Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

6 mars 2025

Les légionnaires en permission

Marius et Swann sont deux légionnaires en permission à Paris. Deux beaux mecs blonds, d’une trentaine d’années aux couilles pleines se baladent dans les rues de Paris.

Sur les Champs Elysées ils ont bien attiré quelques nanas, mais quand elle voyait qu’ils étaient deux.. elles sont toutes parties. Ils ne voulaient pas aller aux putes comme dit Marius, mais se trouver une nana pour passer du bon temps.

Ils sont vraiment potes depuis leur entrée à la Légion.. dans le même régiment, ils prennent leur perm ensemble.. et cela leur est souvent arrivé de faire des partouzes ensemble.. ils se connaissent par cœur, se sont vus nus, baiser, et même il leur est arrivé de baiser ensemble.

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9 févr. 2025

L'arrêt de travail

Il y a plusieurs décennies, j’étais un jeune gendarme de vingt cinq ans, en région parisienne. Mon supérieur direct me donne une feuille “Ordre de Mission” sur laquelle est indiquée une adresse en province proche, où je dois me rendre afin de récupérer un papier chez un militaire en arrêt de travail pour lui éviter une procédure disciplinaire pour absence irrégulière.

Je consulte quel véhicule sérigraphié est disponible. Je regarde une carte routière où se trouve cette adresse en question. Je me mets en route.

Arrivé devant l’adresse, je descends de voiture, remet mon képi en place. Je ferme la voiture à clé. Juste avant de sonner, je colle une oreille sur la porte. j’entends des bruits bizarres venant de l’intérieur. Je sonne. Les bruits cessent. Quelques dizaines de secondes plus tard, la porte s'ouvre. Un jeune arabe avec les boutons de la braguette ouverte du jean, d’une petite vingtaine d'années, se présente. J’explique que je dois voir une personne prénommée Salim. Le premier arabe qui ouvre la porte s’appelle Abdel. Il dit qu’un gendarme est là et qu’il voudrait le voir pour récupérer un document d’arrêt de travail, s’il ne veut pas avoir de problème avec l’Armée. J’entends Salim dire, depuis la pièce derrière, de me faire entrer. J’entre. Sur la télé, est figée une image de porno gay venant d’une cassette vidéo VHS. L’image est abîmée dûe sans doute au nombre de fois incalculables de lectures et relectures. Salim et Abdel semblent être mal à l’aise face à la situation d’être surpris. Je les rassure que je ne dirais rien du tout. Je ne le montre pas encore, avoir sous les yeux, deux belles bites arabes dressées, commencent sagement à m'exciter.

Salim est nu sur le canapé. Son jean est sur les chevilles. Il ne porte pas de slip. S’afficher nu devant un uniforme ne le dérange pas. Bien au contraire, ça l’excite bien, et se met à bander.

Je tente d'expliquer à Salim que les services de l’Armée n'ont pas reçu le papier de son arrêt de travail. Je le responsabilise en lui disant que s'il ne donne pas suite à leur demande, il sera considéré comme absent irrégulier. Je poursuis à l’informer qu’il risque de faire l’objet d’un rapport, une autre équipe de gendarmes viendra le chercher, lui passer les menottes, pour qu’il s’explique avec ses supérieurs et de passer quelques semaines aux arrêts, dans la cellule de sa caserne. Salim me supplie en secouant son organe en érection, qu’il est prêt à tout faire pour éviter ça. Il m’avoue que s’il est aux arrêts, Abdel sera loin de lui et son cul va lui manquer. Je comprends ce qu’il me dit. Salim demande à Abdel de me montrer son cul. Je suis obligé de convenir que le cul légèrement velu d’Abdel est très beau.

Abdel est juste à côté de lui qui se caresse son engin aussi. Je propose à Abdel de le sucer. Salim, déjà bien excité par ma suce sur Abdel, se lève et se place derrière moi. Salim se colle à moi pour se frotter. je me relève de la suce et dégrafe ma ceinture portant mes menottes et mon arme de service. Je pose ma ceinture sur une chaise à proximité afin de l‘avoir toujours à portée de mon regard. Je reviens à ma suce sur Abdel. Salim commence à me chauffer le trou par une bonne lèche baveuse. On ne le devine pas comme ça, mais un rebeu, ça sait très bien faire. Après quelques minutes, qui ont paru bien longues, Salim se relève et présente son gros sexe sur mon anus. D’un seul coup, il pousse à fond. Il entame des mouvements bien virils. Ce n'est pas courant qu’un rebeu se paie le cul d’un gendarme.

Pendant que Salim me pilonne le cul, je continue la pompe d’Abdel. Les coups de bassin réguliers de Salim sur mon cul me font faire des trucs sur la qualité de la fellation.

Au bout d’un moment, je sens que Abdel est sur le point de jouir, Salim est lui aussi de m’inonder le cul, mes deux rebeus se regardent et lâchent simultanément et puissamment leurs doses dans ma gorge et dans mon cul.

J’avale le jus d’Abdel et je lui nettoie sa bite. Quant à Salim, il se retire doucement pour que je puisse refermer mes sphincters correctement et d'emprisonner au fond de moi, les petits soldats de Salim.

Je me relève, remet mon pantalon et remet en place mon ceinturon.

Salim va chercher le papier que je lui avais demandé tout à l’heure. Il me le donne. Je le remercie. À partir de maintenant, il devrait plus avoir de soucis avec sa caserne. Abdel me donne un verre d’eau pour me rincer la bouche. Je bois. Salim me tend un bout de papier avec son numéro de téléphone et me dit qu’il sera à mon service si j’ai besoin de lui.

Je remets mon képi et je sors.

Je prends mes clés de voiture et reviens à ma brigade.

5 janv. 2025

La pause déjeuner

Je suis Florian, 35 ans, chef d’équipe de 8 hommes de chantier. Deux blacks, deux rebeus, deux français et deux portugais, tous à peu près du même âge.

Comme moi, ils sont tous mariés. J’ai deux beaux enfants, un garçon et une fille que j’adore et qui me le rendent bien. J’aime ma femme comme au premier jour et même plus, elle adore faire l’amour et nous avons de sérieuses parties de baises tous les deux. La seule chose qu’elle me refuse, et je n’insiste plus maintenant, c’est la sodomie.

On parle beaucoup avec mes hommes. Nous discutons de nos femmes, de nos enfants et des baises. Il y en a toujours un pour raconter une anecdote.

Tous les midis pétants, on s’arrête pour la pause déjeuner, c’est sacré et ça bouffe des hommes de chantier ! On est plus souvent ensemble qu’avec nos femmes. On mange ensemble le midi. On prend une douche le soir avant de débaucher dans l’Algéco qui nous suit !

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28 déc. 2024

Un contrôle inopiné

Un garçon, la quarantaine, se promène tranquillement avec pour tout vêtement, un jockstrap couleur vert fluo. Il porte également en bandoulière, une pochette pour son smartphone et son justificatif d’identité, quand il se fait surprendre pour un simple contrôle par un gendarme trentenaire sportif du PGHM. Pour éviter la verbalisation, il propose son cul au gendarme. Le gendarme, semble être intéressé à se faire du bien, regarde rapidement autour de lui. Il fait mettre le garçon contre un arbre bien solide, prend ses menottes de l’étui. Il menotte une main du garçon, passe derrière l’arbre et menotte l’autre main. Il baisse son pantalon et sort de son slip blanc, un sexe rasé d'une taille trèèès acceptable et le pénètre.

Les coups de bassin du gendarme durent un bon quart d'heure. Le garçon essaie de ne pas crier. Sans prévenir, le gendarme se raidit et jouit à l’intérieur du garçon.

Une fois fait, le gendarme se retire. Le gendarme lui retire les menottes, les remet dans leur étui à la ceinture. Le garçon pense, à cet instant, qu'il va échapper à la sanction. Que nenni, le gendarme lui demande sa pièce d'identité. Tout péteux, le garçon lui donne sa carte d'identité. Le gendarme sort son smartphone et photographie la carte (recto et verso) et la rend au garçon. Le gendarme remercie le garçon d'avoir été très gentil.

Le garçon continue sa balade et rentre chez lui. Sur le chemin du retour, le garçon a du jus qui coule le long de long d’une jambe. Pour effacer toute trace, il passe sa main et se masse la jambe pour faire pénétrer cette crème.

Plusieurs jours après, le garçon va relever le courrier à la boîte. Une enveloppe siglée "République Française - Gendarmerie Nationale". Il ouvre cette enveloppe et découvre un mot manuscrit. Ce mot est signé par deux initiales “L. D.”. En lisant le mot, le garçon en déduit que ce sont les initiales du gendarme qu’il a rencontré il y a quelques jours pendant sa balade. Ce gendarme dit qu'il a bien aimé la rencontre de l'autre jour, et qu'il serait amené, très bientôt, à revenir dans le coin, à le revoir pour un autre moment. Le garçon, à cette minute précise, en a eu des sueurs froides.

6 déc. 2024

La pute du parking

C'est déjà l'hiver. La nuit vient juste de tomber. Je loge dans un immeuble de cité de 2-3 étages. Ma fenêtre de chambre donne sur un parking. Je ne fais pas vraiment attention jusqu'à ce que j'entende une porte latérale d'un utilitaire de chantier avec un logo et un QR code sérigraphiés d'une petite entreprise de maçonnerie, n'arrête pas de coulisser et de claquer depuis environ 1 heure. Ce vacarme m'intrigue. Je regarde par la fenêtre de la chambre. Je vois des allers et venues de personnes adultes avec la braguette ouverte et le matériel sorti. Cet utilitaire se balance et bouge. Je me dis qu'il faut que j'aille voir ça de plus près. Je m'habille chaudement, et je descends voir. Je sors de l'immeuble. J'observe sans me montrer. Des blancs, des blacks, des rebeus, des asiatiques, des jeunes et des moins jeunes défilent.

Certains viennent dans des voitures de luxe. Peut-être des grands patrons ? Chaque personne restent environ 10-15 minutes chacun. Je devine facilement qu'il se passe des choses dans cette camionnette. Je m'approche davantage, et me cache. Je me positionne à quelques mètres, du coté de la porte coulissante. Dans le cours laps de temps que la porte latérale est ouverte, j'aperçois un jeune mec brun d'une petite trentaine d'années, ligoté sur le dos, à une structure métallique. Le mec a un bandeau sur les yeux. Ce qui m'a semblé un peu bizarre, la patrouille de police nationale est passée et a laissé faire. J'ai réfléchi et j’en ai déduis que ces agents de police en question ont dû passer un peu de bon temps avec ce mec.

Au bout d'un moment, j'ai senti une odeur forte de sueurs et de spermes sortir par la porte. Ces allers-retours a duré une bonne partie de la nuit.

Au petit matin, un dernier mec, beaucoup plus agé, est monté par la porte latérale. J'en ai déduis que c'est quelqu'un qui a de l'autorité sur le gars. Peut-être que c'est son patron.

À travers la tôle, j'ai entendu ce mec dire à l'autre : "Ça y est ! Tu as pris ton pied, salope !" "Je vais te checker ta chatte si tu as été très bien rempli" "Écartes bien les cuisses" (un petit silence) "C'est bon pour cette nuit" "Tu as eu pour ce que tu mérites, sac à jus !" "Maintenant, je vais te mettre une couche. Tu attends que tout soit sorti, et après, tu la nettoies". Ensuite, ce mec est sorti de la camionnette après avoir libéré l'autre de la structure métallique. L'autre est sorti, habillé. Il est monté à la place du conducteur et parti du parking. Je remonte me coucher et m'endors après m'être bien branlé.

-- FIN --

19 oct. 2024

Alex et Tim

Alex veut repeindre les murs et le plafond de sa salle de bains. Il décide alors d'aller au magasin de bricolage pour chercher des idées de couleurs.

Alex traîne dans les rayons. Un premier vendeur roux et mince, vient voir Alex. Alex demande des conseils pour repeindre une salle de bain. Ce jeune vendeur dit qu'il va appeler un autre collègue qui s'y connaît beaucoup mieux en peinture (et surtout en manche de pinceau).

Alex est surpris par ce deuxième vendeur. Il croit rêver en voyant un mec en t-shirt blanc avec le logo de l'enseigne et un pantalon de jean blanc à peine moulant.

Il ressemble à deux gouttes d'eau à un acteur allemand de porno gay.

Alex en reste bouche bée. Il essaie de bredouiller quelques mots en allemand pour vérifier son intuition. Ce vendeur lui répond.

Et là, Alex se liquéfie en réalisant que c'est bien Tim qui est en train de le servir.

Alex explique à Tim qu'il ne sait pas peindre correctement un plafond ou un mur, et qu'il accepte toute aide technique. Tim explique à Alex qu'il est très difficile de peindre un plafond sans laisser de traces.

Alex et Tim restent discrets. Ensemble, il vont établir les devis des matériaux, et de la main d'œuvre et définir la date du début de ces travaux.

Trois ou quatre jours plus tard, Tim arrive chez Alex. Tim annonce que chez lui, il kiffe peindre tout nu. Aussitôt, Alex lui répond que ça ne le dérange pas, bien au contraire. Rien qu'à regarder un ouvrier travailler nu, ça l’excite beaucoup.

Dans l'excitation du moment, Alex se met tout nu aussi, ce qui a pour effet de faire bander Tim. Tim est très embarrassé. Alex dit à Tim qu'il n'y a qu'un seul moyen de faire disparaître ce problème ennuyeux. Alex se met devant Tim, s'agenouille et met la grosse bite dans sa bouche. Tim ferme les yeux, marmonne quelques autres mots germaniques.

Alex, à force de venir en aide à ses voisins, devient un pro de la suce. Il fait traîner son art pour retarder au maximum le moment où Tim lui explose tout son épais jus en fond de gorge. Alex avale et sort de la salle de bain pour laisser Tim tranquille pour travailler.

Une bonne heure passe. Tim rappelle Alex. Alex entre dans la salle de bain, constate que Tim a encore une fois une belle érection. Alex soupire et il décide de passer à autre chose.

Alex présente son cul à Tim pour qu'il le prépare. Tim s'agenouille, à son tour, pour lui lécher le trou.Après quelques minutes, Tim se relève et présente ses vingt-cinq centimètres à l'entrée de l’anus d'Alex. Tim pousse son gland. L'orifice d’Alex s’ouvre pour épouser le diamètre de l’engin de Tim. Tim commence doucement par des mouvements très doux, puis augmente peu à peu la cadence et la force.

Au bout d’un bon quart d’heure, Tim se libère à l’intérieur d’Alex.

Tim se retire doucement pour laisser le sphincter anal se refermer gentiment et sans douleur. Il embrasse Alex sur la bouche, pour lui dire qu’il a bien aimé baiser avec lui.

Tim reprend son rouleau de peinture et corrige des erreurs.

Une fois fini, Tim se rhabille et tend sa carte de visite perso à Alex en lui disant que s’il a des travaux divers à faire, il peut l’appeler sans problème.

20 juil. 2024

Le plombier

Je suis plombier à Paris, plus particulièrement dans les beaux quartiers, genre 16ème, les bourges ne savent rien faire, ils ont toujours besoin et on se fait un max de fric, car ils ne rechignent pas pour payer les sommes proposées…

Je fais des rencontres impossibles, des personnes de tous genres… si je n’étais pas pédé jusqu’au bout des orteils, qu’est ce que j’aurais pu sauter comme bourges, de vraies petites putes en chaleur!

C’est vrai que je suis un beau mec, sans me vanter, j’arrive à 30 ans, je bande facilement, mais je préfère les mecs, les minets de préférence, mais, quand on sait bien m’exciter…

Ce jour là je suis allé avenue Victor Hugo, j’étais appelé pour une fuite d’eau. Lorsque je me suis présenté, j’ai été reçu par une belle femme, qui m’a expliqué la panne, m’a montré l’endroit où cela se passait, m’a montré le robinet d’arrivée d’eau et m’a dit de me débrouiller car elle devait partir.

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4 mai 2024

Les marins de Toulon.

Marins noir&blanc

Un soir d'été, je descends dans le sud de la France. Je suis curieux de savoir ce que peuvent faire les marins quand ils sont à quai, entre deux missions de six mois en mer.

Je suis vêtu d'un pantalon de cuir ouvert derrière afin d'offrir mon cul gourmand à la vue de tout le monde. Le devant est fermé. Je me dirige donc vers la base militaire où le Charles de Gaulle est stationné pour une relève du personnel navigant et les palettes pour l’intendance. Le soleil tombant, je m'approche du mieux que je peux sans que la police militaire du port soit alertée. J'avais pris soin de me procurer une paire de jumelles pour les observer monter et descendre par cette passerelle de métal.

Au travers de ces jumelles, j'aperçois en train de débarquer, deux beaux marins, la quarantaine, bruns et torses nus, bien musclés, imberbes. Chacun arbore une belle bosse sous leurs pantalons de toile. Au milieu d'eux trois, se trouve un jeune mousse avec une bosse beaucoup moins impressionnante que les deux autres. L'un des militaires semble tenir le plus jeune par la taille. En les voyant, mon cerveau ne fait qu'un tour. Je pense fortement que le blondinet leur sert de vide-couilles pendant leur mission à haut risque dans l'Atlantique.

Je me demande, moi aussi, si je peux me faire remarquer par ces trois militaires pour qu'ils se vident en moi. Comme j'ai préparé mon coup. Je sors de mon sac un gros plug métallique et lumineux que je peux faire clignoter une puissante LED arc-en-ciel comme bon me semble par l’intermédiaire d’une application sur mon smartphone. Je lubrifie efficacement mon anus et y glisse ce plug alimenté par la chaleur corporelle interne. Je m’allonge sur le dos et dirige ce rayon de lumière vers le navire en espérant que ces trois bombes me remarquent au loin. Je n'attends pas très longtemps. Dans les dix minutes qui suivent, je les vois arriver vers moi. Ils ont sorti leurs grosses queues veineuses et rasées hors du pantalon.

L’un d'eux se rapproche de ma bouche pendant que l’autre me prépare bien par un bon léchage de mon trou imberbe. Il force le passage de mes lèvres. Il pousse lentement son gland décalotté au fond de ma gorge pour me faire saliver. Une minute après, il se poste derrière moi. Il retire le plug et s’insère facilement dans mon anus. Il me baise comme un pro. Le deuxième, se place devant moi et me fait ouvrir la bouche et s’insère au fond de ma gorge. Les coups de reins bien frappés dans mon cul du premier me provoquent des soubresauts de mes lèvres sur la bite du deuxième. La bite du deuxième perle sur ma langue. Le premier me pilonne toujours le cul. Le deuxième est sur le point de m’inonder la gorge. Le premier ne s'arrête pas. Le deuxième en une seconde me remplit la bouche de son jus. Quasiment aussitôt, le premier est pris d’une violente secousse, signe de jouissance extrême.

Dix bonnes minutes passent.

Les deux marins ont encore de la pression à évacuer. Ils bandent tout dur. Ils m’ont raconté qu’ils étaient en mer loin de leurs femmes, et qu’ils ont besoin maintenant d'extérioriser tout ce stress. Je devine qu'ils ont encore envie de se vider. Cette fois-ci, celui qui était derrière moi passe devant et réciproquement.

Une bonne baise virile reprend une bonne dizaine de minutes. Mon sphincter s’échauffe.

Je suis surpris par l’endurance de mes deux marins d’un soir. Au bout des dix minutes, ils explosent de concert au plus profond dans mes entrailles et dans ma bouche.

Le plus jeune n’est pas loin à nous observer et faire le guet, au cas où un gradé passe par là.

Une fois leurs stress respectifs libérés, l’un d’eux replace le plug dans mon cul. Les deux marins remballent leurs outils et repartent vers le Charles de Gaulle.

Je me rhabille avec le cul rempli de quatre belles doses et du plug métallique, après avoir éteint la lumière et désactivé le Bluetooth.

En me rhabillant, je me jure de revenir souvent dans ce coin et peut-être revoir mes deux marins.

29 mars 2024

Ma première séance de sauna.

Alors que je viens de finir de me faire bien défoncer le cul par un Rachid, arabe, la bonne quarantaine, de beaux pecs rasés et une teub de vingt-quatre centimètres bien épais. Il me demande si je suis déjà allé dans un sauna. Je lui dis que je ne suis jamais allé dans un sauna. Il est très surpris de ma réponse. Il me dit de prendre juste un shampooing-douche et une serviette pour m’essuyer après la douche. je ferme mon logement et je le suis jusqu'à sa voiture.

Il m’emmène dans sa grosse berline BMW de luxe, noire, intérieur cuir et vitres fumées. En chemin, il appelle le sauna et annonce qu’il amène un novice.

Après une demie heure de trajet, nous arrivons et s'arrêtons pile poil devant le sauna. Un voiturier vient m'ouvrir la porte passager. Je descends. Le jeune voiturier rebeu en costume m’accueille et salue Rachid en le nommant “Boss”.

Je devine aussi que je suis donc en compagnie du propriétaire de ce sauna, qui plus est, exclusivement destiné à la communauté gay masculine. Je le devine puisque, sur la façade, figure un immense drapeau arc-en-ciel accolé au drapeau de la communauté nord-africaine (Algérie, Maroc et Tunisie).

J’entre. Un large hall éclairé s’offre à moi. Un comptoir d’accueil se trouve à droite. Rachid m’accompagne tout au long de ce cheminement. Le rebeu de l'accueil porte une djellaba blanche. Le tissu est très léger et presque transparent. Ce tissu laisse deviner que ce rebeu est tout nu dessous. Il porte même une cage de chasteté à cadenas dont seul Rachid possède la clé passe-partout. Cette cage a juste pour utilité de permettre à son porteur de se soulager seulement la vessie. J’apprends par Rachid que tous ses employés portent une cage de chasteté à cadenas. Il y a que Rachid qui n’en porte pas.

Le rebeu de l’accueil me tend une serviette blanche aux dimensions peu communes. La serviette est longue d’un mètre environ et large de vingt-cinq ou trente centimètres de large. Je m’interroge. Rachid me rassure et me dit que je vais comprendre très bientôt.

Rachid m’invite à rentrer dans une cabine de déshabillage avec lui. Il se déshabille aussi. Il ne prend pas la peine de porter de serviette autour de la taille. Sa nudité n’a plus aucun secret pour tout le personnel et quelques habitués, triés sur le volet.

Me voila, ne portant que cette petite serviette blanche à la taille, qui avance aux côtés de Rachid. Plus j’avance, plus la lumière disparaît. Je n’en mène pas large. Rachid plonge sa main sous la serviette et me prend par la bite. Il m’emmène dans une pièce à l’atmosphère chaude. La pièce est aveugle. Seule luminosité que je peux voir, ce sont deux LED encadrant la poignée. Là, il me demande de poser ma serviette sur le banc.

Rachid ressort de la pièce en me laissant et en me disant de me relaxer, qu’il reviendra me chercher dans une heure. Un silence règne. Enfin, pas un silence de mort. Je perçois quelques respirations humaines et d’innombrables cliquetis de gourmettes.

Au bout d’un temps, je sens des perles de sueur couler de mon corps nu. Je sens des grosses mains me frôler les cuisses.

Je sens une main me saisir la mienne pour la poser sur un bel engin orné d’un piercing au gland. Une autre main me saisit la tête pour me forcer à sentir une aisselle bien fournie en poils bruns et odorants. Je prends une bonne inspiration et je perds la raison. Je me penche et commence à prendre dans ma bouche cette bite percée. Pendant que je suce cette bite, je sens un doigt vouloir me fouiller l’anus. Je n’ose pas résister au risque d’offusquer mes voisins de sauna. Ce doigt s’insère un très court instant et ressort. Une voix arabe se fait entendre. Je ne comprends rien à ce qu'il dit. J’ose deviner que mon cul va prendre très cher dans pas longtemps et que j’allais devenir leurs vide couilles.

J’ai bien deviné mon sort puisque deux mains me prennent les jambes pour les écarter. Je sens la bite avec le Prince Albert me pénétrer profondément. Au bout de dix minutes, je sens mon cul se remplir. Ce mec se retire. Un autre le remplace, un autre prend la suite, jusqu’à ce que mon cul soit bien chauffé à blanc. Après mon compte à 6, je m’arrête de compter. La dernière bite, mon sphincter s’en souvient encore. C’est un monstre ! Il s'insère un peu difficilement, malgré toutes celles passées juste avant. Heureusement, j’ai gardé toutes les doses de jus au fond de moi pour permettre une excellente lubrification de la dernière baise. Cette dernière se retire doucement afin que mon sphincter se referme bien. Rachid ne revient pas les mains vides. Il insère dans mon cul, un plug semi-rigide d’assez bonne taille. Il me susurre à l’oreille de le garder. C'est un cadeau offert par la maison. Rachid me prend la main et me sort de la pièce. Il me demande si j’ai pu me relaxer et me détendre. Je lui réponds que oui. Je prends mes affaires et ma serviette, vais à la douche chaude pour enlever cette odeur de sueurs et de spermes et me rhabiller.

Dans le hall de ce sauna, je demande gentiment à Rachid s’il accepte de m’appeler un taxi ou de me ramener chez moi. Il me répond aussi sec : “Non ! Tu es ma pute !”.

Je sors sur le trottoir. Tout à coup, mon portable sonne pour une notification de texto. C’est Rachid qui me dit : “Ne m’en veux pas ! Notre relation doit rester très discrète pour ses employés. Si je peux patienter un petit peu, je te ramènerai chez toi. – Ton Rachid”.

À ces mots, je suis rassuré. Je patiente sur ce trottoir.

Une bonne demie-heure après, la grosse berline luxueuse de Rachid s’arrête à ma hauteur. Je monte par la porte arrière. Rachid me ramène chez moi. Tout le long du trajet, mes boyaux chantent. Faut dire que je n’ai pas été à la noce. En arrivant devant ma porte, je descends et prends mes clés pour ouvrir ma porte d’entrée. La berline s'éloigne.

J’entre chez moi, je me déshabille dans ma chambre et file à la douche. À peine déshabillé que la porte d’entrée sonne. Nu, je vais ouvrir. C’est Rachid, la braguette ouverte avec son oiseau sorti, qui est revenu passer la soirée avec moi. Il entre. Il bande. Je sais ce qu’il veut. Je m’allonge sur le fauteuil du salon. Il me retire le plug et me baise pendant un bon quart d’heure. La baise avec Rachid, ça peut durer cinq minutes comme une demie heure ou une heure, il me fait ça bien.

J’aime mon Rachid. Lui, il n’est pas comme la majorité des rebeus, il prend soin de moi et de mon cul.

18 août 2023

Le bédouin d'Oman

J’étais écoeuré… j’avais encore vu mon mec me tromper encore une fois malgré ses promesses… certes il aimait baiser, se faire défoncer serait plus le terme… je pense qu’il m’aimait mais fallait qu’il aille voir ailleurs et se prenne toutes les bites qui passent…

Alors cette fois, plus d’ultimatum, j’ai pris le taureau par les cornes, je lui ai préparé ses valises et il les a trouvé dans l’entrée de l’appart… j’ai été intransigeant, je lui ai réclamé le double des clés et je l’ai foutu à la porte, je ne voulais plus le voir… il s’est mis à genoux devant moi, me suppliant, mais cette fois j’ai tenu bon et je l’ai laissé partir… j’en avais gros sur le coeur.. mais c’est ça qu’il me fallait pour revivre.

Certes, j’ai été abattu quelques temps, il y avait un vide à la maison, mais je n’avais pas envie de retrouver un mec de suite… je décidais de partir en vacances, il me restait des RTT à prendre… j’ai donc cassé ma tirelire… je suis allé dans une agence, et écouté les conseils du jeune mec qui vantait ses vacances clés en mains… c’est en me parlant du sultanat d’Oman que j’ai été attiré.. un voyage pour découvrir le pays en groupe de 12 personnes, avec bivouacs dans le désert… je pris donc cette option et trois semaines plus tard je m’envolais direction Oman. Seul.

Nous avons atterri à Mascate… différence de températures rapide… mais tout était magnifique.. nous étions 12 français, des couples et enfants, et moi. Nous avions un guide qui parlait le français. Il nous a fait découvrir la ville, et notre logement pour deux nuits… un palace… Ce fut un séjour très agréable et une visite inoubliable… mais le plus merveilleux arrivait.

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