Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

6 mars 2025

Les légionnaires en permission

Marius et Swann sont deux légionnaires en permission à Paris. Deux beaux mecs blonds, d’une trentaine d’années aux couilles pleines se baladent dans les rues de Paris.

Sur les Champs Elysées ils ont bien attiré quelques nanas, mais quand elle voyait qu’ils étaient deux.. elles sont toutes parties. Ils ne voulaient pas aller aux putes comme dit Marius, mais se trouver une nana pour passer du bon temps.

Ils sont vraiment potes depuis leur entrée à la Légion.. dans le même régiment, ils prennent leur perm ensemble.. et cela leur est souvent arrivé de faire des partouzes ensemble.. ils se connaissent par cœur, se sont vus nus, baiser, et même il leur est arrivé de baiser ensemble.

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9 févr. 2025

L'arrêt de travail

Il y a plusieurs décennies, j’étais un jeune gendarme de vingt cinq ans, en région parisienne. Mon supérieur direct me donne une feuille “Ordre de Mission” sur laquelle est indiquée une adresse en province proche, où je dois me rendre afin de récupérer un papier chez un militaire en arrêt de travail pour lui éviter une procédure disciplinaire pour absence irrégulière.

Je consulte quel véhicule sérigraphié est disponible. Je regarde une carte routière où se trouve cette adresse en question. Je me mets en route.

Arrivé devant l’adresse, je descends de voiture, remet mon képi en place. Je ferme la voiture à clé. Juste avant de sonner, je colle une oreille sur la porte. j’entends des bruits bizarres venant de l’intérieur. Je sonne. Les bruits cessent. Quelques dizaines de secondes plus tard, la porte s'ouvre. Un jeune arabe avec les boutons de la braguette ouverte du jean, d’une petite vingtaine d'années, se présente. J’explique que je dois voir une personne prénommée Salim. Le premier arabe qui ouvre la porte s’appelle Abdel. Il dit qu’un gendarme est là et qu’il voudrait le voir pour récupérer un document d’arrêt de travail, s’il ne veut pas avoir de problème avec l’Armée. J’entends Salim dire, depuis la pièce derrière, de me faire entrer. J’entre. Sur la télé, est figée une image de porno gay venant d’une cassette vidéo VHS. L’image est abîmée dûe sans doute au nombre de fois incalculables de lectures et relectures. Salim et Abdel semblent être mal à l’aise face à la situation d’être surpris. Je les rassure que je ne dirais rien du tout. Je ne le montre pas encore, avoir sous les yeux, deux belles bites arabes dressées, commencent sagement à m'exciter.

Salim est nu sur le canapé. Son jean est sur les chevilles. Il ne porte pas de slip. S’afficher nu devant un uniforme ne le dérange pas. Bien au contraire, ça l’excite bien, et se met à bander.

Je tente d'expliquer à Salim que les services de l’Armée n'ont pas reçu le papier de son arrêt de travail. Je le responsabilise en lui disant que s'il ne donne pas suite à leur demande, il sera considéré comme absent irrégulier. Je poursuis à l’informer qu’il risque de faire l’objet d’un rapport, une autre équipe de gendarmes viendra le chercher, lui passer les menottes, pour qu’il s’explique avec ses supérieurs et de passer quelques semaines aux arrêts, dans la cellule de sa caserne. Salim me supplie en secouant son organe en érection, qu’il est prêt à tout faire pour éviter ça. Il m’avoue que s’il est aux arrêts, Abdel sera loin de lui et son cul va lui manquer. Je comprends ce qu’il me dit. Salim demande à Abdel de me montrer son cul. Je suis obligé de convenir que le cul légèrement velu d’Abdel est très beau.

Abdel est juste à côté de lui qui se caresse son engin aussi. Je propose à Abdel de le sucer. Salim, déjà bien excité par ma suce sur Abdel, se lève et se place derrière moi. Salim se colle à moi pour se frotter. je me relève de la suce et dégrafe ma ceinture portant mes menottes et mon arme de service. Je pose ma ceinture sur une chaise à proximité afin de l‘avoir toujours à portée de mon regard. Je reviens à ma suce sur Abdel. Salim commence à me chauffer le trou par une bonne lèche baveuse. On ne le devine pas comme ça, mais un rebeu, ça sait très bien faire. Après quelques minutes, qui ont paru bien longues, Salim se relève et présente son gros sexe sur mon anus. D’un seul coup, il pousse à fond. Il entame des mouvements bien virils. Ce n'est pas courant qu’un rebeu se paie le cul d’un gendarme.

Pendant que Salim me pilonne le cul, je continue la pompe d’Abdel. Les coups de bassin réguliers de Salim sur mon cul me font faire des trucs sur la qualité de la fellation.

Au bout d’un moment, je sens que Abdel est sur le point de jouir, Salim est lui aussi de m’inonder le cul, mes deux rebeus se regardent et lâchent simultanément et puissamment leurs doses dans ma gorge et dans mon cul.

J’avale le jus d’Abdel et je lui nettoie sa bite. Quant à Salim, il se retire doucement pour que je puisse refermer mes sphincters correctement et d'emprisonner au fond de moi, les petits soldats de Salim.

Je me relève, remet mon pantalon et remet en place mon ceinturon.

Salim va chercher le papier que je lui avais demandé tout à l’heure. Il me le donne. Je le remercie. À partir de maintenant, il devrait plus avoir de soucis avec sa caserne. Abdel me donne un verre d’eau pour me rincer la bouche. Je bois. Salim me tend un bout de papier avec son numéro de téléphone et me dit qu’il sera à mon service si j’ai besoin de lui.

Je remets mon képi et je sors.

Je prends mes clés de voiture et reviens à ma brigade.

5 janv. 2025

La pause déjeuner

Je suis Florian, 35 ans, chef d’équipe de 8 hommes de chantier. Deux blacks, deux rebeus, deux français et deux portugais, tous à peu près du même âge.

Comme moi, ils sont tous mariés. J’ai deux beaux enfants, un garçon et une fille que j’adore et qui me le rendent bien. J’aime ma femme comme au premier jour et même plus, elle adore faire l’amour et nous avons de sérieuses parties de baises tous les deux. La seule chose qu’elle me refuse, et je n’insiste plus maintenant, c’est la sodomie.

On parle beaucoup avec mes hommes. Nous discutons de nos femmes, de nos enfants et des baises. Il y en a toujours un pour raconter une anecdote.

Tous les midis pétants, on s’arrête pour la pause déjeuner, c’est sacré et ça bouffe des hommes de chantier ! On est plus souvent ensemble qu’avec nos femmes. On mange ensemble le midi. On prend une douche le soir avant de débaucher dans l’Algéco qui nous suit !

IA chantier ouvriers torses nus LGL

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