gorge. Le premier ne s'arrête pas. Le deuxième en une seconde me remplit la bouche de son jus. Quasiment aussitôt, le premier est pris d’une violente secousse, signe de jouissance extrême.

Dix bonnes minutes passent.

Les deux marins ont encore de la pression à évacuer. Ils bandent tout dur. Ils m’ont raconté qu’ils étaient en mer loin de leurs femmes, et qu’ils ont besoin maintenant d'extérioriser tout ce stress. Je devine qu'ils ont encore envie de se vider. Cette fois-ci, celui qui était derrière moi passe devant et réciproquement.

Une bonne baise virile reprend une bonne dizaine de minutes. Mon sphincter s’échauffe.

Je suis surpris par l’endurance de mes deux marins d’un soir. Au bout des dix minutes, ils explosent de concert au plus profond dans mes entrailles et dans ma bouche.

Le plus jeune n’est pas loin à nous observer et faire le guet, au cas où un gradé passe par là.

Une fois leurs stress respectifs libérés, l’un d’eux replace le plug dans mon cul. Les deux marins remballent leurs outils et repartent vers le Charles de Gaulle.

Je me rhabille avec le cul rempli de quatre belles doses et du plug métallique, après avoir éteint la lumière et désactivé le Bluetooth.

En me rhabillant, je me jure de revenir souvent dans ce coin et peut-être revoir mes deux marins.

Aucun commentaire: