Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

19 oct. 2024

Alex et Tim

Alex veut repeindre les murs et le plafond de sa salle de bains. Il décide alors d'aller au magasin de bricolage pour chercher des idées de couleurs.

Alex traîne dans les rayons. Un premier vendeur roux et mince, vient voir Alex. Alex demande des conseils pour repeindre une salle de bain. Ce jeune vendeur dit qu'il va appeler un autre collègue qui s'y connaît beaucoup mieux en peinture (et surtout en manche de pinceau).

Alex est surpris par ce deuxième vendeur. Il croit rêver en voyant un mec en t-shirt blanc avec le logo de l'enseigne et un pantalon de jean blanc à peine moulant.

Il ressemble à deux gouttes d'eau à un acteur allemand de porno gay.

Alex en reste bouche bée. Il essaie de bredouiller quelques mots en allemand pour vérifier son intuition. Ce vendeur lui répond.

Et là, Alex se liquéfie en réalisant que c'est bien Tim qui est en train de le servir.

Alex explique à Tim qu'il ne sait pas peindre correctement un plafond ou un mur, et qu'il accepte toute aide technique. Tim explique à Alex qu'il est très difficile de peindre un plafond sans laisser de traces.

Alex et Tim restent discrets. Ensemble, il vont établir les devis des matériaux, et de la main d'œuvre et définir la date du début de ces travaux.

Trois ou quatre jours plus tard, Tim arrive chez Alex. Tim annonce que chez lui, il kiffe peindre tout nu. Aussitôt, Alex lui répond que ça ne le dérange pas, bien au contraire. Rien qu'à regarder un ouvrier travailler nu, ça l’excite beaucoup.

Dans l'excitation du moment, Alex se met tout nu aussi, ce qui a pour effet de faire bander Tim. Tim est très embarrassé. Alex dit à Tim qu'il n'y a qu'un seul moyen de faire disparaître ce problème ennuyeux. Alex se met devant Tim, s'agenouille et met la grosse bite dans sa bouche. Tim ferme les yeux, marmonne quelques autres mots germaniques.

Alex, à force de venir en aide à ses voisins, devient un pro de la suce. Il fait traîner son art pour retarder au maximum le moment où Tim lui explose tout son épais jus en fond de gorge. Alex avale et sort de la salle de bain pour laisser Tim tranquille pour travailler.

Une bonne heure passe. Tim rappelle Alex. Alex entre dans la salle de bain, constate que Tim a encore une fois une belle érection. Alex soupire et il décide de passer à autre chose.

Alex présente son cul à Tim pour qu'il le prépare. Tim s'agenouille, à son tour, pour lui lécher le trou.Après quelques minutes, Tim se relève et présente ses vingt-cinq centimètres à l'entrée de l’anus d'Alex. Tim pousse son gland. L'orifice d’Alex s’ouvre pour épouser le diamètre de l’engin de Tim. Tim commence doucement par des mouvements très doux, puis augmente peu à peu la cadence et la force.

Au bout d’un bon quart d’heure, Tim se libère à l’intérieur d’Alex.

Tim se retire doucement pour laisser le sphincter anal se refermer gentiment et sans douleur. Il embrasse Alex sur la bouche, pour lui dire qu’il a bien aimé baiser avec lui.

Tim reprend son rouleau de peinture et corrige des erreurs.

Une fois fini, Tim se rhabille et tend sa carte de visite perso à Alex en lui disant que s’il a des travaux divers à faire, il peut l’appeler sans problème.

20 juil. 2024

Le plombier

Je suis plombier à Paris, plus particulièrement dans les beaux quartiers, genre 16ème, les bourges ne savent rien faire, ils ont toujours besoin et on se fait un max de fric, car ils ne rechignent pas pour payer les sommes proposées…

Je fais des rencontres impossibles, des personnes de tous genres… si je n’étais pas pédé jusqu’au bout des orteils, qu’est ce que j’aurais pu sauter comme bourges, de vraies petites putes en chaleur!

C’est vrai que je suis un beau mec, sans me vanter, j’arrive à 30 ans, je bande facilement, mais je préfère les mecs, les minets de préférence, mais, quand on sait bien m’exciter…

Ce jour là je suis allé avenue Victor Hugo, j’étais appelé pour une fuite d’eau. Lorsque je me suis présenté, j’ai été reçu par une belle femme, qui m’a expliqué la panne, m’a montré l’endroit où cela se passait, m’a montré le robinet d’arrivée d’eau et m’a dit de me débrouiller car elle devait partir.

Pour lire la suite, c'est ICI !

4 mai 2024

Les marins de Toulon.

Marins noir&blanc

Un soir d'été, je descends dans le sud de la France. Je suis curieux de savoir ce que peuvent faire les marins quand ils sont à quai, entre deux missions de six mois en mer.

Je suis vêtu d'un pantalon de cuir ouvert derrière afin d'offrir mon cul gourmand à la vue de tout le monde. Le devant est fermé. Je me dirige donc vers la base militaire où le Charles de Gaulle est stationné pour une relève du personnel navigant et les palettes pour l’intendance. Le soleil tombant, je m'approche du mieux que je peux sans que la police militaire du port soit alertée. J'avais pris soin de me procurer une paire de jumelles pour les observer monter et descendre par cette passerelle de métal.

Au travers de ces jumelles, j'aperçois en train de débarquer, deux beaux marins, la quarantaine, bruns et torses nus, bien musclés, imberbes. Chacun arbore une belle bosse sous leurs pantalons de toile. Au milieu d'eux trois, se trouve un jeune mousse avec une bosse beaucoup moins impressionnante que les deux autres. L'un des militaires semble tenir le plus jeune par la taille. En les voyant, mon cerveau ne fait qu'un tour. Je pense fortement que le blondinet leur sert de vide-couilles pendant leur mission à haut risque dans l'Atlantique.

Je me demande, moi aussi, si je peux me faire remarquer par ces trois militaires pour qu'ils se vident en moi. Comme j'ai préparé mon coup. Je sors de mon sac un gros plug métallique et lumineux que je peux faire clignoter une puissante LED arc-en-ciel comme bon me semble par l’intermédiaire d’une application sur mon smartphone. Je lubrifie efficacement mon anus et y glisse ce plug alimenté par la chaleur corporelle interne. Je m’allonge sur le dos et dirige ce rayon de lumière vers le navire en espérant que ces trois bombes me remarquent au loin. Je n'attends pas très longtemps. Dans les dix minutes qui suivent, je les vois arriver vers moi. Ils ont sorti leurs grosses queues veineuses et rasées hors du pantalon.

L’un d'eux se rapproche de ma bouche pendant que l’autre me prépare bien par un bon léchage de mon trou imberbe. Il force le passage de mes lèvres. Il pousse lentement son gland décalotté au fond de ma gorge pour me faire saliver. Une minute après, il se poste derrière moi. Il retire le plug et s’insère facilement dans mon anus. Il me baise comme un pro. Le deuxième, se place devant moi et me fait ouvrir la bouche et s’insère au fond de ma gorge. Les coups de reins bien frappés dans mon cul du premier me provoquent des soubresauts de mes lèvres sur la bite du deuxième. La bite du deuxième perle sur ma langue. Le premier me pilonne toujours le cul. Le deuxième est sur le point de m’inonder la gorge. Le premier ne s'arrête pas. Le deuxième en une seconde me remplit la bouche de son jus. Quasiment aussitôt, le premier est pris d’une violente secousse, signe de jouissance extrême.

Dix bonnes minutes passent.

Les deux marins ont encore de la pression à évacuer. Ils bandent tout dur. Ils m’ont raconté qu’ils étaient en mer loin de leurs femmes, et qu’ils ont besoin maintenant d'extérioriser tout ce stress. Je devine qu'ils ont encore envie de se vider. Cette fois-ci, celui qui était derrière moi passe devant et réciproquement.

Une bonne baise virile reprend une bonne dizaine de minutes. Mon sphincter s’échauffe.

Je suis surpris par l’endurance de mes deux marins d’un soir. Au bout des dix minutes, ils explosent de concert au plus profond dans mes entrailles et dans ma bouche.

Le plus jeune n’est pas loin à nous observer et faire le guet, au cas où un gradé passe par là.

Une fois leurs stress respectifs libérés, l’un d’eux replace le plug dans mon cul. Les deux marins remballent leurs outils et repartent vers le Charles de Gaulle.

Je me rhabille avec le cul rempli de quatre belles doses et du plug métallique, après avoir éteint la lumière et désactivé le Bluetooth.

En me rhabillant, je me jure de revenir souvent dans ce coin et peut-être revoir mes deux marins.

29 mars 2024

Ma première séance de sauna.

Alors que je viens de finir de me faire bien défoncer le cul par un Rachid, arabe, la bonne quarantaine, de beaux pecs rasés et une teub de vingt-quatre centimètres bien épais. Il me demande si je suis déjà allé dans un sauna. Je lui dis que je ne suis jamais allé dans un sauna. Il est très surpris de ma réponse. Il me dit de prendre juste un shampooing-douche et une serviette pour m’essuyer après la douche. je ferme mon logement et je le suis jusqu'à sa voiture.

Il m’emmène dans sa grosse berline BMW de luxe, noire, intérieur cuir et vitres fumées. En chemin, il appelle le sauna et annonce qu’il amène un novice.

Après une demie heure de trajet, nous arrivons et s'arrêtons pile poil devant le sauna. Un voiturier vient m'ouvrir la porte passager. Je descends. Le jeune voiturier rebeu en costume m’accueille et salue Rachid en le nommant “Boss”.

Je devine aussi que je suis donc en compagnie du propriétaire de ce sauna, qui plus est, exclusivement destiné à la communauté gay masculine. Je le devine puisque, sur la façade, figure un immense drapeau arc-en-ciel accolé au drapeau de la communauté nord-africaine (Algérie, Maroc et Tunisie).

J’entre. Un large hall éclairé s’offre à moi. Un comptoir d’accueil se trouve à droite. Rachid m’accompagne tout au long de ce cheminement. Le rebeu de l'accueil porte une djellaba blanche. Le tissu est très léger et presque transparent. Ce tissu laisse deviner que ce rebeu est tout nu dessous. Il porte même une cage de chasteté à cadenas dont seul Rachid possède la clé passe-partout. Cette cage a juste pour utilité de permettre à son porteur de se soulager seulement la vessie. J’apprends par Rachid que tous ses employés portent une cage de chasteté à cadenas. Il y a que Rachid qui n’en porte pas.

Le rebeu de l’accueil me tend une serviette blanche aux dimensions peu communes. La serviette est longue d’un mètre environ et large de vingt-cinq ou trente centimètres de large. Je m’interroge. Rachid me rassure et me dit que je vais comprendre très bientôt.

Rachid m’invite à rentrer dans une cabine de déshabillage avec lui. Il se déshabille aussi. Il ne prend pas la peine de porter de serviette autour de la taille. Sa nudité n’a plus aucun secret pour tout le personnel et quelques habitués, triés sur le volet.

Me voila, ne portant que cette petite serviette blanche à la taille, qui avance aux côtés de Rachid. Plus j’avance, plus la lumière disparaît. Je n’en mène pas large. Rachid plonge sa main sous la serviette et me prend par la bite. Il m’emmène dans une pièce à l’atmosphère chaude. La pièce est aveugle. Seule luminosité que je peux voir, ce sont deux LED encadrant la poignée. Là, il me demande de poser ma serviette sur le banc.

Rachid ressort de la pièce en me laissant et en me disant de me relaxer, qu’il reviendra me chercher dans une heure. Un silence règne. Enfin, pas un silence de mort. Je perçois quelques respirations humaines et d’innombrables cliquetis de gourmettes.

Au bout d’un temps, je sens des perles de sueur couler de mon corps nu. Je sens des grosses mains me frôler les cuisses.

Je sens une main me saisir la mienne pour la poser sur un bel engin orné d’un piercing au gland. Une autre main me saisit la tête pour me forcer à sentir une aisselle bien fournie en poils bruns et odorants. Je prends une bonne inspiration et je perds la raison. Je me penche et commence à prendre dans ma bouche cette bite percée. Pendant que je suce cette bite, je sens un doigt vouloir me fouiller l’anus. Je n’ose pas résister au risque d’offusquer mes voisins de sauna. Ce doigt s’insère un très court instant et ressort. Une voix arabe se fait entendre. Je ne comprends rien à ce qu'il dit. J’ose deviner que mon cul va prendre très cher dans pas longtemps et que j’allais devenir leurs vide couilles.

J’ai bien deviné mon sort puisque deux mains me prennent les jambes pour les écarter. Je sens la bite avec le Prince Albert me pénétrer profondément. Au bout de dix minutes, je sens mon cul se remplir. Ce mec se retire. Un autre le remplace, un autre prend la suite, jusqu’à ce que mon cul soit bien chauffé à blanc. Après mon compte à 6, je m’arrête de compter. La dernière bite, mon sphincter s’en souvient encore. C’est un monstre ! Il s'insère un peu difficilement, malgré toutes celles passées juste avant. Heureusement, j’ai gardé toutes les doses de jus au fond de moi pour permettre une excellente lubrification de la dernière baise. Cette dernière se retire doucement afin que mon sphincter se referme bien. Rachid ne revient pas les mains vides. Il insère dans mon cul, un plug semi-rigide d’assez bonne taille. Il me susurre à l’oreille de le garder. C'est un cadeau offert par la maison. Rachid me prend la main et me sort de la pièce. Il me demande si j’ai pu me relaxer et me détendre. Je lui réponds que oui. Je prends mes affaires et ma serviette, vais à la douche chaude pour enlever cette odeur de sueurs et de spermes et me rhabiller.

Dans le hall de ce sauna, je demande gentiment à Rachid s’il accepte de m’appeler un taxi ou de me ramener chez moi. Il me répond aussi sec : “Non ! Tu es ma pute !”.

Je sors sur le trottoir. Tout à coup, mon portable sonne pour une notification de texto. C’est Rachid qui me dit : “Ne m’en veux pas ! Notre relation doit rester très discrète pour ses employés. Si je peux patienter un petit peu, je te ramènerai chez toi. – Ton Rachid”.

À ces mots, je suis rassuré. Je patiente sur ce trottoir.

Une bonne demie-heure après, la grosse berline luxueuse de Rachid s’arrête à ma hauteur. Je monte par la porte arrière. Rachid me ramène chez moi. Tout le long du trajet, mes boyaux chantent. Faut dire que je n’ai pas été à la noce. En arrivant devant ma porte, je descends et prends mes clés pour ouvrir ma porte d’entrée. La berline s'éloigne.

J’entre chez moi, je me déshabille dans ma chambre et file à la douche. À peine déshabillé que la porte d’entrée sonne. Nu, je vais ouvrir. C’est Rachid, la braguette ouverte avec son oiseau sorti, qui est revenu passer la soirée avec moi. Il entre. Il bande. Je sais ce qu’il veut. Je m’allonge sur le fauteuil du salon. Il me retire le plug et me baise pendant un bon quart d’heure. La baise avec Rachid, ça peut durer cinq minutes comme une demie heure ou une heure, il me fait ça bien.

J’aime mon Rachid. Lui, il n’est pas comme la majorité des rebeus, il prend soin de moi et de mon cul.

18 août 2023

Le bédouin d'Oman

J’étais écoeuré… j’avais encore vu mon mec me tromper encore une fois malgré ses promesses… certes il aimait baiser, se faire défoncer serait plus le terme… je pense qu’il m’aimait mais fallait qu’il aille voir ailleurs et se prenne toutes les bites qui passent…

Alors cette fois, plus d’ultimatum, j’ai pris le taureau par les cornes, je lui ai préparé ses valises et il les a trouvé dans l’entrée de l’appart… j’ai été intransigeant, je lui ai réclamé le double des clés et je l’ai foutu à la porte, je ne voulais plus le voir… il s’est mis à genoux devant moi, me suppliant, mais cette fois j’ai tenu bon et je l’ai laissé partir… j’en avais gros sur le coeur.. mais c’est ça qu’il me fallait pour revivre.

Certes, j’ai été abattu quelques temps, il y avait un vide à la maison, mais je n’avais pas envie de retrouver un mec de suite… je décidais de partir en vacances, il me restait des RTT à prendre… j’ai donc cassé ma tirelire… je suis allé dans une agence, et écouté les conseils du jeune mec qui vantait ses vacances clés en mains… c’est en me parlant du sultanat d’Oman que j’ai été attiré.. un voyage pour découvrir le pays en groupe de 12 personnes, avec bivouacs dans le désert… je pris donc cette option et trois semaines plus tard je m’envolais direction Oman. Seul.

Nous avons atterri à Mascate… différence de températures rapide… mais tout était magnifique.. nous étions 12 français, des couples et enfants, et moi. Nous avions un guide qui parlait le français. Il nous a fait découvrir la ville, et notre logement pour deux nuits… un palace… Ce fut un séjour très agréable et une visite inoubliable… mais le plus merveilleux arrivait.

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15 août 2023

Esteban, Partie 2

Le lendemain après-midi, Miguel est parti travailler. Dehors, le soleil tape aussi fort que la veille. Esteban est encore tout nu. L’autre ouvrier frappe à la porte pour demander un grand verre d’eau pour étancher sa soif.

L’autre ouvrier est un arabe, le même âge que le black de la veille, bien gâté par la nature. Esteban fait entrer l’arabe. Ils vont devant le placard des verres. Esteban balance une jambe sur le côté pour la poser sur le plan de travail. L'arabe regarde Esteban. Il est surpris de la grande souplesse du gamin.

Tout comme pour son collègue ouvrier black de la veille, l'arabe raisonne qu'étant bien hétéro, il peut aussi s'amuser un peu. Il ouvre le zip de son jean, il sort son sexe déjà bien bandant, et en rien de temps, l'arabe crache dans sa main et étale la salive sur l'anus. Il pénètre avec ses vingt-trois centimètres Esteban doucement mais sûrement. Esteban ne dit rien. Il laisse faire son nouvel ami du jour. Esteban encaisse bien les assauts virils du rebeu. Au bout d'un bon quart d'heure, le rebeu s'enfonce à fond et s'immobilise pour déposer toute sa semence épaisse. Le rebeu se retire. Dans la minute qui suit, le rebeu place sa bouche à la sortie de l'anus et récupère son jus pour ensuite le laisser couler dans la bouche d'Esteban. Esteban avale ce cadeau.

Esteban prend le grand verre dans le placard, fait couler l'eau du robinet et le donne au rebeu. Le rebeu boit son verre d'eau et repart travailler dehors.

Le soir, Miguel revient de son travail exténué. Il demande à Esteban si les ouvriers ont bien travaillé dehors. Esteban répond qu'il n'a qu'à regarder lui-même par la fenêtre. Esteban ne comprend pas bien le sens de la question de son père. Esteban s'interroge de savoir si cette question est à double lecture. Esteban, en se creusant les méninges, constate que ce sont les mêmes ouvriers qui s'occupent de la pelouse et des haies entourant la propriété.

Le lendemain, le black et le rebeu reviennent avec la facture des deux jours de travail. Sur cette facture, deux fois trois heures ont été comptées. Le chiffre du total écrit sur ce document indique un prix inférieur à la hauteur de quinze pour cents de ce qu'il se fait ailleurs. Les ouvriers, ayant eu connaissance de la situation financière de Miguel, ont consenti à cette remise exceptionnelle, sans évoquer la vraie raison.

Miguel paye cette facture, et les remercie très chaleureusement de ce geste.

Vous pouvez retrouver la Partie 1, ... ICI !!

31 juil. 2023

Esteban, Partie 1

Un jeune garçon, Esteban, tout juste majeur, type hispanique reste chez lui. Miguel, son père, électricien, va travailler à l'autre bout de la ville pour ramener de quoi payer ses factures de maison. Miguel a mis sa femme dehors depuis qu'il l'a surprise à ramener d'autres hommes à la maison dès qu’il a le dos tourné.

Il fait chaud. C'est l'été.

Dehors, un ouvrier tond la pelouse et un autre taille la haie. Esteban est à l'intérieur, tout nu et semble pas farouche du tout.

L'un des ouvriers, un black d'une bonne quarantaine d'années, a soif car dehors il fait chaud. Il frappe à la porte de la maison.

Esteban vient ouvrir la porte à l'ouvrier sans cacher son anatomie. L'ouvrier, nu sous sa salopette à bretelles, vient demander gentiment un grand verre d'eau fraîche. Esteban inspecte avec grande attention l'ouvrier et décide de lui donner satisfaction. Il fait rentrer l'ouvrier. Ils se dirigent ensemble vers la cuisine. Devant l'évier, Esteban lance une jambe sur le côté pour atteindre le plan de travail. En essayant d'attraper le bouton de porte du placard au-dessus de l'évier, il offre à l'ouvrier un spectacle qu’il ne peut oublier. Esteban prend son temps et réussit à saisir un grand verre et le remplit au robinet.

L'ouvrier se mouille les lèvres et joue avec son entrejambe. Il se dit qu'un peu de bon temps, ça ne peut pas faire de mal.

Ni une, ni deux, il ouvre le zip de sa tenue de travail et sort une bite ogivale de vingt deux centimètres de longueur et épaisse. Il s'approche d'Esteban par derrière, bite en avant. Il s'agenouille, crache sur l'anus serré du gamin, le pénètre sans trop de difficultés, et commence son travail.

Le gamin ne moufte pas. Au bout de quinze bonnes minutes de travail acharné, l'ouvrier explose tout ce qu'il peut à l'intérieur du gamin. Il ressort quelques instants après.

L’ouvrier remet son outil en place dans sa salopette, boit son verre d'eau. Juste avant de sortir, l'ouvrier donne une petite claque sur les fesses du gamin en disant qu'il sait recevoir les ouvriers, et sort dehors pour finir son travail.

Le soir venu, Miguel rentre du travail. Il demande à Esteban si son après-midi s’est bien déroulée. Esteban répond par un oui. Miguel regarde autour de lui. Rien n’a bougé. Il peut alors faire confiance à Esteban et décide qu’il peut le laisser seul à la maison dans l’avenir.

À SUIVRE...

5 juin 2023

Sur les quais

Très tard, la nuit est en train de tomber, Alex traîne sur le quai de la gare. Il semble chercher quelque chose de spécial. Il baisse l'arrière de son pantalon pour montrer ses fesses à qui voudra bien s'intéresser à lui. Il n'a pas remarqué, bien qu'habitué, que le quai est surveillé par des caméras.

Tout à coup, une voiture s'arrête sur le parvis de la gare. Un homme costaud en descend. Il passe par le petit portail qui sert de porte d'arrivée des voyageurs. Sans bruit, cette silhouette s'avance vers Alex. D'un coup, Alex sursaute quand il sent une main virile qui se pose virilement sur son épaule, et se retourne. C'est Jordan, le policier avec qui il a eu affaire il y a quelque temps.

Alex se perd en excuses. Jordan demande à Alex s'il a sa carte d'identité sur lui. Jordan se tourne vers les caméras pour faire un signe de croix avec ses bras afin que les opérateurs vidéos suspendent la surveillance pendant une bonne vingtaine de minutes environ. La petite led rouge devient alors fixe avant de s'éteindre.

Jordan ouvre son pantalon, baisse son boxer, agrippe Alex par le bassin. Jordan demande si c'est ça qu'il veut. Alex répond par un grand OUI. Alors, Jordan s'allonge à terre, adossé à la petite cahute sur le quai. Jordan est en érection maximale. Alex se met en action. Il chevauche les vingt centimètres épais de Jordan. Il presse Alex d'activer le mouvement pour le faire jouir et qu’il ne faut pas que les caméras viennent à se remettre en marche avant qu'ils aient fini. Alex accélère et serrant un peu son sphincter anal et fait jouir Jordan, qui lui remplit bien le cul.

Alex et Jordan se rhabillent à la hâte, juste à temps avant que les caméras se rallument.

28 mai 2023

Voyage en Tchéquie, Partie 1

J’avais joué à un jeu radio quelques mois auparavant. Un matin, un huissier m'appelle pour m'annoncer que c'est moi qui gagne un voyage d’une semaine en Europe.

Je n’ose pas y croire. Pour me rassurer que ce n'est pas un canular, je lui demande ses coordonnées, pour que je vérifie et que je le rappelle. Effectivement, c’en n’est pas un. Il me confirme le gain.

Plusieurs jours après cet appel, je reçois un billet d’avion par courrier.

Depuis quelque temps, je veux aller visiter la République Tchèque. Je voulais voir les nombreux monuments historiques et culturels, mais aussi la population de Prague.

Le départ approche. Je vérifie si ma carte d’identité et ma carte Vitale Européenne sont encore valides. Il ne faut pas que je ne puisse pas partir à cause de mes papiers non conformes.

Je fais mes valises pour une semaine, dans lesquelles, je mets quatre ou cinq boxers, autant de jockstraps, mon nécessaire de toilette et de rasage, des jeans, des pulls, un pyjama, mon appareil photo avec ma carte mémoire et mon chargeur de batterie.

La veille du départ, je vais voir mon voisin de confiance pour lui dire que je vais m’absenter une semaine, et qu’il ne s’inquiète surtout pas.

Le jour dit, un chauffeur de taxi sonne à ma porte. Il me prend mes valises pour les charger dans le coffre et il m’attend dehors. Je n’ai pas remarqué tout de suite que c’est un beau chauffeur de taxi black. Je vérifie que je n’ai pas oublié d’éteindre une lumière, d’avoir fermé le gaz. Je ferme la porte à clé. Je monte dans le taxi. En chemin, le chauffeur et moi discutons d'un peu de choses banales.

Le taxi arrive à l'aéroport. Le chauffeur black me fait descendre. Il va chercher mes valises dans son coffre et me les remet. Je prends mes papiers, mon billet d’avion et avance vers la porte d’embarquement pour me faire enregistrer. Je progresse dans ces couloirs jusqu’à la dernière salle d’embarquement. L’avion pour Prague se fait annoncer. Je prends mes affaires et je marche vers cet avion.

J’entre dans l’avion. Je présente mon billet. Un des steward me prend par le bras et m’écarte de la file classique. Il me dit que mon billet me place direct en classe “Business”. Ce steward est un joli garçon, la petite quarantaine, latino à la peau bronzée, un accent portugais, brun aux yeux marrons, et bien foutu. Je ne remarque pas de suite, il a une bosse proéminente dans son pantalon. Sur une poche, un prénom “Rafael” est gravé sur une petite plaque. Rafael, donc, m'emmène jusqu'à mon siège pour les deux heures de voyage.

L'avion décolle. Rafael vient me voir et me demande si j’ai besoin de quelque chose en me fixant du regard et en se tâtant l’entrejambe. Il m’offre le choix entre un café ou une autre consommation. Je suis tenté de lui dire que je suis intéressé par autre chose. Il me sourit. Il me propose de le suivre dans un autre coin plus discret de l’avion. Il ne faut pas que je me loupe, le trajet jusqu’à Prague ne dure que deux heures. Rafael me précède de pas trop près jusqu’aux toilettes “Business”. Contrairement à celles de la classe “Éco”, celles de la classe “Business” sont un peu plus spacieuses. Rafael est là, à demi-mou, le pantalon sur les chevilles attendant que je m’agenouille devant lui. Je ne peux que me mettre au travail. J’ouvre la bouche. Je m’applique sans provoquer de bruits douteux qui pourraient éveiller la curiosité des autres membres de l’équipage. J’ai su atteindre son point faible puisqu’en un instant, Rafael m’inonde la gorge avec son jus épais.

Je reviens à mon siège. Rafael m’offre le café et la petite bouteille d’eau pour me rincer la bouche. La fin du voyage se fait annoncer. L’avion amorce sa descente vers Prague.

Le pilote pose son appareil tout en douceur, puis s’immobilise sur le tarmac. Je prends mes bagages. Rafael me demande si j’ai fait un excellent voyage. Je lui lance un regard complice, et je descends de l’avion.

23 janv. 2023

La lope

Un soir, très tard, je me balade dans des ruelles étroites et peu éclairées du quartier. Au détour d’une rue, je vois un jeune mec, typé européen, complètement nu, en baskets et une casquette blanche “à la virgule”. Ce gars se balade, lui aussi. Nous nous croisons une fois. Il n’a aucune gêne à se dépoiler dehors. Je me dis qu’il cherche de la compagnie, dans la façon de se déplacer et à mettre son postérieur bien en évidence. Il passe une seconde fois devant moi. Il me dit se prénommer Marc.

Au loin, des sirènes se font entendre de plus en plus proches. Le deux-tons ne semblent pas du tout effrayer Marc. Ça semble même l’exciter au plus haut point. Je me suis planqué dans un petit coin pour observer ce jeune mec exhib pas du tout complexé. Peu de temps après, une voiture de patrouille sérigraphiée de la BAC passe au ralenti une première fois. Elle ne s’arrête pas. Cinq bonnes minutes passent, une deuxième voiture passe au bout de la ruelle. Trois hommes en descendent. Ils viennent vers ce jeune gars d’un pas très assuré en enfilant leurs brassards “POLICE” orange. Marc se tourne face au mur et écarte les jambes en cambrant bien les reins.

Le premier policier, un black, lui demande à Marc ce qu’il fait là et s’il a une pièce d’identité sur lui. Le jeune répond qu’il a rien sur lui. Le deuxième, un rebeu, lui fait la palpation de sécurité et un troisième policier, un blanc plus âgé que les deux autres, lui, ne fait rien. Il fige les lieux pour que le contrôle ne dérape pas et assure que Marc ne fausse pas compagnie aux flics.

Le black et le rebeu se regardent en se mordillant les lèvres et en secouant leurs engins dans leurs pantalons. Le black ouvre le zip de son pantalon, sort sa grosse et lourde matraque noire de vingt centimètres. Le black fait un deal. Marc a le choix de lui pomper sa bite ou de passer le reste de la nuit au poste pour exhibitionnisme aggravé. Il fait retourner le jeune Marc qui se met aussitôt à genoux. Le black force la bouche de Marc. Le flic rebeu se place derrière Marc, crache sur sa grosse bite de dix-huit centimètres, circoncise et l’enfonce dans le petit cul blanc offert. Marc est en transe. Il a une queue dans la bouche et une autre dans le cul. Le rebeu sodomise Marc avec vigueur. Le black pousse la sienne dans la gorge de Marc. En deux minutes, la sensibilité du gland du black le fait jouir abondamment en fond de gorge. Le black ordonne maintenant à Marc d’avaler le jus. Pendant ce temps, le rebeu est toujours à l'œuvre dans le cul de Marc. Le cul de Marc est presque chauffé à blanc, tellement le rebeu met du coeur à l’ouvrage.

De ma cachette, je ne peux pas louper une seule miette de ce qui se passe devant mes yeux. C’est la fête dans mon boxer. Je ne peux pas bouger au risque de me dévoiler, et de finir au poste moi aussi.

Le rebeu est sur le point d’exploser. Il se retire rapidement et fait mettre à genoux la petite pute Marc pour recevoir sa faciale d’un soir. Une fois fini, le rebeu fait nettoyer sa grosse bite.

Le troisième flic, celui qui n’a rien fait jusqu’ici, se dit qu’il aurait bien participé à cette petite fête improvisée. Il dit à Marc de rester à genoux. Il sort son sexe et se met à pisser sur le visage de Marc, comme pour pour rincer toutes traces ADN du délit sexuel. Marc est ravi de la tournure de cette soirée.

Marc se relève. Il rentre chez lui prendre une douche bien chaude et se met au lit pour la nuit.