Par un samedi très ensoleillé, je vais au stade pour voir mon Sébastien jouer. Après le temps réglementaire, son équipe remporte le match avec un score sans appel de 5-0 (donc 3 buts sont marqués par Sébastien).
Je suis tellement absorbé par Sébastien que je ne vois pas que dans l’équipe, il y a un nouveau joueur black tout aussi beau, recruté il y a quelques mois seulement. Ce black trentenaire est un peu plus grand que Sébastien, avec de belles cuisses musclées. Je devine de beaux fessiers fermes et ronds sous ce short ample.
Sébastien me cherche au bord du terrain. Il me lance un signal pour aller le rejoindre aux vestiaires. Comme à l’habitude, j’attends un petit peu que les autres et l'entraîneur partent. Une fois que l’entraîneur est sorti, je rentre dans les vestiaires. Il reste seulement deux joueurs qui ne font qu’enlever leurs shorts et leurs maillots. Le black et un rebeu partent à la douche avec leurs serviettes sur l’épaule et leurs grosses queues en demie érection fendant l’air. Sébastien est déjà sous la douche. Le black lui dit qu’il y a un gars qui semble chercher quelqu’un. Sébastien gueule du fond des douches qu’il m’attend et que je peux le rejoindre. Alors, je me déshabille entièrement et je le rejoins.
Le black et le rebeu commencent à se mouiller partout. Sébastien, lui, est déjà plein de gel douche. Je m’approche de lui. Il veut que je lui frotte le dos. Je mets à l'œuvre. Le black et le rebeu sont stupéfaits par ce qu’ils sont en train de voir. Sébastien me complimente et me demande de continuer. C’est alors que le black et le rebeu se regardent avec une très grande complicité pendant une seconde. Le black et le rebeu me tendent ensemble leurs flacons de gel douche pour me faire comprendre qu’ils veulent aussi la même chose.
Sébastien me demande si les bites Youssouf et Nabil me plaisent. Je rougis et je lui réponds que oui. J’arrête de frotter les dos de Youssouf et de Nabil pour m’intéresser à leurs engins respectifs. Sébastien continue sa douche. Il se rince partout et ferme sa douche. Il vient nous rejoindre. J’ai trois belles queues à ma disposition. Comme par magie, un distributeur automatique de lubrifiant apparaît dans un coin de la salle de douche. Mon sang ne fait qu’un tour. Je me dirige vers cet appareil. Je place ma main dessous à proximité de la cellule de détection et une grosse noix de lubrifiant tombe au creux de la main. Je me l’étale aussitôt sur mon anus et vais à la rencontre de Nabil pour qu’il me pénètre vigoureusement avec ses vingt-deux centimètres veineux et circoncis par derrière. Je contrôle l’action en faisant des allers-venues et des larges ronds pour entraîner l’ouverture de mon orifice en prévision de la prochaine queue à venir. Au bout de dix bonnes minutes, Nabil explose en moi tout ce qu’il a en réserve. C’est au tour de Youssouf maintenant. Il me pénètre avec ses vingt-quatre centimètres lisses et bien épais. Je le laisse faire. Il m'empoigne le bassin avec ses deux mains. Il me sodomise si bien que mes fesses claquent contre son pubis rasé. Youssouf me besogne, lui, un peu plus longtemps. Mon cul chauffe bien.
Pendant que Youssouf me pilonne bien, Sébastien se met face à moi. Je me penche en avant. Je me mets à le sucer. Avec l’excitation du moment, j’avale le zguègue bien dur de Séb qui ne met pas très longtemps pour jouir abondamment au fond de ma gorge. Je me délecte de son nectar. À son tour, Youssouf jouit au plus profond de mon cul. Je reste plié en deux, le cul en l’air, pour laisser reposer mon sphincter anal afin qu’il se referme doucement et emprisonner le délicieux cocktail enfermé à l’intérieur.
Youssouf et Nabil se rincent grossièrement à la douche, se sèchent et retournent s’habiller et partent.
Je reste seul avec Sébastien sous la douche. Nous nous rinçons ensemble tout en discutant de ce qui vient de se passer. Il me demande mes impressions à propos de Youssouf et Nabil. Je lui réponds que je ne suis pas opposé à les revoir lors d'un match ultérieur.
Sébastien et moi regagnons les vestiaires pour nous rhabiller. Je lui confie que j'ai un autre fantasme que j'aimerais réaliser un autre fois. Je ne lui dis rien sur la nature de ce fantasme.
Une fois habillés, nous sortons des vestiaires en veillant d'éteindre les lumières.
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