Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

23 avr. 2025

Une fête entre voisins improvisée

Gilles, la soixantaine, de corpulence ordinaire, est chez lui, nu et en jockstrap. Il a invité Sébastien à partager un petit repas sympa. Avant l'arrivée de Sébastien, Gilles a ventousé un gode de vingt centimètres et lubrifié sur une des lourdes chaises. Sébastien, la grosse trentaine, imberbe, est plus fin que Gilles. Sébastien est aussi nu en jockstrap. Sous le jockstrap, Sébastien porte une mini cage de chasteté. Le jockstrap de Sébastien semble avoir du vécu car il est usé. Tout au long du repas, Sébastien se trémousse sur le gode sur sa chaise.

Au moment d'entamer le dessert, Sébastien se lève de sa chaise, sort une grande serviette en latex de son sac à dos. Sébastien étale cette serviette sur le canapé. Il s'assoit sur la serviette sur le canapé en demandant à Gilles s'il accepte de le fister. Gilles lui apprend que c’est la toute première fois qu’il va faire ça. Sébastien rassure Gilles en lui disant qu'il va lui expliquer comment procéder. Gilles accepte bien volontiers, et se lève à son tour. Gilles se dirige vers le canapé et s'agenouille devant Sébastien. À côté du canapé, il y a un pot de 500 g de lubrifiant spécifique au “travail” de l’anus, et une boite de paires de gants latex noir. Sébastien enchaîne qu'il doit enfiler les gants, et de prendre le pot de lubrifiant, d'en prendre une belle noix.

Gilles s'exécute. Gilles étale ce qu'il a prélevé du pot, sur le trou de Sébastien bien ouvert par le gode. Sébastien dit à Gilles qu'il peut maintenant insérer directement trois doigts dans son trou et de tourner doucement la main. Sébastien se détend de mieux en mieux et pousse Gilles à insérer un quatrième doigt, puis un peu plus tard, un cinquième doigt. Gilles est stupéfait de voir que l'anus de Sébastien peut s'ouvrir aussi large. Sébastien dit à Gilles qu'il a maintenant une totale confiance en lui et qu’il va devoir faire rentrer la main entière dans son cul. Gilles demande, inquiet, à Sébastien s'il est vraiment certain de vouloir faire ça. Sébastien calme son inquiétude. Gilles cède finalement à sa demande. Gilles remet un peu de lubrifiant sur ses gants, insère ses cinq doigts et tourne la main. Sébastien encourage Gilles à pousser doucement et entièrement son poignet à l'intérieur.

Contrairement à toutes attentes, la main de Gilles glisse sans aucun problème à l'intérieur. La main de Gilles a disparu dans le cul de Sébastien. Gilles continue à tourner sa main. Sébastien montre à Gilles peut former une cuillère avec la main et ainsi caresser la prostate de Sébastien. Sébastien propose à Gilles qu’il peut introduire jusqu’à la moitié de l’avant-bras et ensuite sortir et rentrer sa main plusieurs fois, d’abord lentement puis un peu plus rapidement. Gilles est en train de prendre du plaisir avec le cul très bien chauffé de Sébastien, quand quelqu’un frappe à la porte d’entrée de Gilles.

Sébastien dit à Gilles d’accompagner la sortie de la main pendant que Sébastien pousse. Gilles enlève sa main du cul de Sébastien. Gilles se lève et va voir à la porte, met son œil au judas de la porte. Il reconnaît son voisin Alexandre. De sa deuxième main gantée et non-lubrifiée, Gilles ouvre la porte et fait entrer Alexandre.

Alexandre est un mec, la quarantaine, beaux pecs poilus, habillé d’un harnais et d’un pantalon ouvert devant et derrière en cuir. Il est surpris de voir son voisin Gilles tout nu avec un autre mec sur le canapé, avec les jambes en l’air et l’anus en chou-fleur. Alexandre se confond en excuses pour les avoir dérangés. Gilles demande ce qu’il veut. Alexandre répond que son copain est dans la même position que Sébastien. Il ajoute que son copain Eric aimerait que Gilles le fiste aussi. Gilles est stupéfait par la soudaineté de cette demande d’Alexandre. Gilles regarde en silence Sébastien s’il est d’accord pour aller aider Alexandre et Eric. Sébastien accepte. Alexandre propose même à Gilles et Sébastien de se joindre à eux et de finir ce qu’ils étaient en train de faire. Sébastien, après quelques secondes, accepte bien volontiers. Sébastien se lève. Il saisit le pot de lubrifiant, la boîte de gants, et la grande serviette en latex. Gilles enlève les gants en latex pour prendre ses clés. Sébastien et Gilles sortent ensemble nus de l’appartement de Gilles. Gilles ferme sa porte à clé.

Alexandre fait entrer Gilles et Sébastien. Sur la table de la salle, recouverte du même drap de latex, est installé Eric, un jeune mec, la quarantaine passée et bedonnant, blond. Eric a les jambes en l’air, laissant voir un anus bien épilé. Eric porte une cage de chasteté de débutant. Cette cage est fermée par un cadenas dont la clé est accrochée au collier de cou d’Alexandre.

Gilles enfile une nouvelle paire de gants en latex noir. Il prend une bonne noix de produit dans le pot de lubrifiant et commence à fister Eric. Gilles rentre sa main assez facilement dans l’anus déjà bien lubrifié et élargi par Alexandre. Alexandre lui dit qu’il peut aller plus profond. Gilles s’exécute. Il pousse doucement toute sa main et passe son poignet. Il prolonge son intromission jusqu’à la moitié de l’avant-bras.

À côté de la grande table recouverte de la nappe en latex, Sébastien regarde la progression du fist. Sébastien a une grosse envie d’aller s’installer à l’autre bout pour recevoir la main et le poing d’Alexandre dans son cul.

Sébastien prend Alexandre par la bite piercée et va s'allonger sur le dos sur la table. Sébastien lève les jambes face à la fenêtre. Alexandre enfile une paire de gants et les lubrifie abondamment. Il ne prend même pas le temps de jouer avec les doigts. Il y va direct avec le poing. Sébastien est stupéfait par la facilité élastique de son sphincter anal. Alexandre prend si bien plaisir à travailler Sébastien, qu’il est sur le point de répandre sa semence au sol. Aussitôt, Sébastien a une soudaine envie de pisser. Alexandre tend un grand pichet en verre pour qu'il soulage la vessie. Alexandre s’est aperçu que Sébastien, quand il est hyper bien excité, s’avère être un assoiffé du sexe hard et de quelques unes de ses déviances, comme boire de l’urine. Alexandre part d’un pas rapide à la cuisine, cherche deux grands verres et revient. Il prend le pichet et remplit les deux verres. Sébastien avale tout le contenu de son verre. Alexandre apporte le deuxième verre à Eric qui le boit entièrement d'un seul trait.

Pendant tout ce temps, Gilles est toujours à l'œuvre avec Eric. Gilles entre et sort son poignet du cul d’Eric. Alexandre suggère à Gilles d’ouvrir et refermer sa main quand il est dedans.

Au bout d’un moment, Eric pousse suffisamment fort pour que Gilles accompagne la sortie de sa main ouverte de façon à former le chou-fleur tant attendu par Alexandre.

Aussitôt, Alexandre prend une lingette, essuie l’excédent de lubrifiant sur l’anus bien dilaté. Il se penche et se met à lécher ce chou-fleur. Eric se met à jouir dans sa cage de chasteté.

Gilles bande dur. Il veut mettre sa bite dans Eric et l’inséminer. Alexandre accepte. Gilles s’insère et baise Eric. Très rapidement, Gilles jouit à l’intérieur d’Eric. Le jus de Gilles commence à couler. Alexandre se penche et récupère le jus avec sa bouche. Alexandre se lève et s’approche de la bouche d’Eric pour partager sa récolte juteuse.

Les quatre joyeux lurons redescendent de leurs nuages. Eric et Alexandre remercient Gilles et Sébastien pour leur aide, et qu’ils ont bien aimé. Eric ajoute qu’il n’est pas impossible de recommencer plus tard.

Sébastien reprend la boîte de gants et le lubrifiant. Gilles et Sébastien reviennent chez Gilles.

Sébastien n’a pas besoin de remettre du lubrifiant. Il se replace sur le gros gode, toujours ventousé sur la chaise. Gilles se rassoit sur la sienne. Ils finissent leur dessert et débriefent à propos de ce qu’ils viennent de vivre avec Eric et Alexandre.

19 avr. 2025

Alex, Rémi et Léo en virée

Rémi voulait remercier Alex pour ce délicieux moment qu'ils ont passé ensemble il y a plusieurs semaines. Il décide alors de l'emmener à Liège pour une petite virée amicale. Rémi est ce qu'on appelle un hétéro curieux. Bien qu'hétéro, il lui arrive de temps en temps de fréquenter les bars gay de cette commune belge. Rémi appelle Alex et annonce qu'il l'emmène le soir même en balade à Liège. Il lui annonce également qu'il ne sera pas tout seul dans la voiture. Il sera accompagné de son frère, Léo.

Alex demande alors à quelle heure il doit se tenir prêt à partir. Rémi répond de se tenir prêt à dix-neuf heures trente, après dîner. Il passera le prendre avec Léo.

À l'heure dite, Alex est dans son couloir en train d'attendre. La porte d'entrée de l'appartement d'Alex se fait entendre. Alex ouvre. C'est Rémi qui vient le chercher. Rémi en profite que Luc est dans la voiture pour entreprendre un petit baiser sur la bouche d'Alex. Rémi demande à Alex s'il est prêt pour y aller. Alex et Rémi ressortent de l'appartement et Alex prend ses clés et ferme la porte.

Alex et Rémi montent en voiture. Rémi conduit et Alex sur le siège passager. Léo est sur la banquette arrière. Pendant une bonne demie heure de trajet, Rémi fait semblant de rater le levier de vitesses pour mettre sa main sur la cuisse d'Alex.

Arrivés à Liège, Rémi se dirige vers le centre-ville, puis en direction du quartier gay. Ils font le tour du quartier à la recherche d'une place de parking.

Rémi réussit à trouver une place à proximité du bar gay. Alex, Rémi et Léo descendent de voiture. Ils se dirigent vers ce bar et entrent. Les trois garçons se mettent à une table. Le serveur sexy et viril vient prendre la commande. Les garçons commandent chacun une bière et discutent ensemble.

Au bout d'un moment, Rémi et Léo descendent aux chiottes pour pisser. En bas de l’escalier, ils découvrent une pièce sombre, seuls les urinoirs sont éclairés d'un néon. Ils vont donc pisser dans les urinoirs. Derrière eux, ils découvrent des toilettes individuelles séparées par des cloisons pas très épaisses dans lesquelles il y a des trous à hauteur de braguette.

Après avoir pissé, Rémi et Léo vont dans une toilette en laissant une entre eux deux. Ils s’installent et attendent. Ne voyant pas revenir, Alex décide lui aussi de descendre aux toilettes pour se soulager sa vessie. Alex est un peu apeuré à l’idée de pisser aux urinoirs, et se dirige vers la porte restée ouverte.

Alex s’avance vers cette cabine de toilette, entre, ferme la porte et pisse assis.

Tout à coup, il voit apparaître à travers chacune des cloisons deux bites. Il pense reconnaître celle de Rémi. L’autre, il ne la connaît pas. Il se penche vers l’inconnue. Il ouvre la bouche et passe sa langue sur le gland. Il referme les lèvres sur cette jolie bite et suce. Derrière cette cloison, le propriétaire essaie de ne pas se faire griller et qu’il soit identifié. Il résiste pour ne pas parler. Léo est loin de penser que c’est Alex qui le suce. À travers l’autre cloison, Rémi attend patiemment son tour d’être sucé. Alex s’applique si bien que Léo monte rapidement en pression et finit par exploser dans la bouche d’Alex. Alex se penche maintenant vers l’autre bite. Alex se met à sucer. Avec l’idée de ne pas voir qui le suce, Rémi relâche aussi la pression dans la bouche d’Alex. Alex avale les deux doses de spermes. Il se régale. Rémi et Léo remontent leurs pantalons et remontent à leur table. Alex sort de la cabine et remonte dans la salle du bar.

Alex reprend une bonne gorgée de bière pour masquer l'odeur des deux jus. Alex se rend compte que Rémi et Léo sont tous joyeux et apaisés. Alex leur demande comment ils vont. Rémi répond qu’il vient de se faire sucer par une bouche experte et inconnue à travers un gloryhole dans les chiottes. Léo dit qu’il a mis aussi sa bite à travers un trou de cloison et il a kiffé grave.

Les trois garçons demandent la note au serveur. Ils partagent la note équitablement. Ils décident d’aller marcher dans la ville avant de reprendre le volant pour rentrer chez eux.

Pendant le trajet du retour, Léo allume l'autoradio et choisit une station qui diffuse des titres très modernes et techno. Alex n’apprécie guère ce style de musique, mais il s’en fout royalement car il a eu ce qu’il voulait.

Chacun rentre chez eux et passent une très bonne nuit.

6 mars 2025

Les légionnaires en permission

Marius et Swann sont deux légionnaires en permission à Paris. Deux beaux mecs blonds, d’une trentaine d’années aux couilles pleines se baladent dans les rues de Paris.

Sur les Champs Elysées ils ont bien attiré quelques nanas, mais quand elle voyait qu’ils étaient deux.. elles sont toutes parties. Ils ne voulaient pas aller aux putes comme dit Marius, mais se trouver une nana pour passer du bon temps.

Ils sont vraiment potes depuis leur entrée à la Légion.. dans le même régiment, ils prennent leur perm ensemble.. et cela leur est souvent arrivé de faire des partouzes ensemble.. ils se connaissent par cœur, se sont vus nus, baiser, et même il leur est arrivé de baiser ensemble.

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9 févr. 2025

L'arrêt de travail

Il y a plusieurs décennies, j’étais un jeune gendarme de vingt cinq ans, en région parisienne. Mon supérieur direct me donne une feuille “Ordre de Mission” sur laquelle est indiquée une adresse en province proche, où je dois me rendre afin de récupérer un papier chez un militaire en arrêt de travail pour lui éviter une procédure disciplinaire pour absence irrégulière.

Je consulte quel véhicule sérigraphié est disponible. Je regarde une carte routière où se trouve cette adresse en question. Je me mets en route.

Arrivé devant l’adresse, je descends de voiture, remet mon képi en place. Je ferme la voiture à clé. Juste avant de sonner, je colle une oreille sur la porte. j’entends des bruits bizarres venant de l’intérieur. Je sonne. Les bruits cessent. Quelques dizaines de secondes plus tard, la porte s'ouvre. Un jeune arabe avec les boutons de la braguette ouverte du jean, d’une petite vingtaine d'années, se présente. J’explique que je dois voir une personne prénommée Salim. Le premier arabe qui ouvre la porte s’appelle Abdel. Il dit qu’un gendarme est là et qu’il voudrait le voir pour récupérer un document d’arrêt de travail, s’il ne veut pas avoir de problème avec l’Armée. J’entends Salim dire, depuis la pièce derrière, de me faire entrer. J’entre. Sur la télé, est figée une image de porno gay venant d’une cassette vidéo VHS. L’image est abîmée dûe sans doute au nombre de fois incalculables de lectures et relectures. Salim et Abdel semblent être mal à l’aise face à la situation d’être surpris. Je les rassure que je ne dirais rien du tout. Je ne le montre pas encore, avoir sous les yeux, deux belles bites arabes dressées, commencent sagement à m'exciter.

Salim est nu sur le canapé. Son jean est sur les chevilles. Il ne porte pas de slip. S’afficher nu devant un uniforme ne le dérange pas. Bien au contraire, ça l’excite bien, et se met à bander.

Je tente d'expliquer à Salim que les services de l’Armée n'ont pas reçu le papier de son arrêt de travail. Je le responsabilise en lui disant que s'il ne donne pas suite à leur demande, il sera considéré comme absent irrégulier. Je poursuis à l’informer qu’il risque de faire l’objet d’un rapport, une autre équipe de gendarmes viendra le chercher, lui passer les menottes, pour qu’il s’explique avec ses supérieurs et de passer quelques semaines aux arrêts, dans la cellule de sa caserne. Salim me supplie en secouant son organe en érection, qu’il est prêt à tout faire pour éviter ça. Il m’avoue que s’il est aux arrêts, Abdel sera loin de lui et son cul va lui manquer. Je comprends ce qu’il me dit. Salim demande à Abdel de me montrer son cul. Je suis obligé de convenir que le cul légèrement velu d’Abdel est très beau.

Abdel est juste à côté de lui qui se caresse son engin aussi. Je propose à Abdel de le sucer. Salim, déjà bien excité par ma suce sur Abdel, se lève et se place derrière moi. Salim se colle à moi pour se frotter. je me relève de la suce et dégrafe ma ceinture portant mes menottes et mon arme de service. Je pose ma ceinture sur une chaise à proximité afin de l‘avoir toujours à portée de mon regard. Je reviens à ma suce sur Abdel. Salim commence à me chauffer le trou par une bonne lèche baveuse. On ne le devine pas comme ça, mais un rebeu, ça sait très bien faire. Après quelques minutes, qui ont paru bien longues, Salim se relève et présente son gros sexe sur mon anus. D’un seul coup, il pousse à fond. Il entame des mouvements bien virils. Ce n'est pas courant qu’un rebeu se paie le cul d’un gendarme.

Pendant que Salim me pilonne le cul, je continue la pompe d’Abdel. Les coups de bassin réguliers de Salim sur mon cul me font faire des trucs sur la qualité de la fellation.

Au bout d’un moment, je sens que Abdel est sur le point de jouir, Salim est lui aussi de m’inonder le cul, mes deux rebeus se regardent et lâchent simultanément et puissamment leurs doses dans ma gorge et dans mon cul.

J’avale le jus d’Abdel et je lui nettoie sa bite. Quant à Salim, il se retire doucement pour que je puisse refermer mes sphincters correctement et d'emprisonner au fond de moi, les petits soldats de Salim.

Je me relève, remet mon pantalon et remet en place mon ceinturon.

Salim va chercher le papier que je lui avais demandé tout à l’heure. Il me le donne. Je le remercie. À partir de maintenant, il devrait plus avoir de soucis avec sa caserne. Abdel me donne un verre d’eau pour me rincer la bouche. Je bois. Salim me tend un bout de papier avec son numéro de téléphone et me dit qu’il sera à mon service si j’ai besoin de lui.

Je remets mon képi et je sors.

Je prends mes clés de voiture et reviens à ma brigade.

5 janv. 2025

La pause déjeuner

Je suis Florian, 35 ans, chef d’équipe de 8 hommes de chantier. Deux blacks, deux rebeus, deux français et deux portugais, tous à peu près du même âge.

Comme moi, ils sont tous mariés. J’ai deux beaux enfants, un garçon et une fille que j’adore et qui me le rendent bien. J’aime ma femme comme au premier jour et même plus, elle adore faire l’amour et nous avons de sérieuses parties de baises tous les deux. La seule chose qu’elle me refuse, et je n’insiste plus maintenant, c’est la sodomie.

On parle beaucoup avec mes hommes. Nous discutons de nos femmes, de nos enfants et des baises. Il y en a toujours un pour raconter une anecdote.

Tous les midis pétants, on s’arrête pour la pause déjeuner, c’est sacré et ça bouffe des hommes de chantier ! On est plus souvent ensemble qu’avec nos femmes. On mange ensemble le midi. On prend une douche le soir avant de débaucher dans l’Algéco qui nous suit !

IA chantier ouvriers torses nus LGL

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28 déc. 2024

Un contrôle inopiné

Un garçon, la quarantaine, se promène tranquillement avec pour tout vêtement, un jockstrap couleur vert fluo. Il porte également en bandoulière, une pochette pour son smartphone et son justificatif d’identité, quand il se fait surprendre pour un simple contrôle par un gendarme trentenaire sportif du PGHM. Pour éviter la verbalisation, il propose son cul au gendarme. Le gendarme, semble être intéressé à se faire du bien, regarde rapidement autour de lui. Il fait mettre le garçon contre un arbre bien solide, prend ses menottes de l’étui. Il menotte une main du garçon, passe derrière l’arbre et menotte l’autre main. Il baisse son pantalon et sort de son slip blanc, un sexe rasé d'une taille trèèès acceptable et le pénètre.

Les coups de bassin du gendarme durent un bon quart d'heure. Le garçon essaie de ne pas crier. Sans prévenir, le gendarme se raidit et jouit à l’intérieur du garçon.

Une fois fait, le gendarme se retire. Le gendarme lui retire les menottes, les remet dans leur étui à la ceinture. Le garçon pense, à cet instant, qu'il va échapper à la sanction. Que nenni, le gendarme lui demande sa pièce d'identité. Tout péteux, le garçon lui donne sa carte d'identité. Le gendarme sort son smartphone et photographie la carte (recto et verso) et la rend au garçon. Le gendarme remercie le garçon d'avoir été très gentil.

Le garçon continue sa balade et rentre chez lui. Sur le chemin du retour, le garçon a du jus qui coule le long de long d’une jambe. Pour effacer toute trace, il passe sa main et se masse la jambe pour faire pénétrer cette crème.

Plusieurs jours après, le garçon va relever le courrier à la boîte. Une enveloppe siglée "République Française - Gendarmerie Nationale". Il ouvre cette enveloppe et découvre un mot manuscrit. Ce mot est signé par deux initiales “L. D.”. En lisant le mot, le garçon en déduit que ce sont les initiales du gendarme qu’il a rencontré il y a quelques jours pendant sa balade. Ce gendarme dit qu'il a bien aimé la rencontre de l'autre jour, et qu'il serait amené, très bientôt, à revenir dans le coin, à le revoir pour un autre moment. Le garçon, à cette minute précise, en a eu des sueurs froides.

6 déc. 2024

La pute du parking

C'est déjà l'hiver. La nuit vient juste de tomber. Je loge dans un immeuble de cité de 2-3 étages. Ma fenêtre de chambre donne sur un parking. Je ne fais pas vraiment attention jusqu'à ce que j'entende une porte latérale d'un utilitaire de chantier avec un logo et un QR code sérigraphiés d'une petite entreprise de maçonnerie, n'arrête pas de coulisser et de claquer depuis environ 1 heure. Ce vacarme m'intrigue. Je regarde par la fenêtre de la chambre. Je vois des allers et venues de personnes adultes avec la braguette ouverte et le matériel sorti. Cet utilitaire se balance et bouge. Je me dis qu'il faut que j'aille voir ça de plus près. Je m'habille chaudement, et je descends voir. Je sors de l'immeuble. J'observe sans me montrer. Des blancs, des blacks, des rebeus, des asiatiques, des jeunes et des moins jeunes défilent.

Certains viennent dans des voitures de luxe. Peut-être des grands patrons ? Chaque personne restent environ 10-15 minutes chacun. Je devine facilement qu'il se passe des choses dans cette camionnette. Je m'approche davantage, et me cache. Je me positionne à quelques mètres, du coté de la porte coulissante. Dans le cours laps de temps que la porte latérale est ouverte, j'aperçois un jeune mec brun d'une petite trentaine d'années, ligoté sur le dos, à une structure métallique. Le mec a un bandeau sur les yeux. Ce qui m'a semblé un peu bizarre, la patrouille de police nationale est passée et a laissé faire. J'ai réfléchi et j’en ai déduis que ces agents de police en question ont dû passer un peu de bon temps avec ce mec.

Au bout d'un moment, j'ai senti une odeur forte de sueurs et de spermes sortir par la porte. Ces allers-retours a duré une bonne partie de la nuit.

Au petit matin, un dernier mec, beaucoup plus agé, est monté par la porte latérale. J'en ai déduis que c'est quelqu'un qui a de l'autorité sur le gars. Peut-être que c'est son patron.

À travers la tôle, j'ai entendu ce mec dire à l'autre : "Ça y est ! Tu as pris ton pied, salope !" "Je vais te checker ta chatte si tu as été très bien rempli" "Écartes bien les cuisses" (un petit silence) "C'est bon pour cette nuit" "Tu as eu pour ce que tu mérites, sac à jus !" "Maintenant, je vais te mettre une couche. Tu attends que tout soit sorti, et après, tu la nettoies". Ensuite, ce mec est sorti de la camionnette après avoir libéré l'autre de la structure métallique. L'autre est sorti, habillé. Il est monté à la place du conducteur et parti du parking. Je remonte me coucher et m'endors après m'être bien branlé.

-- FIN --

19 oct. 2024

Alex et Tim

Alex veut repeindre les murs et le plafond de sa salle de bains. Il décide alors d'aller au magasin de bricolage pour chercher des idées de couleurs.

Alex traîne dans les rayons. Un premier vendeur roux et mince, vient voir Alex. Alex demande des conseils pour repeindre une salle de bain. Ce jeune vendeur dit qu'il va appeler un autre collègue qui s'y connaît beaucoup mieux en peinture (et surtout en manche de pinceau).

Alex est surpris par ce deuxième vendeur. Il croit rêver en voyant un mec en t-shirt blanc avec le logo de l'enseigne et un pantalon de jean blanc à peine moulant.

Il ressemble à deux gouttes d'eau à un acteur allemand de porno gay.

Alex en reste bouche bée. Il essaie de bredouiller quelques mots en allemand pour vérifier son intuition. Ce vendeur lui répond.

Et là, Alex se liquéfie en réalisant que c'est bien Tim qui est en train de le servir.

Alex explique à Tim qu'il ne sait pas peindre correctement un plafond ou un mur, et qu'il accepte toute aide technique. Tim explique à Alex qu'il est très difficile de peindre un plafond sans laisser de traces.

Alex et Tim restent discrets. Ensemble, il vont établir les devis des matériaux, et de la main d'œuvre et définir la date du début de ces travaux.

Trois ou quatre jours plus tard, Tim arrive chez Alex. Tim annonce que chez lui, il kiffe peindre tout nu. Aussitôt, Alex lui répond que ça ne le dérange pas, bien au contraire. Rien qu'à regarder un ouvrier travailler nu, ça l’excite beaucoup.

Dans l'excitation du moment, Alex se met tout nu aussi, ce qui a pour effet de faire bander Tim. Tim est très embarrassé. Alex dit à Tim qu'il n'y a qu'un seul moyen de faire disparaître ce problème ennuyeux. Alex se met devant Tim, s'agenouille et met la grosse bite dans sa bouche. Tim ferme les yeux, marmonne quelques autres mots germaniques.

Alex, à force de venir en aide à ses voisins, devient un pro de la suce. Il fait traîner son art pour retarder au maximum le moment où Tim lui explose tout son épais jus en fond de gorge. Alex avale et sort de la salle de bain pour laisser Tim tranquille pour travailler.

Une bonne heure passe. Tim rappelle Alex. Alex entre dans la salle de bain, constate que Tim a encore une fois une belle érection. Alex soupire et il décide de passer à autre chose.

Alex présente son cul à Tim pour qu'il le prépare. Tim s'agenouille, à son tour, pour lui lécher le trou.Après quelques minutes, Tim se relève et présente ses vingt-cinq centimètres à l'entrée de l’anus d'Alex. Tim pousse son gland. L'orifice d’Alex s’ouvre pour épouser le diamètre de l’engin de Tim. Tim commence doucement par des mouvements très doux, puis augmente peu à peu la cadence et la force.

Au bout d’un bon quart d’heure, Tim se libère à l’intérieur d’Alex.

Tim se retire doucement pour laisser le sphincter anal se refermer gentiment et sans douleur. Il embrasse Alex sur la bouche, pour lui dire qu’il a bien aimé baiser avec lui.

Tim reprend son rouleau de peinture et corrige des erreurs.

Une fois fini, Tim se rhabille et tend sa carte de visite perso à Alex en lui disant que s’il a des travaux divers à faire, il peut l’appeler sans problème.

20 juil. 2024

Le plombier

Je suis plombier à Paris, plus particulièrement dans les beaux quartiers, genre 16ème, les bourges ne savent rien faire, ils ont toujours besoin et on se fait un max de fric, car ils ne rechignent pas pour payer les sommes proposées…

Je fais des rencontres impossibles, des personnes de tous genres… si je n’étais pas pédé jusqu’au bout des orteils, qu’est ce que j’aurais pu sauter comme bourges, de vraies petites putes en chaleur!

C’est vrai que je suis un beau mec, sans me vanter, j’arrive à 30 ans, je bande facilement, mais je préfère les mecs, les minets de préférence, mais, quand on sait bien m’exciter…

Ce jour là je suis allé avenue Victor Hugo, j’étais appelé pour une fuite d’eau. Lorsque je me suis présenté, j’ai été reçu par une belle femme, qui m’a expliqué la panne, m’a montré l’endroit où cela se passait, m’a montré le robinet d’arrivée d’eau et m’a dit de me débrouiller car elle devait partir.

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4 mai 2024

Les marins de Toulon.

Marins noir&blanc

Un soir d'été, je descends dans le sud de la France. Je suis curieux de savoir ce que peuvent faire les marins quand ils sont à quai, entre deux missions de six mois en mer.

Je suis vêtu d'un pantalon de cuir ouvert derrière afin d'offrir mon cul gourmand à la vue de tout le monde. Le devant est fermé. Je me dirige donc vers la base militaire où le Charles de Gaulle est stationné pour une relève du personnel navigant et les palettes pour l’intendance. Le soleil tombant, je m'approche du mieux que je peux sans que la police militaire du port soit alertée. J'avais pris soin de me procurer une paire de jumelles pour les observer monter et descendre par cette passerelle de métal.

Au travers de ces jumelles, j'aperçois en train de débarquer, deux beaux marins, la quarantaine, bruns et torses nus, bien musclés, imberbes. Chacun arbore une belle bosse sous leurs pantalons de toile. Au milieu d'eux trois, se trouve un jeune mousse avec une bosse beaucoup moins impressionnante que les deux autres. L'un des militaires semble tenir le plus jeune par la taille. En les voyant, mon cerveau ne fait qu'un tour. Je pense fortement que le blondinet leur sert de vide-couilles pendant leur mission à haut risque dans l'Atlantique.

Je me demande, moi aussi, si je peux me faire remarquer par ces trois militaires pour qu'ils se vident en moi. Comme j'ai préparé mon coup. Je sors de mon sac un gros plug métallique et lumineux que je peux faire clignoter une puissante LED arc-en-ciel comme bon me semble par l’intermédiaire d’une application sur mon smartphone. Je lubrifie efficacement mon anus et y glisse ce plug alimenté par la chaleur corporelle interne. Je m’allonge sur le dos et dirige ce rayon de lumière vers le navire en espérant que ces trois bombes me remarquent au loin. Je n'attends pas très longtemps. Dans les dix minutes qui suivent, je les vois arriver vers moi. Ils ont sorti leurs grosses queues veineuses et rasées hors du pantalon.

L’un d'eux se rapproche de ma bouche pendant que l’autre me prépare bien par un bon léchage de mon trou imberbe. Il force le passage de mes lèvres. Il pousse lentement son gland décalotté au fond de ma gorge pour me faire saliver. Une minute après, il se poste derrière moi. Il retire le plug et s’insère facilement dans mon anus. Il me baise comme un pro. Le deuxième, se place devant moi et me fait ouvrir la bouche et s’insère au fond de ma gorge. Les coups de reins bien frappés dans mon cul du premier me provoquent des soubresauts de mes lèvres sur la bite du deuxième. La bite du deuxième perle sur ma langue. Le premier me pilonne toujours le cul. Le deuxième est sur le point de m’inonder la gorge. Le premier ne s'arrête pas. Le deuxième en une seconde me remplit la bouche de son jus. Quasiment aussitôt, le premier est pris d’une violente secousse, signe de jouissance extrême.

Dix bonnes minutes passent.

Les deux marins ont encore de la pression à évacuer. Ils bandent tout dur. Ils m’ont raconté qu’ils étaient en mer loin de leurs femmes, et qu’ils ont besoin maintenant d'extérioriser tout ce stress. Je devine qu'ils ont encore envie de se vider. Cette fois-ci, celui qui était derrière moi passe devant et réciproquement.

Une bonne baise virile reprend une bonne dizaine de minutes. Mon sphincter s’échauffe.

Je suis surpris par l’endurance de mes deux marins d’un soir. Au bout des dix minutes, ils explosent de concert au plus profond dans mes entrailles et dans ma bouche.

Le plus jeune n’est pas loin à nous observer et faire le guet, au cas où un gradé passe par là.

Une fois leurs stress respectifs libérés, l’un d’eux replace le plug dans mon cul. Les deux marins remballent leurs outils et repartent vers le Charles de Gaulle.

Je me rhabille avec le cul rempli de quatre belles doses et du plug métallique, après avoir éteint la lumière et désactivé le Bluetooth.

En me rhabillant, je me jure de revenir souvent dans ce coin et peut-être revoir mes deux marins.